Je pars le 05 mars à Salvador. Est-ce que ceux qui viennent d’y passer peuvent me dire comment est la situation au niveau sécurité depuis la fin de la grève de la police??? Est-ce que la situation est revenue à la normale?
J’ai lu quelque part qu’il était déconseillé de prendre un taxi depuis l’aéroport tôt le matin ou tard le soir, c’est vrai?
Merci d’avance pour vos réponse!
Sophie
voyages5c2
La situation a été TRÈS tendue pendant la grève. Mes amis locaux ne sortaient de chez eux qu’en cas de nécessité absolue.Depuis, tout est rentré dans l’ordre et la situation est redevenue normale !
Bon voyage !
poesy_by_sophie3
Merci bcp pour votre réponse! Je pars demain…
Je viendrais faire un tours sur le forum à mon retour!
Anonyme4
bonjour,
Je suis actuellement à Salvador et hier jour ferié j´ai eu le malheur de me faire arracher mon sac à main. ( rue Carlos Gomes)
En effet, hier était un jour ferié tout le monde était sur les plages et personne en centre ville, boutiques fermées.
Preferez le bus ou taxi si vous devez faire un trajet seul.
Anonyme5
une chance qu’ils vous aient laissé les bijpux, c’est trés pauvre, le centro,
Anonyme6
Bonjour,
Alors êtes vous revenu de Salvador.Ca m’interesse j’y vais en juillet.
Merci
benj777
Très souvent, le soir ou les week ends / jours fériés sont effectivement souvent très mal famés parce que déserts. Pedibus jambus quand il y a du monde, quelques précautions comme partout sans parano excessive.
Les taxis ne sont pas très chers, faites les travailler (ces histoires de taxis “à ne pas prendre à l’aéroport”, ça relève du fantasme: cela dit si vous avez des craintes il y a à celui de salvador un office du tourisme très efficace qui conseille et donne une idée de sprix à ne pas dépasser. Plus les taxis coopérativos à prix fixe: on paye d’avance à un guichet) .
Anonyme8
Bonsoir, merci pour votre reponse donc grande prudence sans parano…
benj779
“prudence” ça suffit^^
Oubliez “grande”
C’est clair que comme dans toute métropole où il y a des camés sans ressources (et pas qu’au Brésil), il ne faut pas tenter le diable. Des fois, je vois des gringos qui font preuve d’une inconscience rare en étalant leurs signes de richesse, et qui pètent totalement un câble quand ils se font piquer ce qu’ils ont exhibé.
Cela dit si vous étes braqué, un conseil. Ne résistez pas, jamais: 99 fois sur 100 ce sont des camés en manque, donc ils sont incontrôlables et sans discernement. Le “tarif” parfois, c’est un billet de 50 R$ tendu spontanément: le vis à vis flashe dessus, il traduit ça en “pedras” et s’en contente pour foncer chez son dealer: ça va plus vite que négocier une “maquina” ou un sac avec son contenu.
nat5810
Je suis désolée pour vous … La Pousada dans laquelle vous êtiez aurait du vous prévenir. Le dimanche il faut éviter de passer dans les rues désertes peu de police et évidemment tous les commerces fermés
Anonyme11
Bonjour,
Mon séjour a Salvador exceptionnel
fête fête fête
logé à Pousada Esmeralda endroit unique je vous conseille absolument cette endroit en plein centre pendant le carnaval c est génial
lors de mon séjour aucun problème de sécurité
bon voyage amusé vous bien
ivan_bahia_guide12
biensur il y a des vols ici à Salvador
comme à Paris, Bruxelles, Amsterdam, Barcelone … non ?
je pense surtour que beaucoup dépend de votre attitude perso dans la rue
si vous êtes discret et ne montrez pas de signes extérieurs de richèsses vous serez déjà moins ciblés
si en plus vous utilisez un sac que vous pouvez mettre au tour du coups (et donc impossible à enlever en courrant) vous serrez garantie d’être tranquille pendant votre séjour ici à Salvador da Bahia
moi, pendant de nombreuses années que j’habite ici, je n’ai encore jaimais été abordé dans les rues, mais des voyageurs volés j’entends toujours la même histoire ET à chauque fois ils confirment de ne pas avoir suivi les quelques règles de bases mentionné ci dessus …
DONC ça depend en grande partie aussi de vous, comme dans n’importe quelle autre grande ville du monde
le bonjour tropical de Salvador da Bahia
Anonyme13
Bonjour à tous,
Personnellement, j’ai passé 1 mois à Salvador dans une favela en aout 2009. Pour un voyage humanitaire avec d’autres jeunes. C’est vrai que en fin de compte, les personnes vivant dans les favelas, sont des personnes dont la majorité ont un boulot. Il y a juste le problème de la scolarisation des enfants qui n’est pas obligatoire, donc beaucoup d’enfants dans les rues. Mais du coup, ils vivent en se disant que de toute façon quelqu’un viendra un jour les aider, puisqu’ils ont l’habitude de voir des Français tout au long de l’année venir dans leur favela les aider à construire des maisons. Donc ils ne font que le minimum. A l’exception, et comme dans tous les pays du monde, il y a oui, malheureusement des gens qui vivent dans la rue et meurent de faim et qui ont vraiment besoin d’aide. N’allez pas chercher bien loin, allez à Paris à côté du stade de France, sous le pont du Périph, j’y ai vu pire que ce que j’ai vu à Salvador dans la favela !
