Mardi 6/12
Oriana nous offre un café et biscuits avant notre départ. Ils ont été touché du commentaire
élogieux mais justifié laissé sur le site de réservation. Elle dit que Jamal est un bon patron.
Départ d’Aqaba à 8h précise. ON arrive à Amman et nous prenons un minibus public à 1,150
JD pour Jerash (environ 1h de trajet). Pas d’attente pour partir, chouette. ON arrive à Jerash
13h15 et à l’hôtel à 14h. La ville semble bien animée. On pose nos sacs à blue hotel gerash (21
JD/chambre) et on part visiter Jerash
C’est une vieille cité romaine, très étendue mails il ne reste presque rien sauf la porte (l’arche)
d’Hadrien, un peu l’hippodrome. La porte du nord, l’huilerie, les magasins, le temple de Zeus,
le théâtre du sud (moins bien conservé que le théâtre du nord), le temple de l’arc de triomphe,
Hippodrome : 15 000 spectateurs : 244 m x 50 m (athlétisme et course de chevaux)
Le mur de l’enceinte : 3500 m ; le forum a une forme ovale /Théâtre sud (1er siècle)
Récit voyage Jordanie novembre, décembre 2022
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Rue à portiques : 600 m jusqu’à la porte nord. Dalles d’origine, ornière
Tétrapyle sud et nord , cathédrale du 4ème siècle
Eglise st Théodore, nymphée (191 après JC)*temps d’artémis, déesse patronne de la ville ; les
thermes, vestiges de plusieurs églises
Le père du jeune hôte de l’hôtel propose une voiture particulière pour Uma qais, aljun et la
vallée du Jourdain pour 60 JD et un autre jour pour les châteaux du désert 80 D. Trop cher pour
nous. Compte tenu du prix demandé pour une voiture particulière et de peu de bus apparemment
pour se rendre à Umm qais, on décide de faire l’impasse. On s’en retournera demain à Amman
et on essaye de négocier une voiture pour les châteaux du désert et se rendre ensuite à la gare
routière du sud pour Madaba
Mercredi 7/12
On part à pied pour prendre le bus pour amman. Une voiture nous propose pour 25 JD de nous
y amener. C’est un style de taxi collectif. On attend un peu pour qu’il y ait au total 4 personne
à bord et cela nous coûte 1,3. En nous déposant à la gare du nord, on tente de lui proposer un
prix pour les châteaux du désert et il accepte 45 JD (avec les 3 châteaux puis dépose à la gare
du sud pour se rendre à Madaba) ; mais il se rend compte qu’il lui reste 36 % de batterie, pas
assez pour faire l’AR. Il essaye en appelant de trouver une station qui charge. ON la trouve. ½
d’h d’attente. On va acheter un petit pain arabe et 8 fallafels (1 JD° mais le jeune homme
n’accepte pas l’argent et nous les offre ! Quelle gentillesse, quel accueil et ce seront d’ailleurs
les meilleurs fallafels relevés qu’on aura mangés
On retour à la station-service en attendant que la batterie soit pleine mais elle charge lentement.
Le chauffeur nous trouve un taxi pour le même prix afin que l’on ne perde pas trop de temps à
l’attendre. Le taxi s’arrête pour acheter des clopes et une bouteille d’eau à chacune ainsi qu’une
canette
On visite d’abord qsar el kharanah : château construit pour défendre mais pas certains. Ce serait
l’un des premiers khans (caravansérails) islamiques pour les négociants en voyage. Environ 710
après JC. Il fut construit sur l’emplacement d’un édifice romain ou byzantin. Les longues pièces
de chaque côté de l’entrée servent d’écuries. Au centre de la cour, un bassin recueillait les eaux
de pluie. Des escaliers mènent à l’étage supérieur
Qsar el amra : très belles fresques : sous le règne du calife Walid 1er (705-715). Les murs de
ses 3 grandes salles : fresques, salle d’audience (femme nue prenant un bain). A la gauche, 6
souverains pour affirmer le pouvoir du souverain omeyyade sur les souverains. Petite pièce
avec coupole et hammam
Qsar el azraq : basalte noir, début 13ème s. Il y avait 3 niveaux mais détruit par un tremblement
de terre ne 1927. Les constructions antérieures IXème s. Plus tard, les omeyyades en firent une
base militaire. Au 16ème s les turcs ottomans y installèrent une garnison. Puis réutilisé à l’époque
de la 1ère guerre mondiale lorsque T E Lawrence en fit son quartier général au cours de l ‘hiver
1917.
