Maroc : voyager dans le désert

Maroc : voyager dans le désert
Merzouga © Monique Pouzet - stock.adobe.com

Pour les voyageurs au budget modeste, le Maroc s’impose comme un choix tout fait en matière de désert. Facile d’accès, le Sud marocain, avec ses paysages grandioses, offre une multitude de possibilités, que l’on soit primo-voyageur, contemplatif, croqueur de pistes, sportif averti ou tout ça à la fois.

Rando en 4x4, trekking, méharée ou simple nuit en bivouac, reste juste à faire le bon choix avant de partir…  Où voir et arpenter le désert au Maroc ? Quels sont les meilleurs sites ? Et comment s’y prendre ? Découvrez nos conseils pour voyager dans le désert du Sud marocain.

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Mais où commence vraiment le désert marocain ?

Mais où commence vraiment le désert marocain ?
Dunes de Ouzina © Eric Milet

Si vous demandez à un Bidaoui (un habitant de Casablanca) où commence le désert, il y a de grandes chances pour qu’il vous réponde « à Ouarzazate ! » ; en revanche, si vous posez la même question à un Ouarzazi, ce dernier affirmera sans ambages « à Zagora mon ami ! », et même chose à Zagora…

On voit bien que la question ne fait pas l’unanimité ! Tout dépend de ce que cache ce mot mais aussi de ce qu’il représente dans sa propre culture. Car le désert est bien le mythe par excellence.

Pourtant son étymologie latine ne laisse guère de place au doute : « désert » est issu du mot desertus, qui signifie « abandonné » en latin, renvoyant à la notion de solitude, alors que pour les Arabes, le désert (as-saharâ) n’est qu’une couleur, le beige. Et que dire du jangwa des Swahilis, du midbar des Hébreux ou du ténéré des Touareg… À chacun son désert en somme…

Haut Atlas © Lukas - stock.adobe.com

Quoi qu’il en soit, au Maroc, on peut affirmer sans trop se tromper que le désert commence véritablement au sud du massif du Haut-Atlas, le massif de l’Anti-Atlas étant lui-même déjà considéré comme un désert, surtout dans sa partie centrale (djebel Saghro).

Le Haut Atlas est une chaîne de montagnes formant une barrière d'environ 750 km et délimitant le Maroc saharien du Maroc atlantique et méditerranéen. Son point culminant est le djebel Toubkal (4 167 m). En privant le sud des bienfaits des pluies océaniques d’hiver, le Haut Atlas constitue une barrière climatique à part entière.

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Entre hommes bleus et chameaux, le désert est un mythe enraciné dans le sable et pourtant le sable ne recouvre que 12 % de la surface du Sahara, désert qui passe pourtant pour être le plus grand du monde. Le sable ne suffit donc pas à désigner le désert. Quant aux Touaregs, ils n’ont jamais mis les pieds au Maroc car les 5 pays où ils vivent sont le Niger, le Mali, l’Algérie, la Libye et le Burkina Faso. Précisons aussi que le terme touareg est une pure invention car ce mot n’existe même pas dans leur propre langue, le tamacheq (une langue berbère ancienne). Les hommes en bleu (de travail) que l’on trouve au Maroc n’ont pas grand-chose à voir avec les Touareg. Du côté de Merzouga ou de Zagora, il y a de grandes chances qu’il s’agisse de Berbères Aït Atta, du côté de Guelmim, de Sahraouis, et assurément dans tous les cas, de guides de tourisme 

Merzouga et Chegaga, pour les amateurs de dunes de sable

Merzouga et Chegaga, pour les amateurs de dunes de sable
Dunes de Merzouga © Suzanne Plumette - stock.adobe.com

Exception faite du Sahara occidental, longue terre vierge où nomadisent les bergers Sahraouis et Teknas, le Maroc « touristique » concentre en effet du sable en 2 endroits : Merzouga et Chegaga, qui comptent parmi les destinations les plus prisées par les amateurs de dunes de sable. Une raison à cela : on y trouve les plus hautes du Maroc. Pour info, il n’y a pas de dunes à Zagora.

