Air Mekong n’existe plus.
Maintenant, c’est VietJet Air qui atterri à Phuy Quoc.
L’uniforme des hôtesses est assez surprenant.
Bien sûr que pour l’instant l’aéroport n’a d’international que le nom.
Mais c’est avec Samui le seul aéroport situé dans une île qui permet à des avions relativement importants d’atterrir.
Et ça, ça interresse beaucoup les chinois, les russes, les coréens et beaucoup de gens du coin qui n’ont pas 4 semaines de vacances et qui ne peuvent pas se permettre d’atterir à Bangkok, de prendre un bus ou le train pour aller à Ko Chang, Ko Tao, Ko Lippe ou Ko Muuk.
Tu l’as certainement remarqué, mais la route qui va du port d’An Thoi à Duong Dong est encore à l’état de piste, mais la construction de routes à 4 voies qui partent de l’aéroport et qui ne mènent nulle part est déjà bien entamée.
Comme au Far West il y a quelques temps, ont construit les voies d’accès, les villes et les hôtels suivront.
Pour ce qui concerne le séjour dans le delta du Mékong, ce qui m’a surpris c’est l’urbanisation de cette région. Je m’attendais à des forêts, des mangroves, à un paysage où se mèle le sauvage et le rural comme on peut en voir dans le sud ouest de Yangon.
Un peu déçu de ce côté là.
Alors bien sûr, au milieu de tout cela, il y a des marchés flottants ( qui regorgent de vie… ), des trucs pas mal, mais c’est loin d’être scotchant.
Concernant l’attrait de Phu Quoc, nous pensons peut - être la même chose en l’écrivant différemment.
Quoique…
Courtoisement.