Le stop fonctionne très bien en Europe. Pour aller d’une ville à l’autre, regardez le meilleur spot où vous placer sur hitchwiki ou l’application hitchmap. Ça vous aidera beaucoup. Vos étapes sont plutôt bien équilibrées. En Europe, je pense que 500 km max / jour, c’est confortable. Il m’est arrivé de pousser jusqu’à 800 / 900 mais en étant deux filles. Je vous conseille également d’utiliser une ardoise blanche pour pouvoir marquer les étapes.
Cependant, plusieurs points de vigilance : l’Italie (surtout le Nord) est réputée pour être assez difficile en stop. Mon expérience personnelle a été trop courte pour confirmer ça, mais je l’ai entendu d’un bon nombre de voyageurs.
Pour ma part, ma bête noire reste l’Allemagne. Non pas qu’ils ne prennent pas d’auto-stoppeurs, mais les infrastructures ne s’y prêtent pas trop. Difficile de sortir des villes, pas de péages et de stations sur l’autoroute. Il m’est arrivé de nombreuses fois de rester coincée plusieurs heures en Allemagne.
Après, rien est impossible bien sûr. Ça demande juste un peu plus de patience qu’en France ou en Belgique par exemple.
La France était un bon pays pour faire de l’auto stop, et l’est encore! Les autoroutes sont payantes, et, aux péages, vous pouvez trouver une voiture plus facilement car celles-ci roulent à plus faible allure (même s’il faut privilégier les stations service sur autoroute). Si vous êtes placé au péage, avant la barrière, c’est légal. Une fois sur l’autoroute, allez de station service en station service et demandez directement aux conducteurs faisant le plein. De même, les aires de repos peuvent être un bon endroit.Vous pouvez avoir des cartes gratuites aux offices du tourisme. Si vous attendez depuis longtemps avec une indication de l’endroit où vous voulez aller, abandonnez-la et essayez avec votre pouce uniquement.
1) PAU => MONACO
Les pyrénées atlantique est un département réputé pour être le paradi des autostoppeurs
Départ de Pau au péage de l’autoroute A64 Pau Centre (leclerc) jusqu’à Toulouse.
A Toulouse prendre le métro jusqu’à l’arrêt Montaudran puis arriver au péage de l’autoroute A61 Toulouse Sud.
A partir de la ???
Y a-t-il plus de voitures allant à Narbonne ou à Carcassonne ? A Narbonne ou Carcassonne y a-t-il beaucoup de voiture allant à Montpellier ? etc…
2) MONACO => GÊNES
La partie sud (vers Marseille, Toulon…) est assez accessible aux routards mais par contre une fois vers Nice, Cannes… n’y comptez plus ! Prenez un train, vous perdez votre temps ! À éviter : les sorties de toutes les grosses villes et le pire, je pense, Monaco !
3) GÊNES => PISE
Attention à la traversée de Gênes suite à l effondrement du pont.
L’autostop en Italie n’a jamais été facile (y compris 30 ans en arrière). Le look, la frime… avant le partage.Le but du jeu est de rester sur le réseaux des Autostrada, et de faire des sauts de mouton de grosses “Area Servizio” en “Area Servizio”. Demandez directement aux chauffeurs et camionneurs qui y sont présents. En dehors, les choses sont un peu plus difficiles. Plus vous descendez au sud de l’Italie, plus les gens sont sympathiques aux routards. Le nord est industriel et les gens sont réfractaires aux routards. Ici comme ailleurs, la police n’est pas réputée pour sa sympathie : évitez donc les péages ! De manière générale, faire du stop n’est pas dans les mœurs du pays, si vous êtes pris, c’est généralement un étranger (français, espagnol, polonais…) !En Sicile les gens vous acceptent assez facilement. Il y a un très bon réseau d’autoroute en bon état et gratuit! Les siciliens se déplacent comme tout le monde et il y a énormément de touristes en voiture de location susceptibles de prendre des autostoppeurs4) PISE => ROME
5) ROME => VENISE
6) VENISE => ZURICH
7) ZURICH => MUNICH
Le stop n’est pas dans les habitudes des Suisses, mais il demeure tout de même facile de faire arrêter des voitures. Le tour du Lac Leman se fait très bien, par l’autoroute de Vevey. Des voitures de police banalisées s’arrêtent très souvent pour contrôler le routard, mais si le passeport est en ordre, ils sourient et souhaitent bonne chance!
8) MUNICH => VIENNE
9) VIENNE => PRAGUE
10) PRAGUE => BERLIN
11) BERLIN => HAMBOURG
Les voyages en Allemagne sont rapides surtout une fois sur l’Autoroute (Autobahn) où la circulation se fait la plupart du temps sans limite de vitesse. Le délais d’attente est en général de moins d’une heure pour un homme seul et chaque automobiliste devrait vous prendre pour 100 ou 200 km, particulièrement sur les autoroutes. Pour sortir des grandes villes, le transport en commun est la meilleure solution.Vous pouvez obtenir dans les stations-service le dépliant gratuit Tanken und Rasten avec une carte des autoroutes et l’emplacement des stations essence. Lorsque vous êtes pris en stop, mettez-vous d’accord avec le conducteur sur l’endroit où il va vous déposer et assurez-vous qu’il y a une station service. Il est difficile et dangereux d’accéder à l’autoroute, essayez donc de dormir à proximité des stations-service, si vous voyagez loin.Si vous utilisez un écriteau, sachez que chaque ville a un code composé de une à trois lettres que les conducteurs connaissent bien. Ces codes figurent également sur les plaques numérologiques des véhicules, ce qui vous permet de repérer ceux qui vont dans la même direction que vous.