Merzouga est une petite oasis au sud de la partie orientale du Haut Atlas, blottie entre l’erg Chebbi et la grande palmeraie du Tafilalet. La cité se trouve à 360 km à l’est de Ouarzazate, à 54 km au sud-est d’Erfoud et à 50 km de la frontière algérienne.

Elle est majoritairement peuplée de Berbères Aït Atta, d’anciens nomades sédentarisés reconvertis pour la plupart dans le tourisme ainsi que dans l’extraction de minerais (barytine) ou de fossiles. C’est là que l’on trouve les plus hautes dunes du Maroc (150). On peut s’y rendre sans problème avec un petit véhicule de location ; de ce fait, il y a beaucoup de monde en pleine saison.

Sur le flanc occidental de l’erg, les structures hôtelières se succèdent du nord au sud, les unes après les autres. Elles offrent des conforts allant de l’hôtel 4 étoiles avec piscine à l’auberge aux chambres simples gérées en famille. Toutes proposent des excursions à dos de dromadaires dans les dunes et le bivouac qui s’ensuit.

Erg de Chegaga © Emily Wilson/Danita Delimont - stock.adobe.com

Chegaga, en revanche, est moins courue en raison de sa difficulté d’accès (il faut un 4x4 pour s’y rendre). C’est une vaste zone dunaire (40 km sur 15) située au sud du djebel Bani, à 50 km à l’ouest de M’Hamid El Ghizlane, résultant de l’assèchement de l’oued Drâa. On peut aussi y aller à pied depuis Ouled Driss ou M’Hamid mais il faut compter une petite semaine dans ce cas-là. Sur place, pas d’auberges mais des campements fixes aménagés dans les dunes avec plus ou moins de bonheur il faut l’avouer.

Les candidats au « bivouac dans le désert » n’y passent le plus souvent qu’une seule nuit. Au contraire de Merzouga, peu de solutions de repli en cas de vent de sable. D’où la nécessité de bien se renseigner sur la météo avant d’y aller.

Rajoutons à ces 2 entités quelques ergs plus confidentiels bien connus des trekkeurs. Comme ceux que l’on rencontre du côté d’Ouzina-Remlia, à la limite de la frontière avec l’Algérie, conséquence de l’assèchement de l’oued Rheris et de ses affluents. Mais il faut un 4x4 pour y accéder.

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Pour une randonnée à dos de dromadaire de plusieurs jours, inutile de se surcharger avec des valises qui risquent de blesser l’animal. Privilégiez toujours des sacs souples avec à l’intérieur le minimum. Un sac de 60 litres nous paraît le format idéal. Côté équipement, pensez à emporter une lampe de poche, un bonnet pour la nuit et vos lunettes de vue si vous portez des lentilles de contact, elles vous seront utiles en cas de vent de sable.

Les oasis, incontournables d’un voyage au désert

Les oasis, incontournables d’un voyage au désert
Palmeraie de l'oued Ziz © Tolo - stock.adobe.com

Qui dit désert dit oasis, et ces dernières révèlent souvent de très agréables surprises. Dans le sud du Maroc, 2 grandes oasis méritent qu’on s’y attarde un peu : la grande palmeraie du Tafilalet, située entre Erfoud et Merzouga, et la vallée du Drâa, située plus à l’ouest, entre Agdz et Zagora, au sud d’Ouarzazate.

Tafilalet fut longtemps le terminus des caravanes en provenance du bilad as-sudan (le « pays des noirs » en arabe), c’est-à-dire l’actuel Mali. Pendant tout le Moyen Âge, les monarchies occidentales se sont enrichies grâce à l’or acheminé d’Afrique subsaharienne à travers le désert. De cette époque florissante qui avait pour capitale Sijilmassa, il ne reste pratiquement plus rien.

En revanche, la palmeraie étant le berceau de la dynastie alaouite (qui règne encore sur le Maroc), elle recèle de véritables joyaux d’architecture saharienne : les ksour (pluriel de ksar). Dans la palmeraie de Rissani, un petit circuit permet de partir à la découverte de ces villages de terre aujourd’hui réhabilités pour la plupart d’entre eux.

