c’est exactement la réflexion que je me faisais, on dirait un gourou qui recrute ses membres.
certains vivent leur fantasmes comme toi par exemple ou moi qui a veccu 10 ans dans une cabane dans la forêt. Et quand on à veccu ça on à pas besoin de psy…
Alors je ne sais pas si c’est a moi que tu t’adresse, mais ton résonnement est douteux. Tu ne dis rien, tu n’explique rien, tu ne répond pas aux questions simples, alors comment veux-tu que quelqu’un te suis avec des résonnements pareil ?
On dirait un gamin qui cherche des amis en criant à tue tête “qui m’aime me suive” mais comment veux-tu convaincre qui que ce soit avec des arguments comme cela ? Tu veux partir, tu veux vivre une autre vie ? Et bien va, mais ne cherche pas à créer une communauté.
@djeckconect11 Effectivement il faut choisir
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la vie en ermite solitaire qui ne veut rien du monde extérieur et surtout pas de conseils d’humains
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un projet communautaire où on va tartiner son manifeste tout en étant prêt à l’amender si des volontaires amènent aussi leurs projets. Le but étant d’en faire une synthèse viable et plaisante à tout le monde.
J’ai essayé le deuxième cas, mais ça n’a pas marché, non pas que mon projet était fumeux ou trop spécialisé, mais parce que dans cette époque, et plus particulièrement dans l’amère patrie, on préfère crever tout seul que de s’en sortir à plusieurs.
Ce qui me rappelle le titre d’un recueil de nouvelles de J-P Andrevon :
salut, moi c’est jonathan et sa m’as l’air très intéressant de partir au Paraguay, alors je vais surement me mettre a parlé et écrire espagnol dans un premier temps puis sa me botte bien de vendre mon appart et partir vivre la bas. Après il serai bien que je puisse acheté un bout de térrain avec une rivière et pas trop loin d’une assez grande ville.
Et si tu y vie déjà la-bas, comment tu t’y prend? es que tu t’en sort?
salutation.
Salut a tous
Depuis quelque temps je me tate aussi de prendre mes clic et mes clac pour partir a l’aventure.
J’ai connu des personnes qui ont fait le choix de partir et pour le moment tout ce passe bien pour eux, ils ont trouver des petits boulots, hebergement pour certain et d’autres directement dans la nature donc aucune nouvelle ( comme on dit pas de nouvelle bonne nouvelle, j’espere pour eux) bref si des gens on vécu ca j’aimerais bien quil me fasse partager leur avis, les point négatif possitif de leur aventure etc etc
Salut a tous
Depuis quelque temps je me tate aussi de prendre mes clic et mes clac pour partir a l’aventure.
J’ai connu des personnes qui ont fait le choix de partir et pour le moment tout ce passe bien pour eux, ils ont trouver des petits boulots, hebergement pour certain et d’autres directement dans la nature donc aucune nouvelle ( comme on dit pas de nouvelle bonne nouvelle, j’espere pour eux) bref si des gens on vécu ca j’aimerais bien quil me fasse partager leur avis, les point négatif possitif de leur aventure etc etc
Mais que d’ironie Antlia mdr
En te lisant j’ai parfois l’impression qu’on ne vit pas sur la même planète lol
Enfin cela peut être parce que tu ne côtoie que des d’jeun’z de la ville?
Je suis toujours surprise, regarde mon compagnon et moi, nous avons des amis aussi qui ne sont pas comme ca.
On peut très bien s’entendre avec des personnes plus âgés j’en suis sur. Le truc c’est que tant les plus vieux que les plus jeunes oublie le respect de base de la communauté… Accepter que les autres pense différemment, essayer de comprendre l’autre.
La guerre va éclater nous en sommes convaincus mon compagnon et moi… Regardons les choses en face… Il faut s’entraider.
Il n’y a pas de jeunes ou de vieux, il n’y a pas d’hommes ou de femme, il n’y a pas d’ironie à utiliser, il n’y a que la compréhension de l’autre, le retour aux valeurs simples, qui pourra nous aider.
C’est ainsi depuis la nuit des temps, l’homme va loin ensuite boum guerre civile ou autres et on retourne comme des miséreux, on reconstruit ensemble, on s’aide etc pour au final recommencer oui oui et le retour en arrière est j’ai l’impression car les gens en ressortent plus aigris encore qu’avant, plus individualiste, etc.
Il faut s’en rappeler au quotidien, le dialogue mais surtout la compréhension de notre environnement et de ce qui le peuple( homme femme enfants, chien chats plante tout) !!
On a tous à apprendre des uns des autres.
