Thaïlande : îles de rêve en mer d'Andaman

Thaïlande : îles de rêve en mer d'Andaman
Ko Lao Liang © Jean-Philippe Damiani

Pour renouer avec la beauté et la sérénité des îles de la mer d’Andaman, il faut se rendre tout au sud de la Thaïlande, loin de Phuket et juste avant la frontière avec la Malaisie.

Là, dans les provinces de Trang et de Satun, des paradis insulaires tropicaux, répondant aux noms exotiques de Ko Bulon, Ko Muk ou encore Ko Lao Liang, attendent le voyageur, entre mer turquoise limpide, sable blanc ourlé de cocotiers et jungle luxuriante.

De superbes havres de paix pour déconnecter tout en lenteur et en langueur, entre deux sorties en mer. Levons l’ancre, cap vers le sud de la Thaïlande !

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Au sud, la mer d’Andaman retrouvée…

Au sud, la mer d’Andaman retrouvée…
Ko Bulon © Jean-Philippe Damiani

Le principal atout des îles du sud de la mer d’Andaman ? Leur (relatif) isolement. Situés à quelque 800 km au sud de Bangkok, juste avant la Malaisie et au large des provinces de Trang et de Satun, ces petits paradis tropicaux se méritent. Pour y aller, il faut prendre un vol intérieur depuis Bangkok jusqu’à Trang ou Hat Yai, puis faire environ 2 h de route jusqu’aux embarcadères de Pak Meng ou Pakbara et au moins 1 h de bateau jusqu’à destination.

Au large, la mer d’Andaman est constellée de dizaines d’îles, la majorité étant des îlots vierges de toute habitation. Seules quelques-unes sont habitées et/ou disposent d’infrastructures hôtelières qui demeurent, sur certaines îles, sommaires, à l’exception de Ko Lipe aujourd’hui très touristique. Ko Muk, Ko Bulon ou Ko Sukorn sont toujours habitées par des communautés locales (les chao lays), des descendants des pêcheurs musulmans venus d’Indonésie.

Ko Ngai © Jean-Philippe Damiani

Pas de voiture, juste des motos-taxis ou des vélos dans ces îles. La meilleure façon de se déplacer ici, c’est de marcher ou de sauter dans l’un de ces long-tail boats typiques de la Thaïlande. De la mer, les îles déploient toute une variété de paysages préservés : hautes falaises de karst sur Ko Muk ou Ko Lao Liang, montagnes recouvertes de forêts vierges sur Ko Tarutao, anses épousant délicatement les flots à Ko Bulon, rizières où paissent les buffles sur Ko Sukorn… 

Sur les rivages, les plages – certaines totalement désertes – déroulent leurs splendides rubans de sable blanc ourlés de cocotiers, de casuarinas ou de badamiers. À leur pied, une eau translucide décline d’infinies nuances de bleu et de vert.

Ko Ngai, une terrasse sur la mer d’Andaman

Ko Ngai, une terrasse sur la mer d’Andaman
Ko Ngai à marée basse © Jean-Philippe Damiani

À moins d’1 h de bateau de l’embarcadère de Pak Meng (2 h de route de Trang), Ko Ngai (ou Ko Hai) est, avec Ko Muk, l’île la plus accessible depuis la ville et l’aéroport de Trang. Proche des côtes, elle constitue une bonne base pour explorer les îles environnantes. Son point fort ? Une plage de 2,5 km sur sa façade est, où se trouvent quelques hôtels bien tranquilles, offrant un magnifique panorama sur les îles (dont Ko Muk), la mer et le continent.

Recouverte de jungle, bordée sur son flanc ouest par une falaise, Ko Ngai est encore peu développée. Aucun village ni route et encore moins de distributeur de billets, sur cette île étroite et longue qui forme une sorte de mini-station balnéaire. Ici, la vie s’écoule lentement au rythme des baignades, des balades sur la plage et des marées. Lorsque la mer se retire, le récif corallien peut se rejoindre à pied ; à marée haute, la plage disparaît pratiquement.