Vallée du Drâa - kasbah © Eric Milet

L’autre diamant vert qui permet de prendre conscience du fragile équilibre qui régna longtemps entre nomades du désert et sédentaires oasiens, c’est la vallée du Drâa (entre Agdz et Zagora). Là aussi, l’architecture défensive des kasbahs est de toute beauté. Aujourd’hui réhabilités par de jeunes passionnées d’histoire, ces vestiges d’un temps révolu se visitent et on peut même y passer la nuit comme c’est le cas à Tamnougalt (kasbah des Caïds), Tinnegza (kasbah des Ouled Othmane) ou encore Tissergat (kasbah Ziwana).

La particularité des oasis est le mélange de cultures qui y règne, entre les Harratines (descendants d’une population noire très ancienne, réfugiée dans les oasis consécutivement à l’assèchement du Sahara), les Juifs (arrivés dans la vallée du Drâa vraisemblablement à la suite de la destruction du Temple de Jérusalem en 586 av. J.-C.), les Berbères Aït Atta (et leurs différentes factions) ou Aït Sedrate, les tribus bédouines arrivées d’Arabie, les descendants d’esclaves, sans oublier les descendants des Almoravides (les prédicateurs de la foi ) et enfin les Chérifiens (les descendants du Prophète Muhammad).

Bref, une mosaïque humaine riche qu’il est important de découvrir afin de mieux comprendre l’intime relation entre le désert et ses oasis.

Le + de routard.com :

Pour vraiment comprendre le désert, il est indispensable de passer au moins une nuit dans une oasis et d’effectuer une visite guidée de la palmeraie (avec un guide officiel qui connaît bien son métier) ne serait-ce que pour comprendre l’importance de l’eau (un sujet d’actualité brûlant en ce moment !).

Bivouac dans le désert : que choisir ?

Bivouac dans le désert : que choisir ?
Bivouac © malajscy - stock.adobe.com

Pour profiter d’une nuit étoilée au désert, rien de tel qu’un bivouac. Bivouac est d’ailleurs un terme un peu fourre-tout. Il tire son origine du mot allemand bewachen, qui signifie « monter la garde ». Ce sont des mercenaires suisses qui l’ont introduit dans la langue française au XVIIe s. Au Maroc, vu la pression touristique, on emploie même la notion de bivouac « fixe » ce qui en soi est un non-sens.

Il y a quelques années encore, il s’agissait de tentes berbères en laine et poil de chèvre (aham) que les gens du cru faisaient tisser par les transhumants du Moyen Atlas. Aujourd’hui, la demande de confort allant en s’accentuant, il s’agit presque toujours de tentes en toile blanche de fabrication industrielle, plantées les unes à côté des autres en marge des dunes pour plus de confort (depuis 2021, les bivouacs ne sont plus autorisés dans les dunes de l’erg Chebbi, ils doivent rester en périphérie ce qui est nettement moins glamour).

Bivouac sauvage © Studio_3321 - stock.adobe.com

Pour passer la nuit en bivouac, plusieurs niveaux de confort sont proposés (c’est comme à l’hôtel). Le bivouac « standard » (le plus vendu) se résume à une tente garnie de matelas disposés à même le sol (apporter son sac à viande) avec commodités communes à l’extérieur (quand il y en a). Le repas du soir est en général constitué d’un tagine à consommer en commun, soirée tam-tam et petit déj en option.

Dans le bivouac « de luxe », en revanche (celui des magazines en papier glacé), vous disposez d’un bon lit, d’une déco un peu « travaillée », avec tapis et photophores, de la clim (sans blague !) et d’une salle de bains privative avec douche à gros pommeau ! Le repas du soir est souvent servi par un personnel déguisé « à l’orientale » pour faire plus « Mille et Une Nuits ».

Heureusement, il existe aussi des bivouacs plus en accord avec la protection de l’environnement. Il s’agit de bivouacs dits « sauvages » implantés au jour le jour et souvent en dehors des sentiers battus. Vous partez alors en petits groupes (à pied, en 4x4 ou à chameau), vous dormez sous une tente type « igloo » ou à la belle étoile (avec ou sans matelas) entre 2 journées de rando. Repas préparés et consommés en commun. Et tout le monde rapporte ses déchets en ville après le circuit. C’est nettement plus écolo.

