Écosse : l'archipel des Orcades, des millénaires d'histoire

Écosse : l'archipel des Orcades, des millénaires d'histoire
Skara Brae © RamblingTog - stock.adobe.com

Lorsque la pluie et le brouillard ne dressent pas leur frontière impénétrable, on voit flotter les plus méridionales des îles au large de la côte septentrionale de l’Écosse. L’archipel des Orcades en comprend 70, dont 16 sont habitées à l’année.

Certaines sont plates, ou juste un peu moutonnantes, tapissées de prés où paissent vaches et ovins à l’épaisse toison. D’autres se dressent en mornes austères enrobés de landes. Et beaucoup s’enveloppent de falaises-barrières, entrecoupées, de loin en loin, de baies, de ports, d’anfractuosités, de plages de galets ou de sable fin. Les phoques sont ici chez eux. Ils ont d’ailleurs donné leur nom au lieu : Orkn Eyjar, les « îles aux phoques » en vieux norrois, la langue scandinave médiévale.

Si les Vikings, qui firent de l’archipel un de leurs bastions aux portes de la Grande-Bretagne, l’ont durablement marqué de leur empreinte, les Orcades étaient déjà habitées par une civilisation néolithique avancée 3 000 ans avant notre ère. On en découvre aujourd’hui les étonnants vestiges : non pas quelques cailloux insipides, mais un cercle de pierres grandiose, des villages construits en dur et des cairns où étaient inhumés leurs grands morts — dont un à la chambre mortuaire alignée sur le soleil levant au moment des solstices.

De vrais trésors, uniques en leur genre, qui ont valu aux Orcades d’intégrer le Patrimoine mondial de l’UNESCO.

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Stromness, de marins et d’aventuriers

Stromness, de marins et d’aventuriers
Stromness © Klodien - stock.adobe.com

Scrabster, 8h45, sous la bruine. Le ferry s’ébranle pour sa traversée du Pentland Firth. Derrière : l’Écosse. Devant : les Orcades, bien plus proches de la Norvège (450 km) que de Londres (1 140 km). Un archipel modelé par plus de six siècles de présence viking.

À tribord, 1h plus tard, se dresse l’invraisemblable tour de pierre de l’Old Man of Hoy, adossée aux plus hautes falaises du Royaume-Uni : 350 m ! Des oiseaux marins tournoient.

Passé l’entrée de la vaste baie de Scarpa Flow, c’est une terre basse qui se déroule, tapissée d’herbe drue et de petites maisons grises aux toits d’ardoises, d’où émergent juste deux courts clochers et le bâtiment blanc du Ferry Inn.

Stromness, le principal port des Orcades, connut jadis les joies et les peines des voyages au long cours, les angoisses des femmes de marins. D’ici partirent les équipages de la Hudson’s Bay Company. Les baleiniers. Les pêcheurs de hareng. Les immigrants vers l’Australie. Mais aussi l’explorateur de l’Arctique John Rae, enfant du pays, et un autre de ses héros au pied voyageur, le Dr William Baikie, qui explora le Niger…

L’attachant Stromness Museum raconte leurs épopées entre souvenirs attachants et vitrines victoriennes inchangées. On peut même y voir des objets d’art premier ramenés du Pacifique par le captain Cook, in person.

Kirkwall, héritage viking

Kirkwall, héritage viking
Kirkwall - Cathédrale Saint-Magnus © Yuriy Chertok - Adobe Stock

À l’oreille, quelque chose cloche. « Le mur de l’église » ? Non, « l’église de la baie » en bon vieux norrois. On ne tarde pas à comprendre. Là, au centre de la petite capitale de l’archipel, est plantée l’une des plus belles cathédrales d’Écosse, St Magnus, dédiée au comte des Orcades, grand propagateur de la foi chrétienne, mort assassiné par son cousin Haakon en l’an 1117. Une vraie affaire de famille : c’est son neveu qui a fait bâtir le monument de granit rose, sur le modèle de la splendide cathédrale de Trondheim (la capitale norvégienne), pour y déposer les reliques du saint homme — origine d’un très fervent pèlerinage médiéval. Si la façade n’a pas la même grandeur gothique, elle conserve, à l’intérieur, de belles séries de fausses arcades entremêlées, typiquement scandinaves, aux élans plus romans.