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LE chauffeur nous dépose à Zarga (aux abords d’Amman car il y a un public bus qui y part pour
Madaba 1JD/pers. On est vite plein et on arrive à 16h30 à Madaba (hôtel madaba à 800 m de la
gare routière) : un jordanien nous accompagne mais l’hôtel est fermé depuis longtemps. Ça sent
l’arnaque. Une jeune fille qui travaille à côté nous propose de nous aider. Elle pense savoir de
quel hôtel il s’agit. On tourne en rond avec la jeune fille qui va finalement faire un partage de
wifi dans le magasin où elle travaille et elle se met en relation avec l’hôte l(je n’avais leur
téléphone que sur mon mail, erreur de ma part de ne pas l’avoir noté sur un papier). Elle lui dit
qu’elle est derrière l’église saint Georges et il est difficile de trouver l’entrée mais grâce à cette
jeune fille, nous y parvenons. La chambre très simple, sans armoire, ni commode ni cintre coûte
13 JD avec pdj
Sur la façon de conduire très peu se rabattent sur la droite une fois le véhicule dépassé. C’est le
contraire. Aux abords des villes, on voit des jeunes agiter une assiette ou marmite. C’est pour
montrer qu’il y a un resto
Dans le bus, les arrêts sont signalés au chauffeur en tapant avec une pièce de monnaie la vitre.
Les châteaux du désert : 280 km de l’Iraq pour le premier château, camp de réfugiés d’Azraq à
80 km de la Syrie
Les 2 autres nuits ont été réservées par un site internet. On fait un tour en ville t pour 2,5 JD on
s’achète un dîner à 2 (fallafels (chez Lorena restaurant, proche du Mc Do) et salade houmous
et 2 petites pâtisseries. Le proprio de l’hôtel nous invite à boire un thé à partir de 19h dans la
salle/terrasse où est servi le pdj de 7h à 10h.
On y rencontre un couple de polonais (elle nous dit qu’il y a beaucoup de polonais en Jordanie
car les vols sont peu chers mais leur monnaie est basse). Ils vont visiter le matin les églises e de
Madaba puis iront au mont Nebo.
Jeudi 8/12
Hier soir, on a entendu les cloches qui ont sonné longtemps. Entre les cloches et l’appel à la
mosquée, dur, dur
On part voir le parc arquéologique et le palais brûlé
L’hôtel est moyen pour 13 JD
On va vers la gare routière mais un taxi nous propose après négo 4 JD pour le mont Nébo AR
et ½ sur le mont. Marché conclu. Le mont Nébo est accessible aux personnes à mobilité réduite.
Il faut payer 3 JD pour l’entrée (cher pour la vue !) mais belle vue, un peu brumeuse car c’est
11h quand on arrive. Le taxi, avant d’arriver au mont Nébo nous arrête pour 5 mn (qui vont
s’avérer 25 mn) dans une boutique où ils font de la mosaïque traditionnelle (sur du bois avec
de la colle (faite de farine et d’eau). A ce jour, ils le font avec de la glue et du plastique qu’ils
enlèvent ensuite. Françoise essaie plusieurs bagues et s’en achète une.
Au moment de descendre pour aller au Mont Nebo, le taxi veut partir et nous réclame 4 JD.
Première fois que cela nous arrive. Je lui rappelle notre « deal ». Il accepte mais il faut revenir
dans 1/4d’h . On refuse et négocie ½ h. On revient 25 mn plus tard, plus de taxi (entre la
commission de l’achat de la bague et une autre course qu’il a dû saisir), il nous a plantées là.