Très belle façon de présenter les choses. J’aime
Bonjour à tous,
Cela fait un certain temps que je lis les commentaires de cette discussion sur l’expatriation et c’est impressionnant de voir combien cela est révélateur, effectivement, d’un mal-être social, peut-être même d’un mal être tout court.
Se coltiner la vie parraît plus insurmontable que cela ne l’a jamais été, et pourtant ce ne sont pas les solutions qui manquent.
Nous avons tous des discours sur le monde, nous voilà prédicateur de l’avenir, comment prédire quelque chose que l’on crée au quotidien si ce n’est que l’on ne croit pas en soi ou en les autres?
Prédire la guerre par exemple est la chose la plus aisée qui soit à l’heure actuelle, vu la présence de plus en plus palpable de celle-ci. Prédire la paix, ou la liberté ou un nouvel état de grâce de l’humanité se révèle beaucoup plus courageux, parce que, effectivement, il faut s’obliger à imaginer une cohésion, il faut travailler sa confiance en soi et en les autres, il faut oublier ses repères et ses croyances, travailler à désosser lentement ses conditionnements et les pièges que ceux-ci renferment. Finalement, ce forum me montre à quel point il est plus aisé de penser que la solution à notre condition humaine est extèrieure à soi, que de travailler à révéler ce qu’il y a d’unique en soi, et qui se verra, nourrira les autres autant que nous-même, où que l’on soit.
Mais ce travail ne peut provenir que d’une acceptation profonde d’être au monde, et celle-ci arrive un peu comme par magie. Parfois la vie est joueuse et ce n’est pas du tout là on imaginait découvrir des choses, que l’on en découvre pourtant. Donc, pourquoi ne pas partir à l’aventure si cela répond à un besoin intèrieur? sommes-nous plus en sécurité chez nous si notre existence ne nous plait pas? La complexité de cette question vient du fait que certains croient qu’il faut suivre une voie intérieure quoiqu’il arrive, et que d’autres pensent que s’assurer une sécurité matérielle est plus important que d’écouter ses états d’âme. En définitive, vous vivez bien sur la même planète, mais vous n’abordez pas la réalité de la même manière, c’est pourtant bien la même réalité, et cela parce que votre vécu est différent, que les peurs qui y sont attachées sont différentes, et donc certaines choses inimaginables pour les uns se révèlent être tout à fait admissibles pour d’autres. La seule et unique réponse que je peux donner à quelqu’un qui veut partir, quitter sa vie, pour une vie sauvage c’est: Je n’ai aucun conseil à te donner, comme je ne peux donner de conseil à un animal non-domestiqué puisque je le suis moi-même. Néanmoins, la piste que j’ai personnellement emprunté, le choix de l’autonomie matérielle et de l’autarcie, m’a permis de reprendre possession d’une partie de moi-même que le monde avait fini par me faire oublier, de faire tout un tas de choses par moi-même, et de sentir au plus profond de moi le besoin de l’autre, la nécessité de l’autre, j’ai profondément compris que la force humaine nait du groupe lorsqu’il est unit, et cela sans cause, ni recherche de pouvoir. Et finalement, le groupe ultime étant l’humanité entière, tachons de ne pas en être dégouté, regardons et cultivons ce qui peut unir, ne formons pas de guilde ou de communauté contre ou pour quelque chose, contre le monde, contre la maladie, contre je ne sais quoi, car lorsque nous sommes contre, nous sommes affaiblis de tous ceux qui sont pour, et inversement. Et si vous imaginiez être pour, seriez-vous inhumains? simplement ignorant des raisons d’être contre? ou auriez-vous peur des répercussions que le contre auraient sur votre existence? (familiale, sociale etc…). Qu’est-ce qui nous unit?
Bonjour,
Enchainant les boulos merdiques, les formations et les périodes de chomage en France, j’ai de plus en plus envie de plaquer cette société aliénante qui de toute façon va dans le mur (sur-consomation, destruction de la nature, polution, esclavage des animaux, pognon, propriété privée des sols et espaces naturels, et j’en passe…).
Le projet est donc de vivre dans une tribu qui soit en autonomie et en armonie avec la nature.
Cela fait plusieurs années que j’ai cette idée en tête, c’est en quelque sorte pour moi une “procédure” pour quitter cette matrice qu’est le monde dit “moderne” actuel.
Je souhaite vivre en accord avec mes convictions, la société actuelle ne le permet pas.
Pour cela après avoir étudié pendant longtemps les possibilitées, j’en ai retenu finalement 2, dont 1 qui me parait la plus intéressante: vivre avec une tribu masai en tanzanie.
A savoir que non influencé par mon environement famillial je mange végétalien la plupart du temps, et végétarien ponctuelement (oeufs bio, poisson, fromage de chevre ou brebis).
Je sais que les masai mangent pratiquement que du lait et sang de vache, avec certainement quelques herbes locales.