À l’arrière, le St Magnus Centre diffuse gratuitement un petit film retraçant le contexte historique de la construction. Idéal, avant de jeter un œil aux bâtiments éventrés du Bishop’s Palace (XIIe siècle) et du Earl’s Palace (XVIIe), dressés juste en face. D’un côté le siège du pouvoir ecclésiastique (l’évêque), de l’autre celui du pouvoir temporel (le comte).

Au coin de la rue, l’Orkney Museum apporte sa pierre à l’édifice. Occupant la plus vieille demeure de Kirkwall (1574), il multiplie les belles trouvailles au fil d’un dédale de petites pièces. On en retient une superbe plaque en os de baleine viking à têtes de dragon, des vestiges du néolithique et un paquet d’objets repêchés sur les épaves de Scapa Flow.

Baie de Scapa Flow : le cimetière des armadas

Baie de Scapa Flow : le cimetière des armadas
Blockship - Churchill © Barrier Luke - stock.adobe.com

Elle est parfaite, cette baie de Scapa Flow. Fermée au nord par la grande île de Mainland, à l’ouest par celle de Hoy et à l’est par le trio Lamb Holm-Burray-South Ronaldsay, elle s’ouvre timidement au sud. Dans cet exceptionnel port naturel (312 km2), la Royal Navy a installé en 1913 sa Grand Fleet, qui compta jusqu’à 160 navires de guerre. En 1918, après l’armistice, la flotte allemande prit sa place, contrainte et forcée… mais l’amiral von Reuter, furibard, saborda 52 de ses 64 navires pour éviter qu’ils ne tombent aux mains des Anglais !

Sept sont encore là, par 12 à 45 m de fond, aux côtés de 140 autres bâtiments du XVIIIe siècle à nos jours. Parmi eux : le cuirassé HMS Vanguard (163 m), coulé par une explosion accidentelle en 1917 (802 morts) et le célèbre HMS Royal Oak (189 m), torpillé par un sous-marin allemand en 1939 (834 morts). Les plongeurs s’en approchent aujourd’hui avec respect, sans avoir le droit d’y pénétrer.

Pour les non-plongeurs, tout n’est pas perdu : on voit très bien certaines épaves à demi-immergées en allant à South Ronaldsay. Il s’agit surtout de blockships, des bateaux coulés pour constituer les Churchill Barriers, des digues destinées à empêcher une incursion ennemie dans la baie… sur lesquelles passe aujourd’hui la route. En chemin, la halte à l’Italian Chapel est incontournable : cette petite église a été bâtie par des prisonniers italiens exilés ici en 1943, à partir de préfabriqués et matériaux de récupération. Tout y est en trompe-l’œil !

Cairn de Maeshowe, la mémoire des Orcades

Cairn de Maeshowe, la mémoire des Orcades
Cairn de Maeshowe © cyclingscot - stock.adobe.com

Il faut oublier les vicissitudes des Guerres mondiales et voyager dans le temps. Loin, très loin en arrière. Réserver sa place. Prendre la navette s’approchant du site. Puis se plier en deux pour remonter le couloir dallé, bas, pénétrant dans l’intimité du grand cairn de Maeshowe — posé dans un champ, entre Kirkwall et Stromness, depuis 4 770 ans (environ !).

Durant près de trois semaines, autour du solstice d’hiver, les rayons du soleil pénètrent jusque dans la chambre funéraire, révélant les étonnantes connaissances du peuple néolithique qui érigea le monument. De qui s’agissait-il ? Des tout premiers agriculteurs britanniques. Surprise : c’est ici, dans cet archipel aujourd’hui isolé, que tout commença pour le pays !