Ko Ngai © Jean-Philippe Damiani

Entre deux séances de farniente, des excursions organisées par les hôtels permettent de faire du snorkelling près des îlots de Ko Chuak (« île de la corde ») et de Ko Mar (« île du cheval »). Il est également possible de visiter les îles voisines de Ko Muk ou Ko Kradan.

Deux sentiers de randonnée, partant du Thanya Resort, permettent de rejoindre, de l’autre côté de l’île, la bien nommée Paradise Beach et Ao Mamuang (baie de la mangue) en traversant la forêt. Mais, la chaleur aidant, on peut très bien choisir de rester sur le sable…

Ko Muk, grotte d’Émeraude et village de pêcheurs

Ko Muk, grotte d’Émeraude et village de pêcheurs
Ko Muk © Jean-Philippe Damiani

Autre île facilement accessible, proche des côtes (40 min de bateau de Pak Meng), Ko Muk (« l’île perle ») est la plus connue des îles de Trang, en raison d’une curiosité naturelle : la grotte d’Émeraude (Tham Morakhot), un tunnel de 80 m de long creusé dans la roche par l’érosion qui conduit, à marée basse et à la nage, à une sorte de lagon intérieur totalement fermé par de hautes falaises. Un cadre qui rappelle, en plus petit, celui du film La Plage.

Lorsque le soleil vient frapper l’eau de la grotte, celle-ci prend une couleur vert émeraude spectaculaire… et là, c’est plutôt Avatar qu’il faut évoquer ! À visiter en début de matinée ou en fin de journée pour être au calme.

Ko Muk, lagon de la grotte d'Emeraude © Jean-Philippe Damiani

La plupart des touristes se contentent de visiter la grotte d’Émeraude. À tort. Car Ko Muk est sans doute la plus attachante des îles de la région, avec son atmosphère bon enfant et son petit village de Chao Lays.

Installés depuis des générations, ils vivent encore de la pêche, de la culture d’hévéa et de noix de coco. Une communauté de 2 000 habitants que l’on rencontre au fil des sentiers, à parcourir à pied ou à moto-charrette (50 baths la course).

Ko Muk, plage de Had Farang © Jean-Philippe Damiani

Recouverte au deux tiers par la jungle, bordée à l’ouest par de hautes falaises, Ko Muk ne compte que deux plages accessibles à pied. Près de l’embarcadère à l’est, celle de Had Sivalai enfonce, tel un éperon, son élégante langue de sable blanc dans l’eau turquoise de la mer d’Andaman.

À l’opposé, la plage de Had Farang (ou Charlie’s Beach) forme une anse des plus photogéniques, bordée par les falaises de karst de la côte ouest. Elle est surplombée par un café dont la terrasse constitue le spot idéal pour admirer les couchers de soleil.

Ko Kradan, la romantique

Ko Kradan, la romantique
Ko Kradan © Jean-Philippe Damiani

À une demi-heure de bateau de Ko Muk, voici Ko Kradan, « l’île planche » en thaï. Et pour cause : elle est toute plate ! Pas de village, juste quelques petits hôtels, des bungalows et un calme absolu, lorsque les excursionnistes venus y déjeuner (11 h – 15 h) sont repartis…

Kradan, du moins sur sa façade est, semble sortie d’une carte postale parfaite. Un rêve ? Non, tout est vrai : l’eau de mer turquoise et chaude idéale pour la baignade, les ombres des badamiers et des casuarinas formant d’élégants dessins sur le sable immaculé, la torpeur tropicale, le petit récif corallien facilement accessible, les magnifiques levers et couchers de soleil…

Un tel cadre a de quoi inspirer les amoureux. C’est d’ailleurs ici, comme sur d’autres îles de Trang, que des couples d’Asiatiques viennent, chaque année à la Saint-Valentin, se marier sous la mer, à 10 m de profondeur et en tenue de plongeur ! Heureux, sans doute, comme des poissons dans l’eau…

Ko Sukorn : la campagne à la mer

Ko Sukorn : la campagne à la mer
Ko Sukorn © Jean-Philippe Damiani

Une tout autre ambiance attend le voyageur à Ko Sukorn, l’île la moins balnéaire de la région et située près de la côte. Pas de plage paradisiaque à Sukorn où le sable est sombre et la mer plus agitée qu’ailleurs. En fait, on vient à Ko Sukorn pour savourer une atmosphère unique dans la région : la campagne à la mer.