Bref je vais développé si vous le voulez, mais dans un premier temps, pensez-vous que cela soit faisable ou bien que je suis fou?
Merci pour votre lecture.
Ouaip ! C’est toujours des tartines d’idéologie dans ce forum et ces tartines, outre qu’elles sont indigestes ne nourrissent pas son homme.
Et bien sûr, tous les tartineurs ne font rien de concret parce que plier le réel à son idéologie est trop difficile.
Pourquoi ne pas être simplement réactifs à des choses qu’on n’a pas envie de vivre ? Choses toutes bêtes d’observation évidente. Pour ma part le coup de pied salutaire à mon postérieur symbolique est venu de l’impossibilité d’avoir un job passé 40 ans alors qu’en même temps je croulais sous les taxes.
Sortir de ce pays qui crève et qui veut crever est une réaction salutaire. Et on peut alors chercher tranquilement une alternative à ce sous salariat que seuls les jeunes arrivent encore à trouver et qui ne couvrent même pas leurs frais.
Bon, à ce niveau, je suis plus serein sachant que je ne trouverais personne ne fut ce que pour faire une grande vadrouille. Et je me suis aperçu que, en voyageur solitaire pendant plus d’un mois et demi en Patagonie, je vivais sans le moindre manque, avec 3.000 livres électroniques dans ma liseuse et toutes sortes de musiques en clés USB dans ma camioneta quatquateuze.
De toute façon l’espèce humaine est au bout du rouleau. Elle a déjà joué les prolongations vis à vis de bien des espèces animales. Elle s’est hissée par une violence permanente de prédateur au sommet de la chaîne alimentaire et elle ne peut plus avoir comme avenir que d’en dégringoler. Rien de fantasmatique dans mes propos ce ne sont que des constatations matérielles et indéniables : surpopulation qui détruit le milieu de vie, alimentation désastreuse qui réduit l’espérance de vie des jeunes obèses de plus en plus nombreux, perturbateurs endocriniens qui font régresser l’intellect (résultats 20 % inférieurs au test de Binet-Simon à 60 ans d’intervalle et dans la même catégorie), etc. etc.
Donc l’expatriation n’est, pour moi, que la solution de se bricoler un radeau de sauvetage pour fuir le Titanic qui coule (dans les eaux glacées du calcul égoïste aurait pu dire Marx). Ne pas fantasmer sur une île déserte idéale, juste être pragmatique. Par exemple dans le pays où je suis résident, le Paraguay, c’est désastreux aussi au niveau des relations humaines, mais la monnaie est stable et les comptes à terme sur 2 ans rapportent 10 à 11 % d’intérêt annuel. Avec ça je peux vivre comme un (petit) rentier, ce qui n’est déjà pas mal. Donc avec mes lectures, mon informatique et mes vadrouilles, ça va. De toute façon je ne peux rien faire avec les autres et ce n’est pas faute d’avoir essayer.
Bonjour à tous, bonjour Antlia,
Premièrement ton message est aussi une tartine, et deuxièmement il n’est pas moins idéaliste que les autres. Tu t’es fais ton idée du monde, que tu nous déballes largement et tu agis en conséquence. C’est une belle manière d’imposer son point de vue aux autres, et c’est donc une pure parole d’idéaliste. C’est juste que ton idéal n’est pas humanitaire, ni humaniste mais celui d’un rentier, d’un explorateur ou d’un colonialiste. Résultat, tu ne peux pas collaborer avec les autres, et c’est pas faute d’avoir essayé…
Ta manière de nous donner ton expérience est assez autaine, tu ne nous connais pas, mais toi c’est forcément vachement mieux.
Mais bon, à force de lire paradoxe sur paradoxe, on va peut-être pouvoir se faire une idée sur la question.
Bonjour a tous,
Avant de me présenter je tient a vous faire uneconclusion bénéfique pour tous le monde par rapport a vos message.
Le but est de reussir à trouver des personnes femme comme homme déterminner et capable à vivre dans la forêt.
Je me présente je m’appelle Alexandre , j’ai 20 ans. Ayant un BEP et un BAC gestion administration et plusieur stage ainsi que boulot j’ai pu constater que la vie “urbaine” n’est pas du tout mon délire. ( impôt,loyer ect)
Depuis tout petit je rêve de vivre dans la forêt avec une bonne communauté!! Et je fais appel a tous ceux qui sont déterminer a vouloir CREER SA VIE ET NON PAS LA SUBIR!! me rejoindre s’ils ou elles le veulent.
Plus on sera plus on aura de chance de survivre les peuples indigene on pu tenir plus 10000 ans comme sa alors pourquoi pas nous ?