En ce qui concerne la sécurité, a moins de vouloir rester dans les quartiers richissimes, ne pas porter de bijoux, avoir une tenue vestimentaire simple et ne pas se faire remarquer. Il ne vous arrivera RIEN ! Je dirai juste d’être méfiant et de ne pas vous promener trop tard dans un quartier inconnu et seul ou à plusieurs filles…
Les Brésiliens sont fantastiques et n’attendent qu’une chose, partir à la rencontre de l’étranger et du voyageur. J’en garde un merveilleux souvenir !
Petit conseil pour les voyageurs à Salvador, prenez le temps de partir au moins deux jours sur l’île d’Itaparica. Elle est magnifique, vraiment !
Bon voyage à tous !
Marina
benj7714
J’apprends avec une grande surprise que la scolarisation n’est pas obligatoire au Brésil, et c’est sans doute une invention pure que la bolsa familial, une création du gouvernement fédéral sous Lula, allocation versée aux parents dont le montant devient relativement consistant (pour des gens pauvres, en comparaison) qui est versée sous réserve de fréquentation scolaire assidue et de carnet de vaccination à jour (plus une visite médicale annuelle de dépistage)
Depuis la bolsa, le nombre de meninos da rua a chuté de façon vertigineuse sans pour autant disparaître (il reste les gosses en rupture de ban familial et quelques cas particuliers, mais ça n’a rien à voir avec ces millions de gosses qui passaient leur vie ou du moins quelques heures par jour en plus de l’école pour compléter les revenus familiaux, et ce même dans des villes infiniment plus sous développées que Salvador (je pense à Belém, Terezina ou S. Luis: des fugueurs il y en a partout, même à Paris où les gamines tapinent sur le périphérique, les gamins près d’une grande gare de Paris)
C’est d’ailleurs une plaie que ces gringos qui, en prétendant (en toute bonne foi) faire le bien en aidant les gamins des rues leur permettent de s’y maintenir, fichant ainsi en l’air (en se donnant bonne conscience) le travail des éducateurs brésiliens qui tentent de les apprivoiser pour les socialiser et leur donner un avenir.
Parce qu’un petit loupiot de huit ans qui fait le jongleur ou qui vous vend des babioles, c’est attendrissant, alors il gagne sa vie dans la rue (des fois mieux que son père qui a un vrai métier). Quand il aura du poil au pattes, s’il n’est pas allé à l’école, donc s’il n’est pas insérable, il n’attendrira plus personne et pour survivre, deux chemins (l’un et/ou l’autre): les vols, les trafics de drogue avec mort violente au bout, très vite.
Vous voulez rendre service aux gamins des rues au Brésil ?(qui savent tous où se trouve en désespoir de cause une soupe populaire si réellement ils mouraient de faim): ne les aider en aucune manière à survivre dans cette rue en leur filant de l’argent.
Laissez faire les services brésiliens certes très perfectibles, mais de toute manière plus compétents qu’un gringo de passage
ivan_bahia_guide15
" J’apprends avec une grande surprise que la scolarisation n’est pas obligatoire au Brésil, … "
COMMENT ???
Faudrait faire attention avec ce genre de remarques …
La scolarisation est obligatoire entre 4 et 14 ans au Brésil, par LEGISLATION …
C’est vrai qu’on à encore du chemin à faire mais pendent ces 10 dernieres que je vis ici au Brésil je peux percevoir quand mème un bon progrès.
Le bonjour tropical de Salvador da Bahia
benj7716
“”“je m’inscris en faux”"""
il est clair que je parlais au second degré, voulant par là exprimer mon désaccord. Bien sûr que la scolarité est obligatoire au Brésil et très souvent elle est prolongée nettement après 14ans, pour avoir un segundo grau completo (même si on échoue au vestibular)
sherazade7717
Bonjour nous nous allons à Rio ensuite au chute ignassu er à Salvador la sécurité est elle la même qu à Rio quel cartier éviter merci d avance nous partons samedi