L’intérieur de l’île, avec ses villages tranquilles, ses rizières et ses champs où paissent les buffles, fait étonnamment penser aux paysages champêtres de l’Isan, le nord-est thaïlandais très rural. Ici, où les touristes étrangers sont plutôt rares, la population locale (3 000 habitants) a gardé son mode de vie traditionnel. Outre le riz, l’hévéa, la culture de la pastèque (très réputée) et la pêche restent les piliers de l’économie locale.

Ko Sukorn © Jean-Philippe Damiani

Sans distributeur de billets, ni voiture, ni resort, ni supermarché 7/11, Ko Sukorn, bien que proche de la côte, semble restée à l’abri de la modernité. Aucun ferry ne la relie au continent et, pour s’y rendre, il faut obligatoirement prendre le long tail-boat d’un pêcheur local (les agences de Trang ou votre hôtel peuvent vous aider).

Cet isolement fait tout le charme de cette île que l’on parcourt volontiers à vélo ou en scooter, le temps d’observer d’authentiques tranches de vie thaïlandaises, au fil des chemins, des vergers et des petits villages. En soirée, on file volontiers au seul bar de l’île, le Café Dugong (« lamantin » en thaï) pour admirer le coucher de soleil en toute quiétude. Ko Sukorn ravira tous ceux qui préfèrent le slow tourisme aux cartes postales…

Ko Lao Liang, le secret bien gardé de la mer d’Andaman

Ko Lao Liang, le secret bien gardé de la mer d’Andaman
Ko Lao Liang © Jean-Philippe Damiani

Entre Ko Sukorn et la grande île de Ko Libong, spot réputé d’observation d’oiseaux et de lamantins, se trouve l’un des secrets les mieux gardés de la mer d’Andaman : les deux îles du micro archipel de Ko Lao Liang, totalement sauvages, précédées par l’étrange vertèbre crénelée de Ko Phetra , « l’île jonque » (en thaï) réservée à la production de nids d’hirondelles.

Seule l’une de deux îles – celle du nord (Nuea) – accueille les quelques touristes qui peuvent y passer la nuit dans une quinzaine de tentes. La majorité des visiteurs se contente d’y faire une halte de quelques heures, le temps d’admirer l’un des plus beaux paysages insulaires de la mer d’Andaman : une puissante et étroite falaise karstique de moins de 2 km de long, ornée de stalactites, surgissant de la mer couleur d’émeraude.

Ko Lao Liang © Jean-Philippe Damiani

À ses pieds, une mince bande de végétation tropicale sert de prélude à une plage d’un blanc éclatant. Les fonds marins, limpides et poissonneux, s’observent avec masque et tuba jusqu’au petit récif corallien. On peut également faire du kayak, de l’escalade ou scruter, béat d’admiration, les nuances « andamanes » de la mer. Loin, très loin, de la rumeur du monde… et pourtant à seulement une dizaine de kilomètres de la côte !

Buller à Ko Bulon

Buller à Ko Bulon
Ko Bulon © Jean-Philippe Damiani

Située dans le même parc maritime que Lao Liang, Ko Bulon Lae, plus au sud, fait toutefois partie d’une autre province : celle de Satun, qui englobe l’extrême sud de la Thaïlande. Mais laissons là ces détails administratifs qui, dans un tel cadre paradisiaque, peuvent sembler incongrus. Une seule information mérite d’être retenue : on accède à Ko Bulon depuis l’embarcadère de Pakbara, lui-même plus proche de l’aéroport de Hat Yai que de Trang.