Je tiens a préciser qu’il n’aura pas de retour en arrière quand on y est on avance et on abandonne pas ses cooéquipier.
Déjà il faut être sérieux dans le sens des mots. L’idéalisme, si on prend la définition d’Engels, “est le processus de pensée faux par lequel le penseur interprête le monde en fonction des idées alors qu’il faudrait interpréter les idées en fonction du monde”.
D’où l’adaptabilité et la réactivité dont j’ai parlé. Egoïsme, oui, sans doute, mais à partir de moi et non se résumant à moi. Effectivement je n’ai rien d’un “humanitaire” qui est la sauce idéologique derrière laquelle se cachent les margoulins. Rentier, oui, puisque c’est tout ce qu’il me reste à faire pour assurer ma survie. Explorateur, sans doute aussi puisque j’aime bien vadrouiller hors des lieux touristiques. Colonialiste ? Alors là je ne vois pas à quoi tu peux faire allusion. C’est une structure sociologique et économique que je n’ai ni connue et encore moins pratiquée.
Faute de mieux j’ai mené mon immigration tout seul et je ne le regrette pas. A perdurer en France c’eut été la misère. Ma démarche n’était pas individualiste pour autant puisque j’ai cherché des acolytes de la catégorie concrète mais je n’ai trouvé que des rêveurs à propos d’îles désertes et de forêts alors qu’ils ne connaissent ni les unes ni les autres. Projets fumeux irréalistes et donc non réalisés. les fameuses “robinsonnades” dont se gaussait Marx en 1855.
Et ces projets fumeux, qui n’ont jamais le début d’une réalisation, s’étalent depuis 10 ans - au moins - sur le forum du Routard. Et chaque fois que j’ai avancé un projet qui pouvait, lui, se concrétiser, et ce sans un capital irréaliste, je me suis fait rembarrer. Les rêveurs, effectivement, n’aiment pas être réveillés dans leurs songes roses.
J’ai donc compris que si je ne voulais pas finir sdf en France il fallait que j’empile mes affaires dans un container et aller voir un pays où la vie est plus accessible pour ceux qui ont des réserves financières limitées. Je ne vois pas où tu trouves de l’idéalisme là dedans. Pour moi c’était bien la conséquence logique d’une “analyse concrête d’une situation concrête”. Et si je ne pouvais rien faire avec d’autres, ce que j’aurais préféré, je n’allais pas renoncer à vivre pour autant.
Effectivement il existe encore dans des coins de la planète Terre où on peut acheter un terrain pas cher, y construire ce que l’on veut et aucun organisme administratif y trouvera à redire même si on y a planté la plus infâme baraque. Il n’y a qu’au Chili qu’ils exigent que toute construction ait une fosse septique, ce qui est une exigence très acceptable.
Partant de cela et en ayant, bien évidemment, pris de bons contacts avec les locaux (ne surtout pas vivre comme les allemands et les anglais : en ghettos) on peut avoir une idée concrête des “choses” à faire pour assurer une activité économique.
Mais là où ça coince à notre époque, qui n’est plus celle de Jules Verne, c’est la dimension sociale. Difficile, voire impossible, de constituer un “effet de groupe” viable et fiable. Ce n’est plus dans l’air du temps. J’ai connu, à ce sujet, les derniers regroupements communautaires dans les années 70. Donc je crains que tu ne trouves personne d’un tant soit peu sérieux sutout si tu cites la directive 227 de Joseph Staline « Pas un pas en arrière ! » (Ни шагу назад!, Ni chagou nazad).
Ceci dit ta réflexion est très pertinente sur “l’effet de groupe” qui est une notion de synécologie (dynamique des populations) et qui est le nombre nécessaire d’individus pour assurer la survie dans un lieu donné.
Salut,
Antlia je suis d’accord avec toi sur un point. Le fait que tous le monde rêve c’est a die que tous le monde parle mais que les choses n’avance pas. Je tiens aussi a souligner ton courage et un respect envers toi apreès avoir survécu tout sa.
En revanche, il ne faut jamais abandonne, la société est tellement compliquer que la surmonter seul est très difficile.
Ce qu’il faudrait faire est de réussir a trouver un groupe de personne déterminer a vouloir faire se projet.
Pour ma part c’est un rêve de gosse donc au lieu de le faire tout seul j’ai penser partager se rêve avec d’autre personne.
C’est une tâche qui sera compliquer au début pour les préparatifs mais une fois finis sa ne sera que du bonheur et enfin nous connaitrons la vrai liberté vivre dans la forêt avec une bonne communauté est magnifique pour moi!
