Amis du guide du routard,
Avez-vous vraiment envier de traiter avec une personne aussi grossière et ordurière que Larsay ?
À vous de voir.
De toute façon, les prestataires de services qui utilisent la pub déguisée sont ceux qui n’arrivent pas à s’imposer par la qualité de leurs prestations. Les autres utilisent la publicité annoncée comme telle.
Je ne le répèterai jamais assez : ne pas réserver quoi que ce soit depuis l’Europe. Le Vietnam peut très bien se visiter sans faire appel à des tours organisés.
Quelques mois avant le départ, préparez votre voyage à l’aide d’un guide comme le routard (ou lonely planet). Faites attention, les adresses données dans ces guides sont, à la parution, bonnes, mais après quelques mois elles le sont moins, les tenanciers repérent vite la parution et les prestations diminuent tandis que les prix augmentent.
Ensuite, prenez un vol sec vers Hanoï ou Saïgon, réservez éventuellement un hôtel pour la première nuit (éventuellement 2-3 nuits).
Une fois sur place, si vous voulez faire appel à une agence de voyage, allez dans le quartier touristique (vieil Hanoï ; pour Saïgon : le quartier des routards Pham Ngũ Lão (on y retrouve tous les touristes “ballots”, c’est à dire à petit budget, ceux qui portent un ballot, comprenez un sac à dos).
Ces quartiers fourmillent d’agences, demandez des offres dans quelques unes qui vous inspirent confiance, faites jouer la concurrence, au Vietnam, un prix affiché n’est pratiquement jamais le prix réel, avec parfois des différences étonnantes.
Ce n’est pas du temps perdu, le vieux quartier de Hanoï fait de toute façon partie des incontournables.
Il est vrai qu’à Saïgon, Pham Ngũ Lão n’a rien d’exceptionnel, à part le grouillement des touristes. De toute façon, c’est un avis personnel, Saïgon ne mérite pas plus de 2-3 jours, à voir, les bâtiments rescapés de la période coloniale, autrement, c’est une grande ville moderne qui ressemble à d’autres villes modernes du sud-est asiatique.
En revanche, Hanoï recèle des merveilles, dommage que le climat y soit si pénible.
Pour la langue, pas trop de problème, les employés des agences parlent anglais correctement, le français avec plus de difficultés, mais on arrive toujours à se faire comprendre.