Et le reste ? Que du bonheur, serait-on tenté d’écrire… La petite Ko Bulon Lae envoûte dès le débarquement, notamment avec sa plage principale (côte ouest) dont le sable couleur ivoire épouse langoureusement le turquoise de la mer, au rythme lancinant des marées. Au large, les îlots de Ko Hin Kao (White Rock) font la joie des plongeurs avec leurs « coraux de 7 couleurs ».

Ko Bulon © Jean-Philippe Damiani

Les petites structures hôtelières (bungalows et guesthouses) s’intègrent harmonieusement au cadre naturel et utilisent l’énergie solaire. Certains choisiront de planter leur tente ou leur hamac sous l’ombre des arbres.

De quoi se prendre pour Robinson Crusoé… Pas d’ATM, ni de voiture, ni d’électricité en journée évidemment.

Ko Bulon, village Chao Lay © Jean-Philippe Damiani

Entre deux baignades, la petite Bulon Lae se parcourt aisément à pied, au fil de parcours balisés de panneaux d’interprétation. Attention aux vipères dans la forêt toutefois !

Au cœur de l’île, les pêcheurs Chao Lay ont installé leur petit village fait de huttes plus ou moins sommaires. Ils ont également investi Ao Mamuang (baie de la mangue) où se trouvent bateaux, hangars et filets de pêche, mais aussi Ao Panka Noi et Panka Yai, sa mangrove et sa petite plage, où ils côtoient des hôtels résolument roots.

Le soir, les employés thaïs du Bulon Resort viennent y danser dans un bar, au son de la musique de l’Isan. Il nous vient alors comme une envie de jeter l’ancre à Ko Bulon Lae pour toujours…

Fiche pratique

Retrouvez tous les bons plans, adresses et infos pratiques dans le Routard Thaïlande.

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Office du tourisme de Thaïlande

Comment y aller ?

Thai Airways propose des vols quotidiens vers Bangkok et de nombreuses destinations en Thaïlande (via Bangkok) au départ de Paris-CDG. Vol direct (11 h) jusqu'à Bangkok en Airbus A380.

Réservez votre billet d’avion pour la Thaïlande

Pour se rendre dans le sud de la Thaïlande, vols intérieurs de Bangkok Don Muang vers Trang avec Air Asia et Nok Air ou vers Hat Yai (pour Ko Bulon et Ko Tarutao) avec Air Asia, Nok Air et Thai Airways.

Quand y aller ?

Les îles de la mer d'Andaman se visitent de novembre à fin mars (meilleure saison). Mousson de juillet à octobre.

Comment se rendre dans les îles ?

Ko Ngai, Ko Kradan, Ko Muk : depuis Trang ou l’aéroport de Trang, se rendre aux embarcadères de Pak Meng ou de Kuang Tungku en bus, minivan ou taxi (1 h 30 à 2 h de route). De là, bateau jusqu’aux îles (30 min à 1 h).
Bon à savoir : de nombreuses agences à Trang (ou à l’aéroport) organisent le transport (minivan + bateau) jusqu’aux îles. Compter 500-800 baths. Encore plus pratique : Nok Air et Air Asia proposent un package vol + van + bateau tout compris. Enfin, on peut se rendre en speed boat sur ces îles depuis Lanta Yai de novembre à avril.

Ko Sukorn, Ko Lao Liang : les îles les plus difficiles d’accès. Pour aller sur Sukorn, se rendre en bus ou songthaew jusqu’à l’embarcadère de Baan Ta Seh, puis long tail boat jusqu’à l’île (2 h 30 en tout). Des agences de Trang proposent une formule tout compris, pratique mais assez onéreuse (2 000 baths). Vous pouvez aussi demander à votre hôtel d’organiser le transfert (même prix). Pour économiser et vous débrouiller tout seul, mieux vaut baragouiner le thaï. Pour Ko Lao Liang, excursions à la journée en long-tail boat depuis Ko Sukorn (1h45) ou Ko Libong (3 000 baths) ou transfert en long-tail boat privé.