Pas grave car on fait du stop puisqu’on est sur la route de la mer morte. Un monsieur nous prend
dans sa voiture. Il a plein de pains arabes et nous invite à en prendre. La route est magnifique,
Récit voyage Jordanie novembre, décembre 2022
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désertiques aux couleurs diverses. Il s’arrête même quand on veut prendre des photos depuis sa
voiture. Il nous laisse à environ 3 km (dit-il) de la mer morte mais c’était beaucoup plus. On
coupe à travers les collines et on arrive à une grande route. Là on suit instinctivement une allée
de palmiers avec des lumières qui doit nous amener à la mer morte. On se trouve face à un
grillage qu’on passe (en dessous) après avoir fait environ 700m.
En fait, la ville proche de la mer morte s’appelle Zarqa. La mer morte s’étend sur 75 km de long
et sur 6 à 16km de large. Sa teneur en sel (33%) n’a rien à voir avec le fait qu’elle se trouve endessous du niveau de la mer. Elle est dû au fort taux d’évaporation qui, au cours des ans, a
provoqué l’accumulation des sels. Le Jourdain s’y écoule, le niveau de la mer cesse de baisser
car on détourne de plus en plus d’eau pour l’irrigation
La douche coûte 1 JD/pers sur la plage publique et il y a une cabine précaire pour se changer.
On s’applique la boue, le rinçage à l’eau de mer puis à l’eau douce. Une jordanienne s’applique
la boue habillée….
Le retour se fait en stop car pas de bus (la plupart passe par Amman). Un jordanien nous prend
pour nous amener à la bifurcation Amman/Madaba mais nous conseille d’aller jusqu’à Zarqa
(il propose de nous y amener) car nous aurons plus de possibilité d’avoir un taxi ou bus, sachant
qu’un taxi coute 25 JD. On opte pour le bus public, l’un à 1 JD et l’autre à 0,5
A Zaqa, proche de l’arrêt de bus, des enfants nous « agressent » dans la voiture du Jordanien et
ensuite à l’arrêt de bus
Vendredi 9/12
Pdj sans se presser. On restera ce jour à Madaba. On fera demain une excursion mer morte et
cascades pour 20J D (2 h u place) puis on ira dormir pour 18 JD à Moah hotel (chambre avec
sdb ° pdj plus décente que celle de Madaba hotel
Après le pdj, on part visiter l’église St John (très belles mosaïques sur la façade). Nous partons
réserver la chambre à l’hôtel à 50 m de l’autre pour demain soir. Il faut payer en cash. Les CB
ont une forte commission pour les Jordaniens et apparemment le paiement est différé jusqu’à 1
mois. C’est pourquoi il y a peu de paiements en CB On se prend aussi un café « tur » mais bien
entendu on reste de bout et non assise sur le trottoir car cela ne se fait pas ici.
Moah land hotel : moabhotel@gmail.com
Bon jus de grenade (1 verre) 1JD L’arbre fétiche de Madaba est le grenadier, représenté sur
beaucoup de mosaïques vendues en souvenir.
Nous invitons Amandine à nous joindre à nous pour aller dîner au même endroit de la veille
Samedi 10/12
Après le pdj, on attend le taxi et on partage avec Amandine (une jeune française) pour aller à la
mer morte et en fait, bien que précisé plus tôt avec le proprio sur les cascades, canyon qu’on
voulait faire, le taxi nous amène à une plage « sauvage » mais pleine d’ordures avec une source
(cascade d’eau chaude en fait cascade est un grand mot) dans un environnement sale. En plus,
une famille arrive pour se baigner et les mecs s’attardent pour zieuter les nanas en maillot. Je
précise qu’il n’y avait personne au début et donc on s’était mise en maillot une pièce. Donc pas
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besoin de faire cette excursion mais plutôt pousser 16 km plus loin pour aller admirer des tas
de sel comme à Pamukkale (en Turquie). Au départ c’était 20 JD puis à 3, c’est monté à 21 et
quand on demande au taxi de nous amener à cet endroit magnifique il nous dit que c’est à plus
de 40 km (ce n’est qu’à 16 km Il appelle le proprio et on négocie pour la voiture pour 5 JD de
plus. On payera 17JD à nous deux pour cette excursion. Au retour, on passe devant le beau
canyon du wadi Mujib mais comme ce n’était pas prévu dans le « deal », on ne peut pas s’y
engager
Dans Madaba, on voit souvent des épices en boules marron ou noir : ce sont en fait des palmier
doum (Le fruit de Doum présente de nombreux bienfaits. L’un des plus populaires est le
traitement naturel de la fertilisation de l’utérus et du sperme masculin, renforçant ainsi la paroi
utérine)
Dimanche 11/12
Départ après le pdj de Madaba. A la gare routière, beaucoup de flics et des bus qui klaxonnent.