Les pierres levées encadrant la chambre sont énormes et certaines dalles dépassent sans doute les 20 tonnes. Mais dans le faisceau de la torche du guide, ce sont des détails insoupçonnés qui apparaissent : un dragon, un phoque et un serpent gravés plus tard par les Vikings, et plusieurs inscriptions en runes, leur alphabet (des graffitis, déjà !). L’une évoque un prétendu trésor, une autre une nuit torride passée ici (!), une troisième se contente de signaler une présence… à 3 m de hauteur.

Au XIXe siècle, les archéologues du British Museum découvrirent aussi des ossements dans les alcôves latérales. À qui appartenaient-ils ? On ne le saura jamais : ils ont été oubliés dans le train de retour vers Londres et jamais retrouvés…

Les Orcades, une grande civilisation néolithique

Les Orcades, une grande civilisation néolithique
Ring of Brodgar © RamblingTog - stock.adobe.com

À un jet de menhir (puissance Obélix), les quatre Stones of Stenness, au sommet étonnamment biseauté — comme dans le cairn de Maeshowe —, rappellent l’existence d’un cromlech, un cercle de pierres levées en partie détruit (à la dynamite !) au XIXe siècle par l’agriculteur propriétaire des terres, lassé de voir des curieux s’intéresser à ces gros cailloux encombrants…

Un simple avant-goût du Ring of Brodgar. Situé 1,5 km plus loin, ce splendide cromlech, d’un diamètre autrement plus impressionnant (103 m !), a conservé une vingtaine de ses grands menhirs sur la soixantaine qui le composaient à l’origine. Planté dans une lande resplendissante de bruyère, entouré d’un fossé, il occupe une péninsule étroite dominant au nord le loch of Harray et, au sud, le loch of Stenness. Une situation envoûtante.

Là où l’isthme se fait le plus étroit, a été découvert récemment un site unique : Ness of Brodgar. Étendu sur pas moins de 3 ha, il s’agit selon toute probabilité d’un complexe cultuel, construit en pierre (une rareté à l’époque), dont l’origine remonterait à plus de 5 500 ans. Avant Stonehenge. Avant les pyramides d’Égypte. Avant tout. Des archéologues du monde entier viennent y travailler chaque été, sur ce qui est désormais considéré comme le plus important site néolithique au monde. Il n’a été mis au jour qu’après le classement de l’ensemble des monuments mégalithiques orcadiens au Patrimoine mondial par l’Unesco en 1999 !

Skara Brae : fantômes et ruines en Ecosse

Skara Brae : fantômes et ruines en Ecosse
Skaill House © Pecold - stock.adobe.com

Plein nord par un lacis de petites routes à voie unique, on rejoint un autre lieu exceptionnel : Skara Brae. Mis au jour par une violente tempête en 1850, il s’agit, ici, de l’un des villages néolithiques les plus anciens et les mieux conservés que l’on connaisse.

Village est un grand mot : un hameau, dirons-nous, composé de huit maisons communes en pierre, soudées les unes aux autres, entre tapis d’herbe drue, dunes et plage de sable fin où courent les huîtriers pies. L’une d’elles a été reconstitué près de l’entrée du site. Sa pièce unique se scinde en alcôves sans doute occupées par différentes familles. On y découvre des sortes de lits clos et même un buffet constitué de lourdes dalles de pierre !

Juste au-dessus, l’austère manoir de Skaill House, bâti en 1620 sur un ancien cimetière picte, invite à pénétrer dans une autre période. On y placerait bien l’(in)action des Hauts de Hurlevent, un chien de Baskerville ou une enquête pluvieuse d’Hercule Poirot… Descendant d’un évêque, la famille Graham, lairds (lords) of Breckness, l’occupa jusqu’en 1991. Reste cheminées et bibliothèque, porcelaine et peau de tigre, mobilier victorien et portraits de famille.

Les portes, dit-on, se ferment ici toutes seules. L’odeur de la cigarette se répand dans l’air, sans que personne ne fume. Et d’étranges lueurs apparaissent, pour mieux s’évanouir. Les locaux sont formels : Skaill House est la demeure la plus hantée des Orcades. Nulle inquiétude pourtant : ses fantômes sont tous relativement amicaux ! Surtout Ubby.