Ko Bulon et Ko Tarutao : il est plus pratique d’arriver par l’aéroport de Hat Yai, puis minibus jusqu’à l’embarcadère de Pak Bara (2 h de route) et speed boat ou bateau (de 30 min à 1 h 30). Compter 250 baths pour le transfert terrestre et 400-450 baths pour le bateau. Départs : 11 h-11 h 30-15 h

Liaisons d’île en île avec le ferry Tiger Line : Ko Ngai – Ko Kradan – Koi Muk. Tigerline relie plusieurs îles de la mer d’Andaman, de Phuket à Langkawi (Malaisie).

Quand y aller ?

Les îles de la mer d’Andaman se visitent de novembre à avril. Le reste de l’année, mieux vaut éviter la région, en raison des moussons.

Adresses

Le coût de la vie sur les îles est plus cher que dans le reste de la Thaïlande. Sans être prohibitifs, les tarifs (hébergement et alimentation) ne sont pas bon marché, car tout (ou presque) vient du continent.

Ko Ngai Fantasy Resort à Koh Ngai : donnant directement sur la plus belle plage de l’île, cet hôtel se compose de bungalows et de chambres confortables (clim, wifi, TV), ainsi que des villas plus luxueuses, avec vue sur le jardin et la mer. Piscine et resto en plein air. Tarifs 3 300-17 500 THB (90-450 €) en haute saison, promo jusqu’à -50 % sur Internet.

Had Farang Bungalow à Ko Muk : des huttes simples (ventilo, sanitaire eau froide) surplombant la plage de Had Farang, bien entretenues. Resto. Doubles à partir de 650 THB (18 €).

Ko Yao Restaurant & Bar, Ko Muk : avec sa terrasse surplombant Charlie’s Beach, c’est LE spot pour admirer les couchers de soleil. On peut se contenter d’un verre.

Sivalai Beach Resort à Ko Muk : superbe emplacement sur la plage de Sivalai pour ce resort luxueux qui consiste en des villas disposées dans un jardin tropical en lisière d’une plage de rêve sur une presqu’île. Resto au bord de l’eau avec terrasse. Doubles 2 750-11 000 THB (75-350 €).

Chao Lay Seafood à Ko Muk : sur la rue principale du village, ce resto en plein air est réputé pour ses poissons et fruits de mer frais et grillés. Également des curries, riz et nouilles sautés et des spécialités du sud. Ambiance sympa.

Ko Kradan Beach Resort : huttes et bungalows dans un cadre paradisiaque, mais confort basique. Les plus chers ont la clim et se trouvent près de la plage. Resto. Doubles 950-2 500 THB (30-80 €).

Yataa Resort : 174 Moo 1 Tambon  à Ko Sukorn. Des bungalows bien équipés (clim, TV) dans un joli jardin sur une plage tranquille. Resto et spa, service de navette, location de vélo. Accueil adorable. Tarif 1 400-3 000 THB (40-90 €).

Dugong : 7 Moo 3 à  Ko Sukorn. Un bar accueillant, qui fait aussi resto, avec des bungalows dans un grand parc au bord d’une plage déserte. Très sympa pour le coucher de soleil.

Lao Liang Resort : en guise de resort, il s’agit de tentes disposées sous les arbres avec électricité quelques heures le soir. Barbecue et sanitaires communs. Pour un retour à la nature dans un cadre vraiment paradisiaque. Compter 3 000 THB (95 €) pour deux en pension complète.

Bulone Resort à Ko Bulon Lae : sur la plus belle plage de l’île, de beaux bungalows (avec air conditionné) ou des chambres plus basiques, dans un joli jardin. Accueil très sympa et ambiance relax dans un cadre de rêve. Resto. Électricité limitée et eau froide uniquement. Doubles 3 000 – 4 500 THB (80-100 €) en haute saison.

Ko Bulon School : l’école de Bulon met à la disposition des visiteurs des bungalows avec ventilo et moustiquaire. Basique et très bon marché. Pour ceux qui aiment passer les vacances à l’école à deux pas de la plage et du lagon bleu… Tél. : 08 99 76 45 21.

Mok Bar à Ko Bulon : juste à côté du chic Pansand Resort, un bar où l’on peut siroter des cocktails ou une bière les pieds dans le sable.

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