Le + de routard.com :

Contrairement à ce que l’on dit, les nuits ne sont pas systématiquement fraîches dans le désert. Si effectivement en janvier-février vous risquez de vous les geler la nuit après une journée passée à suer en plein soleil, de juin à septembre, en revanche, les températures descendent rarement en dessous de 25 °C.

Randonner dans le désert : à dos de chameau ou à pied ?

Randonner dans le désert : à dos de chameau ou à pied ?
Randonner à dos de chameaux © Eric Milet

Abstraction faite de la promenade d’1h30 institutionnalisée pour gagner les bivouacs fixes dans les dunes au départ de Merzouga ou de Mhamid, randonner à pied ou à chameau revient à peu près au même, car dans une méharée (randonnée chamelière), on passe le plus clair de son temps à marcher à côté de son chameau (enfin, de son dromadaire, on sait…). On grimpe dessus seulement quand l’envie de faire la sieste se fait sentir…

Très certainement introduit en Afrique du Nord par les légions romaines, le dromadaire est un animal originaire de la péninsule arabique. Au Maroc, rares sont les prestataires de tourisme qui proposent des méharées avec des méharis dignes de ce nom, il s’agit la plupart du temps de chameaux de bât. Cela dit, l’expérience n’en demeure pas moins intéressante, car voyager avec un animal aussi caractériel (et affectueux) est une expérience unique.

Randonner dans le désert marocain © Markus Haack - stock.adobe.com

Le chameau imprime son rythme et ses habitudes aux voyageurs qui l’accompagnent. Avec lui, on parcourt entre 15 et 25 km par étape selon la nature du terrain (et de l’âge du chamelier). Sans compter les candidats à l’aventure saharienne, le groupe est la plupart du temps constitué d’un guide, d’un cuisinier et d’un chamelier. Le portage des bagages (tentes, nourriture et effets personnels) s’effectuant à dos d’animal, évitez d’emporter le service à thé en porcelaine de tante Jacqueline… On chemine ainsi de reg en erg (merci les cruciverbistes) au gré d’un paysage changeant (contrairement à ce que l’on imagine). C’est un excellent moyen pour déconnecter.

Randonner à pied dans le désert ne change pas grand-chose à la donne si le portage des bagages est effectué par chameau. Mais le plus souvent, l’intendance (la bouffe, le couchage et vos effets personnels) est transportée par 4x4 (pour plus de confort). On la quitte le matin pour la retrouver le soir. Entre les deux, c’est de grand vide propice à un dialogue entre vous et vous-même. Là aussi, c’est une expérience irremplaçable !

Le + de routard.com :

Inutile d’avoir préparé un ultratrail type Marathon des Sables pour randonner dans le désert. Un minimum de condition physique suffit. Si toutefois vous avez tendance à vous surestimer, optez plutôt pour une méharée avec portage des bagages par 4x4 ; en cas de blessure ou de faiblesse, vous pourrez toujours monter dans la voiture pour récupérer et rejoindre le groupe à l’étape le soir.

Désert marocain : quand et où partir ?

Désert marocain : quand et où partir ?
Plateau désertique © Eric Milet

Certainement pas en juillet-août ! Le voyage deviendrait vite insupportable et il y a peu de chance que vous trouviez quelqu’un sur place en plein été pour vous accompagner. Le désert se consomme frais et si possible bien sec. On privilégiera alors les mois d’hiver « élargi », entre mi-octobre et mi-mai en évitant (à moins de voyager avec des enfants) les vacances scolaires… car si tout le monde déboule dans le désert en même temps, ce n’est plus le désert !

Celles et ceux qui veulent toucher du doigt le mythe du voyage saharien éviteront aussi les 2 hots spots que sont Merzouga et Chegaga. Primo parce qu’on y trouve des bivouacs prémontés (on perd donc en authenticité), secundo parce que la dune a ses limites (le vent de sable notamment). Il est souvent plus agréable de varier les paysages en passant du reg à l’erg, de l’oued au djebel et ainsi de suite. Ne réduire le désert qu’à un selfie sur une dune, aussi élégante soit-elle, est insuffisant pour ressentir les impressions d’une véritable initiation au désert, à notre avis.