Westray, sous l’aile des fous

Westray, sous l’aile des fous
Fous de Bassan © nyiragongo - stock.adobe.com

À la descente du ferry, la première impression est un peu répétitive : des prés, des fermes, des vaches. Les Orcades sont décidément bien agricoles. Mais 20 mn plus tard, c’est un tout autre sentiment qui domine tandis que, progressant à pied le long du littoral rocheux, les criaillements des oiseaux emplissent l’air du Castle o’ Burrian. Un îlot taraudé par la houle où, dès le début du mois de mai, se donnent rendez-vous les jolis macareux.

Dans la baie de Pierowall, l’unique village de Westray, ce sont les phoques qui ont élu domicile. À marée basse, sur le rivage sud, toute une colonie prend le soleil en file indienne sur la vieille jetée nappée de kelp, queue en l’air, façon culbutos. Les premiers sont à moins de 5 m, les plus jeunes, plus timides, davantage en retrait.

Juste au-dessus du bourg, le Noltland Castle, un authentique château du XVIe siècle, s’est endormi sur les centaines de meurtrières devenues inutiles, percées par sir Balfour, assassin patenté sur la défensive (il participa au meurtre de second mari de Marie Stuart). Bordée de dunes, la plage des Links of Noltland, pas bien loin, est splendide.

Mais il faut grimper au-delà, jusqu’à Noup Head, à la pointe nord-ouest de l’île. Là, face aux assauts de l’Atlantique Nord, les fous de Bassan ont installé leur plus importante colonie de l’archipel, en compagnie des fulmars qui planent et des guillemots. Ils s’empilent sur les étroites corniches de la falaise, avant de plonger, d’un coup, vers l’abîme.

Hoy, l'île la plus sauvage des Orcades

Hoy, l'île la plus sauvage des Orcades
Rackwick © shorty25 - stock.adobe.com

Au sud de Mainland, l’île de Hoy est la plus sauvage de toutes. Peu d’élevage ici : les landes occupent l’essentiel du paysage, tapissant des sommets altiers à l’austérité incontestable. Há øy, « l’île haute », disaient les Vikings. On jurerait les Highlands écossaises.

Du débarcadère, à Lyness, une petite route à voie unique serpente à flanc de collines pour rejoindre, au nord-ouest, Rackwick, plongé dans la solitude de son glen (vallée) sauvage, où nichent à nouveau les pygargues (aigles pêcheurs) à queue blanche. Quelques bâtisses éparses dessinent ici une sorte de village estival, en retrait d’une fantastique plage de galets, lourds comme des boules de bowling, écrasés de houle.

Au-dessus du hameau, une vieille école et quelques maisonnettes-musée rappellent le caractère fruste de la vie, autrefois, en ces lieux. Chaque enfant amenait alors sa brique de tourbe pour chauffer le vieux poêle… Le chemin qui passe devant grimpe, au-delà, vers l’emblématique aiguille rocheuse de l’Old Man of Hoy, aperçue depuis le ferry de Scrabster. L’étonnant pilier, droit comme un I, apparaît à mi-chemin, trônant au-dessus des falaises dont il a été détaché par l’érosion marine ! À 137 m, c’est le plus haut au monde.

Fiche pratique

Retrouvez tous les bons plans, adresses et infos pratiques dans le Routard Ecosse.

Pour préparer votre séjour, consultez notre guide Écosse

Comment y aller ?

L’aéroport, situé juste à l’est de Kirkwall, n’est desservi que par les petits avions de Loganair depuis Édimbourg, Inverness, Aberdeen, Glasgow et les Shetland. Compte tenu des tarifs élevés, on ne saurait trop vous conseiller de venir par bateau… À la belle saison (juin-août), les John O’Groats Ferries proposent un super tarif combiné bus-ferry d’Inverness à Kirkwall à raison de 2 départs/j. (env £ 25). La liaison maritime entre John O’Groats et Burwick (île de South Ronaldsay) est réservée aux piétons. Sinon, on peut aisément passer sa voiture ou son véhicule de location sur l’un des autres ferries : entre Gills et St Margaret’s Hope avec Pentland Ferries (3 fois/j. toute l’année) ou, plus généralement, avec Northlink Ferries sur le trajet Scrabster-Stromness (2-3 départs/j.). Cette dernière compagnie assure aussi des traversées de/vers Aberdeen et les îles Shetland.

