Merci sourisgrise, c’est bien ce qui me semblait.
Imaginons un seul instant, un confinement plus dur, comme hélas nous l’avons connu
(1 an déjà !), où les habitants de province ne pourraient plus prendre l’ avion d’Orly, Roissy, Beauvais, Le Bourget (?), pour les compagnies aériennes, convalescentes, ce serait assurément la mort de la petite licorne.
Hélas fatal pour nos chers disparus (je pense à Christophe notamment, le dernier des Bevilacqua), ce virus aura été et continue de l’être un agent actif et redoutable de la décroissance.