Celles et ceux qui souhaitent randonner à la cool n’auront que l’embarras du choix, ce n’est pas le Sud marocain qui manque de plateaux désertiques et de montagnes noires mangées par le sable. Il suffit pour ça de sortir des sentiers battus.

Comment et avec qui s'aventurer dans le désert ?

Comment et avec qui s'aventurer dans le désert ?
Berbère - désert marocain © matiplanas - stock.adobe.com

Le choix du guide est aussi quelque chose d’important. Entre le cousin du cousin débauché à la dernière minute pour accompagner un groupe vers une zone où il n’est jamais allé et le guide-accompagnateur diplômé qui connaît la région comme sa poche, l’éventail est grand, et tout est question de feeling. Comme ils ont tous WhatsApp, n’hésitez pas à leur passer un coup de fil pour préparer votre voyage.

Côté intendance, dans le désert, en cas de vent de sable, le moral est souvent au fond de l’assiette. Si l’on dort et mange bien, on profite mieux. D’où l’importante de bien choisir son prestataire en se faisant préciser ce qui est compris dans le prix et ce qui ne l’est pas, et ce, avant de partir, car une fois sur place, il est souvent très difficile de rectifier.

Le + de routard.com :

Inutile de s’entêter à vouloir tout caler avant le départ car sur place, les imprévus (notamment météorologiques) font partie du voyage. En revanche, le choix du prestataire sur place est primordial et mieux vaut s’en remettre à une agence expérimentée dont les guides ont déjà fait leurs preuves et sont à même de vous parler du désert tel qu’il est vraiment et non tel que vous le voulez.

Fiche pratique

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Comment y aller ?

De nombreuses compagnies low cost desservent le Maroc depuis la plupart des villes d’Europe, notamment avec Transavia en direct sur Ouarzazate depuis Paris Orly, sinon sur Marrakech avec Transavia, Easyjet… Trouvez votre billet d’avion.

Pour se déplacer dans le Sud marocain, location de voiture conseillée. Depuis Ouarzazate et vers le sud, on trouve des routes goudronnées et certaines pistes impraticables en véhicules de tourisme ont été asphaltées récemment.

Les randonnées

En ce qui concerne les randos proprement dites (méharées ou trekking), nombreux sont les prestataires qui vendent du désert. Des institutions rompues à l’exercice périlleux de la vente du désert sur catalogue au chamelier du bled s’improvisant guide touristique, le panel des prestataires est riche et varié, tout comme les prix d’ailleurs. On vous conseille les services suivants :

- Allibert Trekking : voyagiste pro pour un désert bien huilé et sans surprises.

- Désert et Montagne : une agence de Ouarzazate sérieuse et bien organisée

- Authentik RoadTrip Maroc : la famille Aghlane est très sympa, elle se plie en 4 pour organiser le voyage de vos rêves.

- Itrane Sahara : voyager hors des sentiers battus a toujours été la devise de la famille Karraoui.

Quelques adresses pour toucher du doigt l’esprit du désert : Auberge Itrane Sahara à Jdaïd et Dar Mhamid à Mhamid.

Quelques adresses pour comprendre ce qu’est une oasis :

Gîte-restaurant El Khorbat, à l’entrée de Tinejdad (oasis du Ferkla).

Gîte et resto El Manzah, face au ksar Ouled Abdelhalim, dans la palmeraie de Rissani. Tél. : 212 (0)6-62-06-14-93 (WhatsApp).

Écolodge Bab El Oued à Tamnougalt.

 Kasbah Ouled Othmane à Tinnegza. Tél. : 212 (0)6-62-05-82-85 (WhatsApp). Email : kasbahdumaroc@gmail.com.

 Maison d’hôtes Kasbah Ziwana à Tissergat. Tél. : 212 (0)6-61-34-83-88. Email : fmazizi@yahoo.fr.

Le + de routard.com :

Écoutez Road Trip Maroc, le podcast du Routard :

Texte : Eric Milet

Mise en ligne :

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