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Quand y aller ?

En mai, le soleil revient et, avec lui, les dizaines de milliers d’oiseaux de mer qui nidifient sur les falaises et leurs rebords. La saison est courte : début août, les macareux s’en vont déjà. C’est dans cette courte fenêtre qu’il vaut mieux visiter les Orcades pour profiter à plein du spectacle. Il pleut fréquemment dans l’archipel, avec un minimum en mai-juin et un maximum en octobre-novembre. Côté mercure : 12° C en moyenne en été, 4-5° C en hiver.

Où dormir ?

Comme ailleurs en Écosse, les campeurs peuvent s’installer partout, pour peu que le propriétaire du terrain ait donné son accord. On trouve aussi quelques campings, généralement bien organisés, notamment à Kirkwall (avec 2 petits bungalows), Mainland et South Ronaldsay. En plus : laverie, micro-ondes et douches chaudes (payantes ou non). Le souci principal, pour le camping, c’est la météo : il faut une tente qui résiste à la pluie et au vent !

Signalons, sur l’île de Hoy, le génial Burnside Bothy, une ancienne cabane de pêcheur postée face à la plage de galets très sauvage de Rackwick. On y trouve juste poêle, w-c et point d’eau, mais on peut s’y installer gratuitement (et planter la tente dans le « jardin ») !

On trouve assez facilement des petites auberges de jeunesse, notamment à Stromness, Kirkwall et Birsay, mais aussi sur les îles de Hoy, Rousay, Westray et Papa Westray. Certaines sont privées, d’autres communautaires.

Sinon, la plupart des visiteurs logent en guesthouse ou en bed & breakfast, pour un tarif oscillant entre 50 et 90 £ la chambre double, solide petit déjeuner (écossais ou shetlandais) compris. Certains s’implantent en ville, d’autres en rase campagne ou en bord de mer. On y dispose presque toujours d’une salle de bains privée. Les hôtels sont plus chers, souvent un peu datés et, au final, d’un rapport qualité-prix rarement convaincant.

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Où manger ?

On ne s’étonnera pas que le poisson soit bien présent au menu… Fish & chips, fish platter, rillettes de maquereau, mais aussi coquilles Saint-Jacques (chères) ou salade de crabe local. En règle générale, les restaurants utilisent pas mal de produits orcadiens : marins, mais aussi bœuf, agneau, fromages (parfois sous forme de taster board, pas mal pour un panel d’approche)…

Pour un lunch pas cher, les tearooms offrent un choix le plus souvent réduit de soupe du jour, sandwichs, toasties (sandwichs pain de mie grillés), wraps, quiches, paninis… La plupart proposent aussi un assortiment de gâteaux du jour, sympa pour le 4-heures.

Pour faire glisser le tout : les bières orcadiennes, comme celles de l’Orkney Brewery (où on mange aussi), les whiskies (comme celui d’Highland Park) et les gins locaux.

Liens utiles

L’Office de tourisme des Orcades

www.historicenvironment.scot Pour tout savoir sur les sites classés des Orcades (et du reste de l’Écosse). On y réserve sa place pour le cairn de Maeshowe.

www.stagecoachbus.com : les bus locaux

www.ferryinn.com/bus : l’hôtel-resto Ferry Inn de Stromness propose, de mai à septembre, un service de navettes permettant de visiter les sites de Skara Brae et Ring of Brodgar dans la journée. Pratique pour ceux qui ne feraient qu’un saut de puce depuis l’Écosse.

www.orkneyferries.co.uk : tous les horaires et tarifs des ferries inter-îles

Texte : Claude Hervé-Bazin

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