Serait-ce à cause du foot (victoire du Maroc hier soir). En fait, on apprend qu’il n’y a pas de
bus ce jour à cause d’une grève de transports en commun, routiers, taxis pour protester contre
la hausse du prix de l’essence. On arrive toutefois à négocier un taxi collectif pour nous amener
à amman (35 km) devant l’hôtel pour 10 JD
Comme on est arrivé vers 10h, on part à pied (2,3km) pour aller à la mosquée Abu Darweesh,
construite en couches alternées de pierres noires et blanches. Quelques garçons agressifs à côté
de la bibliothèque municipale, beaucoup d’étudiantes en uniformes. Quelques jeunes filles non
voilées. La mosquée n’ouvre qu’à 12h30. On attend pour voir s’ils nous acceptent. Mais comme
c’est l’heure de l’office, il faut attendre et pas sûre que l’on puisse entrer. On rentre donc à
l’hôtel en ayant découvert un autre quartier, une autre colline d’Amman.
On va dans un resto où nous prenons une excellente soupe aux lentilles corail (1JD) et une belle
assiette de riz (1,75 JD). Un bon dîner avec des sucres lents pour notre escapade à Salt demain
Notre logeur nous dit que la grève se poursuit demain, qu’il n’y aura pas de transport public
« blanc » mais qu’il y a des bus de l’Etat qui circulent et qu’on pourra se rendre à Salt depuis
la gare du nord (à 2 km de l’hôtel). On ira donc à pied avec notre petit sac à dos.
Lundi 12/12
Pdj copieux et on part à 8h30 pour aller à pied jusqu’à Ragadan bs station (4 km) pour prendre
un bus pour Salt. Or, la grève se poursuit et il n’y a pas de bus direct pour Salt, on nous dit de
prendre un bus jusqu’à une ville à mi-distance de Salt. Là, pas de bus (la grève des conducteurs
se durcit) et on négocie un taxi partagé pour 3 JD les 2. Mais arrivées à Salt, on ne trouve pas
la citadelle (qui doit se situer sur le haut de Salt) ou château et personne ne semble connaître
son existence. Le chauffeur, très aimable, se renseigne et nous amène vers le haut de Salt voir
1 pan de mur bien en ruine, à côté d’une mosquée. Quelques jeunes farçons nous ennuient un
peu. Quelques marches plus bas, nous voyons une autre ruine où est écrit qu’elle était sur les
ruines d’un château turc à la période ottomane. Pas grand-chose franchement. Autant de peine
par un jour de grève pour voir ça, c’est décevant. On descend vers la vieille ville et en effet on
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voit qu’il y a des bâtisses de style ottoman et un souk agréable. On nous confirme qu’il n’y a
pas de bus pour Amman. Entre temps, on s’achète un peu d’épices qui sont servies au pdj et qui
sont mis sur du yaourt ou houmous.
