Bonjour,
Pouvez vous confirmer ou infirmer que si on est “victime” de surbooking, la compagnie prend en charge l’hébergement et la restauration pendant les jours qui mènent au départ réel ? Si oui, est-ce la compagnie qui désigne hôtel et restaurant, ou sommes nous libres de notre choix, bien entendu dans les limites du raisonnable ?
A-t-on droit à l’indemnisation forfaitaire prévue pour retard, et ce même si on était volontaire pour ne pas embarquer ?
(Retraité libre de mon temps, si les conditions sont acceptables, je veux bien passer quelques temps sur le lieu de ma destination).
Cordialement
BR