Alors si il y a des volontaires je suis prenneur plus on est mieux c’est
Salut Antlia,
Tes raisons sont personelles, et je n’ai pas à juger cela, ça te regarde. Mais ce que tu considères comme une nécéssité collective est en fait ta necéssité. C’est en cela que j’ai trouvé ton 1er message un peu “colonialiste”. Mais ce n’est peut-être pas le bon mot, je m’excuse.
Je vais essayer d’être plus clair.
Engels, c’est quoi 1820? Communiste? D’autres plus récents, comme Bachelard, présentent l’idéalisme comme une construction mentale faite de projections “instantanées”, incomplète de tout ce que l’individu est incapable de percevoir et qui constitue sa réalité. Et puis d’autres, plus anciens, voient ça comme une perfection inégalable, même inpensable.
Dire que de toute manière “l’espèce humaine est vouée à…” ou je ne sais quelle affirmation polémique de ce genre est très idéaliste dans ce sens. C’est un raccourci désespéré sur lequel on batit nos existences, mais ce n’est pas LA réalité.
Nous sommes obligé, si l’on se penche un peu plus précisément sur chaque chose, de constater que ce n’est pas aussi simple et que nous n’avons en réalité aucune réponse satisfaisante à toutes ces questions portant sur la condition humaine. Toi tu fais comme ça, d’autres font autrement. Sur la condition animale et environnementale, je suis d’accord sur ce qui est observable, mais si nous restons humbles, nous sommes obligés de constater que nous ne savons pas grand chose non plus des conséquences réelles de tout cela. Par exemple, tu dis que l’esprit communautaire est dépassé, mais tu n’es pas allé partout pour voir si, effectivement, c’était le cas. A 10 kilomètres de chez moi, au milieu de la France, il y a une communauté de maraîchers bios, organisés et vivants sur place, les enfants font école à la maison, ils produisent 95% de leurs besoins quotidiens, ils traversent les difficultés de leurs choix ensemble, ce n’est donc pas parfait, mais bien vivant. Il y a des concerts, des ateliers pour ré-apprendre à “faire” avec tout un tas de choses perdues depuis l’industrialisation.
Trouves-tu cela idéaliste?
J’ai l’impression qu’on accuse toujours le monde, ou la france ou les autres, en vain.
Tenter de définir un pays est aussi vain que de tenter de définir le monde ou les autres. La rencontre “idéale” pour moi, c’est toujours la possibilité de découvrir, peut-être, quelque chose que je ne connaîs pas, que je ne peux donc pas définir. Toi par exemple.
“Ce qu’il faudrait faire est de réussir a trouver un groupe de personne déterminer a vouloir faire se projet.”
hé j’ai pas envie de vivre avec des casse-pieds en communauté qui vont me donner des ordres…parce que dans l’instinct grégaire humain il y a les dominateurs et les dominés ( je pense que ça doit être pareil chez les groupes de bonobos ou chimpanzés en Afrique)
Moi je me considère comme un hyper-individualiste, si je vis reclus en forêt avec mon camping-gaz et ma tente c’est pas pour subir des critiques à deux sous…parce qu’il y a toujours quelqu’un à vous dire comment il faut faire dans une communauté.
Les donneurs de leçon ça suffit ,je veux être un homme libre.
Salut ame Nomade,
Justement se n’est pas pour donner des ordres je te rassure. Pour moi l’idée d’avoir un chef ou dirigeant d’un groupe ne dois pas existé. Pour ma part par exemple si il y a un groupe de 10 personne et bien ses 10personnes sont 10 chefs et ensembles les décisions elle prendront.
Mon projet et pour ma part une solution de vivre sa vie et non pas la réver et surtout d’être libre alors je le redis pour pouvoir y aboutir il faut être nombreux sinon cela sert a rien.
Pour conclure arreté tous de vous plaindre de la société actuel car si vous rester et la défender c’est que vous le voulez bien. On vous donne une chance de vous aider et vous préferer la renier mais sa c’est pas un problème mais de la a la critiquer sa ne se fais pas.
Je tenais jjuste a le souligner après chacun est libre de ses paroles
bonjour Alexandre12100
membre assidu du forum du Guide du retort que je suis,c’est avec gourmandise que j’apprécie de croquer dans les tartines de certains (quoiqu’un peu trop édulcorées à mon goût).
Et c’est donc avec la plus grande des chances que je souhaite ton projet réussir.
Ceci dit il y a une pointe de naïveté car il faut compter avec les égos de chacun dans une communauté.
Et chassez le naturel , il revient avec Max Gallo…
Ce qu’il y d’amusant dans l’époque actuelle (il faut envers et contre tout garder le sens de l’humour) c’est que ce mode de vie communautaire que j’objectivise de biologique façon dans l’effet de groupe était plus présent à une époque “que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître” et où, il faut bien le dire, n’était pas aussi nécessaire à la fois d’un point de vue économique (un boulot, certes pas extra, se trouvait en deux jours rien qu’en regardant les annonces de l’ANPE) que relationnel car les villes n’étaient pas encore ces fourmilières d’hommes seuls dont parle Albert Camus.