Salt était le centre administratif de la région à l’époque de la domination des Turcs. Quand il a
fallu choisir la nouvelle capitale de Transjordanie, on lui préféra Amman
On décide de ne pas trop tarder pour rentrer il est 14h. Un taxi nous propose 20 JD ou 7 JD pour
nous amener à la ville où l’on est descendu avec le bus depuis Amman. On essaye le stop et on
a la chance d’être prises par un palestinien qui nous amène et nous offre un café en sus, jusqu’à
Amman (à 8km de l ‘hôtel) qui s’avèreront être 5,5. On traverse le quartier des affaires des
banques et on arrive par des petites ruelles où exposent pas mal d’artisans. On aura parcouru
16 km à pied sur de l’asphalte mais on aura eu la chance de tomber sur un palestinien habitant
Salt, adorable, découvert un autre visage d’amman
On passera aussi à côté de la mosquée bleue jouxtée à une église orthodoxe. Bref, beaucoup de
chance. Mission accomplie mais pas facile.
Si vous êtes en mode routard, sans voiture, Salt peut ne pas être visité
Sur tout notre séjour, nous avons croisé peu de femmes non voilées (elles se comptent sur les
doigts des 2 mains), très peu au volant
Mardi 13/12
Pdj aussi bon que la veille (fallafel, halva, tomates, oliviers, concombres, œuf, houmous,
fromage blanc et l’épice qui l’accompagne)
On part vers le théâtre romain (9h, le marché commence à peine à s’installer). On s’arrête à un
stand tenu par un palestinien. En face de sa boutique, un autre palestinien qui parle un peu
anglais<. Il nous dit qu’il y a du chômage ici, que près de 60 à 70 % de palestiniens vivent en
Jordanie, que le gouvernement est pourri, sauf le roi ! Ce jordanien nous propose un café : on
pensait qu’il en avait de prêt dans son arrière-boutique : mais non ! il les commande par
téléphone et nous les offre ! incroyable cette hospitalité en Jordanie.
Au retour à l’hôtel, j’apprends que mon train est annulé il faut trouver un plan B et le train est
très cher quand il s’agit d’acheter un billet sous 48h !
Françoise goûte à midi le mansaf (3,50 JD) : poulet, avec des épices, riz et sauce un pu liquide
blanche
Derniers petits bijoux pour Françoise et on part pour Tabarbour (taxi 3 JD). Le jeune taximan
est un supporter de l’Argentine et on est à la veille de la demi finale. ON le voit « tailler » un
brin de causette, en plein embouteillage avec un autre automobiliste.
Il faut compter 1h30 pour atteindre l’aéroport (3,5 JD/pers)
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Un premier contrôle avec sac et fouillage de sacs pour nous 2 (la boue de la mer morte
confisquée) avant le check in. Puis passeport et autre contrôle, cette fois pour Françoise qui doit
laisser une toute petite paire de ciseaux.
Les ++ Wadi rum >Petra>Wadi Dana>mer morte
Les - : madaba hotel
Salt (si on a peu de temps ou pas de voiture)
Amman : resto où on nous dirige au 1er étage car soi-disant c’est l’espace pour les femmes mais
il y avait des couples en bas et en haut.
L’agressivité de jeunes enfants près de la mosquée à Amman avec le consentement des adultes
Insolite : maté et yerba à Amman
Chèvres au bord de l’autoroute avec campement bédouin
Contraste église orthodoxe et mosquée
Ecrivains publics avec vieille machine à écrire à côté de la faculté de droit d’Amman (on y voit
des étudiantes)
La boue à la mer morte avec la jordanienne qui se l’applique presque toute habillée (sauf le
visage !)
Belles rencontres :
La jeune fille rencontrée à Madaba, non voilée, qui souhaite partir pour prendre en main sa vie
et ne pas faire comme toutes les jeunes filles : se marier, avoir des enfants
Aqaba : Oriane, Jamal
Wadi Rum :
Le magistrat à Karak
Le palestinien à Salt
Les palestiniens dans le souk d’Amman
Farah hotel
Il est conseillé de demander systématiquement au logeur d’écrire en arabe la destination voulue
ou gare pour éviter les incompréhensions
Programme à conseiller selon le nombre de jours sur place
Si 10jours : Petra, wadi dana (si vous êtes en voiture), wadi rum, aqaba (pour la détente), al
karak, madaba (mer morte) , jerash (si fan de ruines romaines), châteaus du désert (en voiture
particulière), citadelle et théâtre romain d’Amman
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