Voici les prix des Camarotes pour regarder le carnaval de Salvador, perché sur des structures métalliques donc hors de portée des voleurs et des violences mais pas à portée de toutes les bourses . Ca va de la camarote Samba 150RS pour les femmes et 170 pour les hommes le 19 ou le 20 février à celle d’ Oceania entre le20 et le 24/21700 Rs pour les femmes et 2050 pour les hommes .Contactez-moi pour les autres si vous avez les moyens( je ne dispose que des infos du journal)
Sinon, on peut acheter l’abada d’un bloco pour défiler entre les cordes. Les prix varient aussi beaucoup.
Rester sur le trottoir avec les " pipocas"(=grains de pop corn car on saute) est gratuit mais cumule tous les risques( vols, bagarres)
alexiss
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OU IL Y A FOULE IL Y A DES VOLEURS PARTOUT DANS LE MONDE ^^
kkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkk 
En lisant vos commentaires maintenant sur le carnaval et votre hantise des voleurs et la violence (il n’y aurait pas de voleurs dans le métro parisien, non plus de violence dans la foule débridée en France, apparemment) il faut être vraiment dingue baroudeur ou avoir une immense envie de montées d’adrénaline pour venir au carnaval de Salvador. Vous foutez la trouille à vos compatriotes, je vous assure, et comme je sais qu’il ne faut d’un peu pour faire paniquer un Français moyen voulant quitter son cocon cocorico en destination à l’étranger… Vous vous prenez pour une gendarme expatriée ou quoi, Françoise de Villiers? looool
Vous oubliez de dire qu’il n’y a aucun risque de vol si l’on suit l’exemple donné par les Brésiliens en fête: pas de papiers d’identité du tout si ce n’est qu’un bout de papier photocopié avec numéros de téléphone et adresses au fond de la poche au cas où…et avec le minimum pour se payer deux ou trois sodas, un bermuda, des sandales et une paire de lunettes de soleil à trois sous, sans oublier un petit paquet de capotes et du gel, cela va de soi ^^
Et pour la violence, le carnaval de Salvador est très loin de ressembler à un défilé de la CGT en grève ou une manifestation musclée des planteurs de tomates en colère à Paris en confrontation avec les flics. Le carnaval c’est la fête vraiment, et bien sûr que ça dégénère ici et là en coups de poings entre ivrognes et fêtards, comme au carnaval de Dunkerke, vous connaissez ce dernier?
Sinon, il vaut mieux rester en France et débander vers le Carnaval de Nice où la sécurité est à 100 p cent assis sagement sur les chaises en plastique et le risque zéro pour la violence pendant le passage des chars allégoriques et la terrible bataille de fleurs, mon dieu!
Pour une étrangère amoureuse et résidente au Brésil, vous laissez vraiment à désirer et vous portez plus de préjudice au Brésil que vous le faites bénéficier de vos intimidants commentaires. J’ai déjà vu des gens étonnants comme vous en Europe mais à résider vraiment sur place au Brésil, ça fait drôle.
Heureusement que le Brésil ne dépend vraiment pas des ressources du tourisme comme la France, les Seychelles ou les Iles Canaries. Avec toujours moins de 4 millions d’entrées annuelles de tous étrangers y compris les hommes d’affaires, les sociologues en mal de sociologisme en Europe, les hordes de ONG suspectes et les missionnaires yankees, le Brésil peut s’en passer allègrement des touristes étrangers et ne serait pas ébranlé dans son économie si tout d’un coup les touristes décideraient de boycotter les visites aux favelas, le Pelourinho ou le carnaval.
Le carnaval du Brésil était carnaval bien avant l’arrivée des gringos pour le regarder du haut des “camarotes”, ça fait partie de la culture brésilienne, c’est entre Brésiliens. Les autres sont là comme des spectateurs, cela n’influence nullement dans le déroulement de la fête^^
alexiss
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J’aime beaucoup votre style de parler du pays que vous appréciez et que vous donnez de la valeur tout en lui donnant ses vraies couleurs. Des étrangers comme vous méritent tout notre respect et admiration, tandis que d’autres…tss tss…
Il y a une façon d’avertir et une autre d’affoler pour le même sujet.
C’est vrai que les Brésiliens sont 16x plus paranoïaques que les Français concernant la sécurité dans le domaine privé, mais au moins les Brésiliens ont de quoi “psychoter” à la longueur de l’année avec une violence exarcebée et encouragée par leurs médias, en France étant le contraire.
Revenons toujours aux chiffres dérangeants de 16x… Le Brésil est 16x plus dangereux, 16x plus jeune et 16x plus enchanteur. C’est en parlant comme ça que je donne l’image aux Français pour qu’ils imaginent le Brésil car sinon ils ont tendance à l’imaginer à l’échelle de la France, de Paris ou de leur joli village en Bourgogne, de leurs conquêtes, amertumes et réussites.
Si Rome ne s’est pas faite en un jour, je tiens à vous rappeler que le Brésil est une nation que depuis l’année 1822 au 21 avril, l’indépendance proclamée par le prince portugais Dom Pedro I, soit 186 petites années écoulées à l’échelle de la France. Avant ce n’était qu’une grosse vache à traire pour les Portugais. De passage à Sao Paulo, je vous invite à visiter l’endroit du cri de l’indépendance dans un joli quartier de la ville, Ipiranga, son musée et son monument. C’est déjà une après-midi loin des bidonvilles looool
Regardez une vidéo en portugais maladroit par ce professeur d’histoire qui n’applique pas les règles de simple grammaire et les bonnes bases que nous apprenons au collège. Il ne s’exprime pas mieux qu’un vendeur de souvenirs au bord de la plage. La langue portugaise souvent ainsi écorchée par des gens diplômés comme ce professeur donne l’impression aux Français, les seuls au monde, que “tous” les Brésiliens parlent une langue différente du portugais, le “brésilien”. Non, les paulistas et les cariocas avec tous leurs vices de langage et fautes de concordance verbale et nominale ne sont pas les garants de la bonne langue portugaise parlée au Brésil. Dans d’autres régions on rencontre des gens du peuple qui font plus attention à leur langage que les universitaires chics de Sao Paulo.
Dès le début, pour les Français qui comprennent, DAR UMA PASSEADA est un vice de langage typique des Brésiliens, disons 16x plus incultes que les Français, le correct étant FAZER UM PASSEIO, faire une promenade. Ce n’est pas du portugais littéraire, c’est juste du plus simple et correct que l’on puisse souhaiter d’un écolier en troisième ^^ FAIRE UNE PROMENADE DANS LE MUSEE de l’indépendance.
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