Et là qu’observons-nous ? Alors que les conditions objectives devraient nous pousser à bricoler notre radeau de sauvetage pour fuir le Titanic qui coule, il ne se passe rien. Ceux qui fichent le camp le font en solo que cela soit voulu ou non. Et, bien sûr, c’est très limité comme perspectives, j’en parle en connaissance de cause.
Ame Nomade relève le problème des égos (à ne pas confondre avec “la conjuration des égaux” de Gracchus Babeuf). Une hypertrophie rendant impossible toute discussion constructive. Dès que quelqu’un avance une critique, une proposition, c’est la volée de bois vert.
Cette nouvelle mentalité, incapable de faire “la part des choses” dans les propos de l’Autre fut relevé par le psychanalyste américain Cristopher Lash. L’on peut avancer une hypertrophie du registre imaginaire car les nourrissons actuels baignent dans les images télévisuelles bien avant le stade du langage. Ainsi se construit chez eux une vision de l’Autre comme une totalité non discutable qui ne peut être qu’acceptée globalement, ce qui est rare, ou rejetée globalement ce qui est plus commun. “La part des choses” dont je parle se fait dans une autre structure mentale, plus commune en d’autres temps et en voie de disparition actuellement. Ceci expliquant la pauvreté de la vie sociale actuelle dont le présent forum du Routard n’en est qu’une petite représentation.
Pour ceux qui seraient perdus dans ces histoires de registres du psychisme mis en évidence dans la psychanalyse moderne, je ferais une comparaison plus bureautique : Si vous écrivez une phrase avec un traitement de texte vous pouvez modifier comme il vous plaira le texte que vous avez écrit. Par contre si vous le faite dans un traitement d’image comme Photoshop, vous écrivez votre texte dans un “calque texte”, mais, si vous “aplatissez” l’image pour en faire un jpeg ou autre il vous sera impossible de modifier le texte qui sera fondu dans l’image. Si le résultat ne vous plait pas vous ne pourrez que détruire le fichier car il est impossible à corriger.
Cette petite métaphore représente bien la difficulté des relations humaines actuelles et ces égos non négociables. C’est pourquoi je ne crois pas trop que puisse se créer une communauté dans l’époque actuelle, si bonnes soient les raisons de sa création. Même les couples ne durent pas longtemps ce qui conforte la phrase de Raoul Vaneigem écrite pourtant en 1967 : “l’isolement à deux ne résiste pas à l’isolement de tous”.
moi aussi je recherche des personnes pour vivre dans la nature.
c’est sur tout le monde doit apporter ces competences.
Je suis volontaire à la vie en pleine nature. D’abord décidé à monter ce projet en solo, il apparaît plus raisonnable de débuter en groupe avant de voler de ses propres ailes ou non, si la vie en communauté convient.
Je suivrai régulièrement la discussion. A bientôt.
Bonsoir
Je suis arrivee sur ce Forum parce que je me suis expatrièe pour le travail au ĺiban. Je ne me sens pas bien parce que prisonniere d une situation que j ai choisie mais qui ne me satisfait pas.
Je trouve tres juste ce que vous avez ecrit. Une humanite qui s epanouit ,il faut y croire. Pour cela chacun y participe.
De vivre en autarcie j admire.
Accepter l autre Tel qu il est sans juger. Et s accepter soi meme. Savoir ce que l on veut c est l essentiel.
En France on peut vivre bien. Il y a pleins de beaux endroits. A l etranger aussi sans doute. Mais il n y a pas d endroit parfait.
Je repond egalement present.Je vais bientot avoir 21ans,celibataire et je sais faire pas mal de choses de mes mains.Coutellerie, archerie, plantations, survie en foret construction de type bushcraft je recherche une communaute pouvant m’acceuillir et batir avec eux, un vrai mode de vie, base sur les fondamentaux du partage et de la liberte.
Je vous donne donc mon adresse mail robsurvie@outlook.com Apparement dans les montagnes de l’espagne il y aurait des ruines de villages deserte tres difficles d’acces ou des gens, des communaute on vu le jour.Pourquoi ne pas creer un groupe, et echanger dans un premier temps, tout plaquer enssemble et partir pour une destination de le groupe aurait choisi? Cordialement
@ Bobb
Ouch ! Les villages abandonnés c’était dans le début des années 70. Effectivement on pouvait acheter cela pour une bouchée de pain. J’en ai connu qui… s’en sont mordu les doigts. Non seulement parce que c’était des ruines mais que la terre cultivable était partie avec l’érosion que la ou les sources qui alimentaient le village se sont taries et, bref c’était devenu invivable. Et puis c’est toujours la France avec ses administrations racketteuses. Dans le Limousin où, avec un ami on retapait une grange pour en faire une maison d’habitation (je ne vous dis pas les tracas si on ne voulait pas passer par un architecte) on n’a jamais pu avoir l’électricité. Motif : on n’avait pas une assez bonne prise de terre (sur un terrain granitique ce n’avait rien d’étonnant, mais en même temps on était les seuls à avoir fait cette tentative tous les autres habitants du hameau avaient l’électricité et sans avoir une prise de terre, bonne ou mauvaise).
