1)moi ce qui m’affecte le plus c’est la fermeture du Buffet. Où vais je passer mes aprés midi à Tana ? Aprés midi délicieuses , merveilleusement occupée sà faire des rencontres, à des papottages , à des observations de gens fraichement débarqués ou Zanatan, à des parties de rigolades effrenées. J’étais un habitué du lieu. Ce coin n’était pas loin du Colbert, autre de mes QG. J’y ai situé l’action de certaines de mes aventures:
2)Le Buffet du Jardin, c’est un endroit que j’ai immortalisé = Extrait de mon Roman : CANAL DU MOZAMBIQUE -
RESUME DES EPISODES PRECEDENT - Marc un routard s’envole pour Madagascar - Dés son arrivée il est pris en charge par une entraineuse Malgache, Angela . Cette inconnue est une énigme . La jeune femme aurait elle , par le passé , excercé des fonction de Star du X dans des videos illicites comme plusieurs indices pourraient le faire croire ? Marc est déchiré entre la suspicicion et l’extase . Il se laisse pourtant gouverner par la jeune femme.
CHAPITRE 15 - C’est MARC qui raconte -
pour décrire JM , il y a des gens qui le décrirait comme un personnage trés drole. Ce n’était pas cela. JM était l’incarnation du rire comme d’autres étaient l’incarnation de l’ennuis.Il suffisait qu’il apparaisse. Les gens éclataient de rire. Il faisait partis de ces personnage truculent qui sont attirés par les pays des TRopiques. Il étaint venu à Mada pour fuir l’hiver dans son pays.
Provoquer le rire est un acte périlleux qui exige travail, préparation, étude. Chez lui , provoquer l’hilarité était un acte naturel, involontaire. Il faisait régner la rigolade comme il respirait
Ses lieux de prédilection: le Buffet du Jardin (aujourd’hui disparu NDLA)
C’était le seul à s’opposer catégoriquement à monter dans une voiture avec moi au volant
Je conduisais comme un pied.
L’énorme avantage d’Angela qui voyait en moi un Dieux du volant était qu’elle ne savait pas que je conduisais commeun pied. JMJean Marie lui l’avais tout de susite compris et refusait de s’approcher de la voiture tant que j en’avais pas coupé le contact.
Il préférearit rejoindre Tulear par avion . Je le retrouverai là bas. Acondition d’arriver vivant !!
Pendant ce temps, je paradAis dans tout Tana au bras d’Angela et que je jouais au baroudeurs dans tous bars, du Galcier , du Buffet du Jardin etec,
La réalité était que je conduisais comme un pied. Je n’osais me déplacer à Tana de peur d’écraser un piéton. Angela, jeune Malgache facile à éblouir et qui n’était jamais montée dans un 4x4 était aveuglée sur mes véritable compétence en matière d epilotage automobile. Mais toute smes autres relations me fuyaient comme la peste aussitôt que j’étais au volant. Personne ne se leurrait sur mes capacité de conduite automobile. J’avais proposé à Jean Marie, un suisse rigolo accompagné de sa femme Sandra rencontré au Glacier de descendre avec moi sur la route de Tulear et il vaiat catégoriquement refusé. Si je ne voulais pas faire la route seule, il ne restait plus qu’Angela qui trop jeune, inconsciente, innocence pour deviner que j’étais un vrai danger public au volant. C’était la seule à s’imaginer que je conduisait bien et qui accéptait de m econfier sa vie. Peut être comme beaucoup de femmes, faisait elle l’amalgame entre la conduite au lit et la conduite sur la route…
Finalement vint le grand jour du départ. Nous avions acheté des vivres . Fait l eplein de provision au Colbert, des viennoiserie , des boissons, des bananes séchées car nous ce que nous trouverions sur place. Manger sur la route était périlleux , on ne sait pas à quoi s’attendre. Cétait déjà périlleux de voyager avec toutes ces diarées, maux d’estomacs qui se baladent et qu’on attrape rituellemntà Madagascar sans en plus les collectionner avant d’arriver à Tulear. etc