Bonjour,
Oui , le mot ridicule était de trop.
Peu importe la forme et le style, mais le travail réalisé par le CCF est phénoménal.
Surtout celui qu’on ne voit pas.
Heureusement qu’il y a des fondations de ce type, dotées de cliniques et capables d’apporter des soins aux animaux blessés ou orphelins, capables d’informer et d’alerter sur les espèces en danger, capables de financer la lutte contre le braconnage, capables d’éduquer les jeunes générations… et d’envisager des solutions intelligentes pour que cohabitent les humains et la faune sauvage.
Ces fondations ont largement sensibilisé l’opinion et contribué, par exemple en accueillant des écoles, à faire prendre conscience de la richesse que représente pour la Namibie la présence de cette faune sauvage.
Si ces fondations n’existaient pas on aurait quoi? Sans doute beaucoup plus de carnage, des petits trafics ni vus ni connus, dans une indifférence générale?
Beaucoup de petites structures touristiques, lodges ou guest farms, ont désormais un enclos avec quelques misérables guépards offerts au regard des touristes de passage. Bien sûr, c’est vendeur! Ça attire l’européen voyageur, c’est bon pour les affaires.
Mais quelles sont les conditions de vie de ces animaux captifs? En général assez mauvaises ( enclos trop petits etc…)
À Neuras il n’y avait pas de guépards il y a 10 ans . Ne me dites pas que c’est subitement entré dans leurs gènes?
Il fallait bien compenser la faible fréquentation touristique?
Bon, j’arrête là, je fais partie des soutiens du CCF.
J’irai faire un tour à Harnas lors de mon prochain voyage en Namibie, mais il est possible que l’esprit des lieux ait un peu changé depuis l’époque où Tanit jouait au foot avec un guépard handicapé…
Bonne journée,
Patou