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Bonjour à tous,
Mon voyage est finalement prévu pour le 21 mars. J’ai réservé mes casas à Viñales et La Havane. J’irai certainement plonger un peu à La Havane puis à Maria La Gorda, j’attends de voir avec les agences locales pour m’y rendre.
Je vous remercie pour vos conseils.
J’aurai encore une question : mon guide me recommande de ne pas sortir avec mon passeport mais de le laisser “à l’hôtel”.
Logeant en casas particulares, pourrai-je laisser mes affaires sans risque ?
Merci d’avance :-](/citation]
Bonjour
Oui Cuba est dangereux pour une femme seule, comme de partout dans le monde et en Amérique Latine, Caraïbes ou Afrique. Mais il ne faut pas tomber dans la paranoïa.
Dire le contraire, ce n’est pas sérieux, ou bien c’est de vouloir continuellement donner une image fausse de Cuba à titre de propagande nauséabonde.
Cuba est un pays normal, avec de nombreux, vols, viols et meurtres dus à la pauvreté et à l’alcool, sans parler du machisme des hommes.
Rien dans les journaux ou à la TV / Radio, mais cela existe.
La preuve tout le monde est barricadé dans son appartement ou maison !
Les étrangers sont un peu à l’écart de cela , mais de moins en moins notamment à Santiago et La Havane.
Pour la pongée bouteille, Maria la Gorda et l’Île de la Jeunesse et à un degré moindre la baie des Cochons qui sera plutôt réservée au masque tuba.
Casa particular: Très peu, pratiquement pas de problèmes dans les casas concernant la sécurité. Sinon de fausses rumeurs à tendance politicienne.
Laissez vos papiers officiels à vos loueurs.
Ne sortez pas dans le rue avec les authentiques, car risque perte et vol à l’arraché.
Utilisez des photocopies couleurs recto verso de la première page passeport et les faire plastifier.
A ce sujet, j’ai fait un test, (avec l’accord de celui qui scannait) pour vérifier et avec une bonne qualité d’impression couleur, la photocopie bluffe le scan lors du contrôle.
Si vous faites que des excursions, du jour au lendemain cela est possible de s’organiser à condition qu’il y ai assez de participants…sinon galère.
Vaut mieux prévoir à Cuba, ou prendre ce qui est disponible ou bien y mettre le prix.
Jacques DEPOLLIER du JDSDF à Cuba