Ceci pour vous dire que si vous comptez vous installer en France vous rêvez (ou vous êtes super friqués pour payer tous les impôts locaux qui augmentent sans cesse).
Et là on ne parle que de l’habitat or il faudra bien gagner des sous.
N’oubliez pas que la France est reconnue comme fabriquant de plus en plus de pauvres. Et je rajouterais qu’il est - de plus - impossible de vivre pauvrement, je veux dire avec encore un peu de dignité. La loi LOOPSI 2 est passée par là et les pauvres sont à la rue.
Vous comprendrez alors que sans faire spécialement de l’exotisme il vaut mieux se délocaliser (ce n’est pas réservé qu’au seul MEDEF) dans un pays où les 9/10e de ces contraintes n’existent pas. Je ne prétend pas connaître toute la planète mais, en Amérique du Sud il y a des possibilités. Ça fait 5 ans que j’y vis, en solo (hélas) et je ne regrette pas.
Au sujet des “communautés”. Comme je l’ai écrit : faut pas rêver, ce n’est plus dans l’air du temps. Mais je n’ai nullement dit qu’il ne fallait pas tenter cette démarche. Donc une communauté ça peut commencer à deux et c’est par celà que j’ai tenté cette approche en suggérant un “voyage d’étude” qui serait à la fois le test de nos personnalités grégaires et les réflexions sur le possible à faire et à vivre dans les pays visités. Mais, comme je vous l’ai dit, bernique, je n’intéressais personne, j’étais trop concret.
Pourquoi c est si difficile de trouver une compagne pour vivre ce choix?
wouah faut arrêter le misérabilisme un moment…et puis je le sens arriver gros comme le nez au milieu de la figure, ça va être la faute encore une fois à l’Etat…
c’est aux français de se sentir responsables et de se prendre en main;
l’Etat en France, ne peut pas être derrière chaque individu comme un petit chien…
donc c’est à vous tous membres du forum du Routard de savoir comment faire du business et de gagner de l’argent.
Parce que des moyens pour gagner de l’oseille y’en a certainement.
Donc achetez vous un bon bouquin d’économie de maché pour faire du business.
Parce que si vous gémissez trop longtemps de toute façon les anglo-saxons et les asiatiques vont vous bouffer ce qui est le cas à l’heure actuelle où nombre d’entreprises françaises tombent dans les mains des capitaux étrangers.
Arrivederci Roma
Oui ame nomade, on a bien compris que tu es ultra-libéral et pro-capitaliste et c’est tout à ton honneur, je ne porte pas de jugement. Ceci dit, je crois que le sujet est à la recherche d’une alternative profonde et spirituelle et non manger pour ne pas être mangé.
Chacun est responsable de sa vie de ses choix et de ses projets. On a des attentes c est sur lorsque l on est dans le relationnel on se projete meme á court terme.
Des mecs qui ne revent que de grosses voitures et de gros cigares aussi…
Le bonheur c est tres relatif. Il suffit d etre modeste et d accepter sa vie avec ses contraintes et ses petits plaisirs. Le monde de l image nous fait miroiter d autres vies possibles soit disant meilleures ce qui perturbe notre choix profond.
Ou je suis actuellement je vois vivre une famille syrienne dans un tout petit logement. Il s agit d un couple avec trois enfants. Ceux ci sont toute la journee dehors ils font du velo un truc a deux roues tout deglingue ils vont nourrir les poules chercher des legumes des herbes pour leur maman. Les parents ne jouent Jamais avec eux mais le papa emmene sur son vieux scooter toute la famille faire un tour. Et la c est la joie.
De l argent il en faut pour vivre mais pas pour etre heureux.
Notre consommation nous pousse vies notre perte toujours plus, plus propre, plus fort, plus beau, plus pollutant, plus confortable. Retrouver un sens. …
Nos egos se construisent sans.
Construire une vie normale … un challenge. Qui est pret á relever le dèfi?
ultra libéral je ne sais pas mais pro-capitaliste là c’est certain ha ha hi hi…
faut pas être idiot non plus j’ai pas envie de me crever au travail;
moi je veux être riche et aller faire de la plongée aux Maldives, hôtels luxueux
le but de la vie c’est de s’amasser un capital pour se faire une rente après
Beaucoup de plaisir á chacun dans ses choix.
