Activités, sports et loisirs Îles Galápagos

Impossible de visiter les îles sans guide : c'est obligatoire. Leur prestation est comprise dans l'excursion en bateau (pourboire à discrétion et non obligatoire). Ils parlent tous plus ou moins l'anglais, très rarement le français.
En gros, on peut distinguer trois classes différentes de guides :

• le guide naturaliste I parle l’anglais et peut être débutant dans le métier. Connaissance de base de l’archipel ; ce sont ceux que vous aurez généralement pour les excursions à la journée ;
• le guide naturaliste II parle couramment l’anglais et a une solide expérience. Même s’ils sont normalement censés avoir une connaissance approfondie de l’archipel, on constate qu’il n’est pas toujours facile d’obtenir plus que le discours bien rôdé... ;
• le guide naturaliste III parle couramment l'anglais et une autre langue étrangère. Spécialisé ou biologiste de formation, c'est le pro haut de gamme. Peu de bateaux offrent un tel service.

Les agences de voyages équatoriennes proposent des prix bien plus intéressants sur place que si l'on réserve de France. On en trouve des dizaines à Quito, sur l'av. Amazonas : ça permet d'en visiter plusieurs, de prendre les brochures et de comparer les prix. Là aussi, faites attention aux arnaques, très fréquentes.
N'hésitez pas à demander conseil à d'autres voyageurs.

Sur place, vous constaterez que le « marché Galápagos » est principalement américain, tout est donc fait pour eux, d'autant plus qu'en général ils paient sans rechigner et sont très généreux en pourboire ! Et comme les Français n’ont pas vraiment la même réputation, ne vous étonnez donc pas de ne pas toujours être accueilli avec empressement sur les bateaux par le personnel, les guides...

Plusieurs agences ou hébergements louent des vélos (environ 3-5 US$ de l'heure) et ce moyen de transport est de plus en plus utilisé par les locaux eux-mêmes.

Pour se déplacer à Puerto Ayora ou dans les environs proches, ça va ; des pistes cyclables commencent même à apparaître ici et là en centre-ville ou sur la route de l’aéroport.

En revanche, pour rejoindre des sites plus éloignés (El Chato, la plage de Garrapatero), c’est assez physique : l’île est loin d’être toute plate et les vélos – des VTT – ne sont pas nécessairement en bon état ni très performants.

Enfin, les locations n’étant pas données, à plusieurs, autant louer un taxi pour une demi-journée !