Mon envie profond serait de construire une roulotte et de partir pendant quelques mois…
Le souci c que je suis seule. Je cherche donc un compagnon bricoleur… Le cheval et l attelage je connais un peu car j ai pratique.
Avis aux amateurs.
Un autre film cool c’est " captain fantastic " ca parle d’une famille qui survit en foret loin du monde moderne.
Bonjour a tous veuillez me pardonner de mon absence mais j’ai eu un problème avec mon mot de passe.
Après avoir lu chacun vos commentaires je dois vous signaler que vous vous éloignez un peu du sujet si je peux me permettre ^^ à la base la question est qui souhaite partir vivre en forêt et qui serais prêt a faire une communauté déterminer à survivre et être libre
Enfin pour ma part je rechercherez des personnes ayant envie de réaliser se projet vous voyer il faudrait être minimum 20 et que sa soit mixte bien entendu enfin bref jai réflechi a tous les détails je suis même en train de faire un guide de survie avec toutes les plantes, les champignons commestibles, comment faire le feu de differente façon ect…
Pour conclure je suis bientot prêt pour le départ et il ne manque plus que créer un groupe et décider du lieu
Merci de votre comprehenison
Bonjour a tous veuillez me pardonner de mon absence mais j’ai eu un problème avec mon mot de passe.
Après avoir lu chacun vos commentaires je dois vous signaler que vous vous éloignez un peu du sujet si je peux me permettre ^^ à la base la question est qui souhaite partir vivre en forêt et qui serais prêt a faire une communauté déterminer à survivre et être libre
Enfin pour ma part je rechercherez des personnes ayant envie de réaliser se projet vous voyer il faudrait être minimum 20 et que sa soit mixte bien entendu enfin bref jai réflechi a tous les détails je suis même en train de faire un guide de survie avec toutes les plantes, les champignons commestibles, comment faire le feu de differente façon ect…
Pour conclure je suis bientot prêt pour le départ et il ne manque plus que créer un groupe et décider du lieu
Merci de votre comprehenison
Salut, je suis partant pour me contacter > yoyidove@yahoo.com
j’ai vraiment aimé les débats, mais il serai sage que les personnes qui n’on pas même pas mis un pied dans un camping se taise car c’est un “sujet” (principale) qui faut connaître en l’ayant vécu un minimum, on ne peu pas être “expert” en couleur blanche et dévelopé sur du bleu enfin …
Je m’appele Yann je suis Boucher de métier j’ai 30 ans (je consomme ni drogue ni alcool) si des personnes sont partantes je veux bien mis joindre enfin en discuté avant biensûr .
Juste pour vous signaler que je suis toujours le débat. Pour l’instant je bosse mais je garde le projet en tête. Je devais faire un stage de survie le week-end dernier histoire d’acquérir de l’expérience mais c’est tombé à l’eau. Ce sera pour une prochaine. A bientôt tous ! ( manifestez-vous de temps en temps pour savoir si vous êtes toujours partants ).
salut je recherche des personne pour vivre dans la nature on peut en discute si tu veut
Bonjour je suis très jeune mais ambitieux j’ai 15 ans et je veux créer un groupe de personnes voulant quitter la civilisation sauvage et rejoindre le silence de la survie
On pourrait croire que je suis un petit gosse qui a un rêve comme tout le monde ,mais non
Je pense des choses particulières et je pense que je ne suis pas la seule personne à penser sa
Je pense que la civilisation n’aurais jamais du exister jamais du se développer tant on est trop sur terre on aurais put rester à la vie autonome on aurais pu rester à la vie sans consommation excessive.moi je veut quitter cette civilisation ,vivre de ce que je crée .rare sont les gens que j’ai connu qui ne mon pas pris pour un con quand je leur ai dit que je voulais vivre le restant de ma vie dans la nature ,on me dit que je vais crever ,que sa sert a rien,que le boulot que je vais faire dans ma survie à déjà été fait par les hommes d’aujourd’hui , je veux rassembler les rares personnes qui pense comme moi pour partir vivre dans la nature ,organisez avec moi cette suivie .ou?quand?combien?quoi? je ne veux plus vivre dans la bourgeoisie simple,dans le confort .je sais c’est bizzare mais je veux ça .goûter au danger et à la difficultée avant de mourrir .je ne suis pas inconscient je ne veux pas mourrir au bout de 2 jours .je veux organiser ça aidez moi.mon entourage ne partage pas mes idées vous peut être oui contactez moi sur charlie.mignemi@laposte.net