12) HAMBOURG => AMSTERDAM
13) AMSTERDAM => ROTTERDAM
Les habitants des Pays-Bas sont très ouvert d’esprit, c’est très connu. Les principes de l’auto-stop sont avant-gardistes en Hollande. Devant les entrées d’autoroutes, il y a des “liftersplaatsen”, c’est à dire les “Places des autostoppeurs”. Il s’agit d’un kilomètre de trottoir avec un large accotement, assurant la sécurité des conducteurs et des autostoppeurs. Les hollandais sont des voyageurs et embarquent plus souvent les routards. Partout en Europe, les hollandais s’arrêtent volontier pour faire avancer un routard de quelques kilomètres. La Hollande : pensez autrement !En Zélande (sud-ouest) c’était relativement facile. Ainsi que la partie Est, De Groningen à Maastricht (la Drenthe, l’Overijssel, le gelderland et le Limburg) J’ai fait du stop sur une bonne partie de l’Europe dont 3 semaines aux Pays-bas et contrairement à ce qui est mentionné au-dessus, les néerlandais sont aussi méfiants que bien d’autres et jamais d’aucun ne m’a pris hors de leurs frontières. Les mégalopoles d’Hollande (comme n’importe où en Europe) sont néfastes pour le pouce. Quant aux “liftersplaats” je ne les ai jamais vu. Mais une fois la confiance gagnée, ce sont effectivement des gens intéressés et intéressant.Mais l’avènement du camping-car diminue le nombre d’auto-stoppeurs pris. En effet il est et restera bien plus simple de monter dans une voiture quand de rentrer dans l’appartement entre personnes qui ne se connaisse pas, ni même de loin.J’ajouterais également que l’auto-stop est INTERDIT sur la voie rapide et l’autoroute. Par expérience, l’amende est de 100€ par personne. Préférez les aires d’autoroute et stations essences où vous pouvez directement demander aux personnes de vous prendre avec eux. L’auto-stop se fait très rare en ce moment aux Pays-Bas car les abonnements de trains sont très avantageux pour les jeunes (gratuité pour les étudiants). Si les Pays-Bas sont anciennement un pays très “hippie”, de nos jours ce n’est plus exactement le cas et si certains “vieux de la vieille” vous prendront en stop par nostalgie du bon vieux temps, les plus jeunes vous prendrons en photo avec leur I-Phone telle une bête curieuse…
Girl hitchhiking at the liftershalte of Den Haag
A liftershalte or liftplaats (in the Dutch language) is a spot (halte means stop, like in bushalte), marked by an official sign, where a hitchhiker (lifter) can easily be picked up by car drivers.[1] In the Netherlands these spots can be found at the following places (2018):
Amsterdam: at the Prins Bernhardplein before NS Station Amsterdam Amstel (pass the bus stop), road that leads to the ramp of the S112 of the A10. (direction A1 and A2).
Groningen: at the Emmaviaduct, the road to the A28, 200 meter westwards of the Centraal Station (richting Assen). Since 2017: at Europaweg nearby Damsterdiep (direction Germany).
Sneek and Heeg: local liftershaltes connecting these places.
Utrecht ramp of the Waterlinieweg near De Galgewaard stadium (northwards A27 and A28 and in southwards A12, A2 and A27).
Zoetermeer: at the busstop Pruimengaarde on the Australieweg. Combined busstop/hitchhiking spot eastwards A2 to Utrecht. And at the busstop Meerzichtlaan on the Afrikaweg. Combined busstop/hitchhiking spot directions Den Haag, Rotterdam, Delft.
In the past there were also liftershaltes in:
Amsterdam: N200 direction Haarlem
Den Haag: next to the Malieveld, at the beginning of the A12 (direction Utrecht). Officially doesn’t exist anymore: sign has gone. But location is still good for hitchhiking.
Enschede: on Westerval, at the Parkweg (direction A1), receded 2006.
Maastricht: at the beginning of the A2 near the soccer stadium De Geusselt situated on a very good location to hitchhike to (Viaductweg x N2/A2) (direction Eindhoven) and the A79 (direction Heerlen), receded in 2012.
Leeuwarden: reportedly had an official hitch-hiking spot
Nijmegen: at the Graafseweg (direction Venlo and 's-Hertogenbosch), receded 2016, at the verkeersplein near the Waalbrug {direction Arnhem}.
14) ROTTERDAM => BRUXELLES
15) BRUXELLES => LILLE
Le meilleur pays pour les auto-stoppeurs ! Avoir un carton sur lequel est inscrit le nom de la destination souhaitée peut aider grandement à avoir un lift rapidement. La Belgique est un petit pays, rapidement traversé. Il faut prendre son temps, parce que les autoroutes sont bondées de français et d’hollandais; les risques de traverser la Belgique sans mettre le pied à terre ailleurs, est élevé! Les Belges sont très fiers d’aider les routards, surtout s’ils sont étrangers. L’auto-stop est un bon moyen également pour se rendre dans les petits villages d’Ardenne où les trains et bus sont rares.Leaving Brussels: Heading South (e.g. Namur)get to the underground station named ‘DELTA’.Next to it you have a huge ‘park and ride’ and a bus stop. Hitchhiking near the bus stop should get you a ride in less than 5 minutes during traffic hours.Heading to Ghent/Bruges: Good spot near the Shopping Mall called ‘Basilix’ in Berchem-ste-Agathe.You can reach this place with the bus N°87. An alternative spot to go to the north is in Anderlecht, near the Hospital Erasme (Underground station Erasme.)Heading to Liège/Hasselt: Take the pre-metro to the station 'Diamant’in Schaerbeek. When leaving the station you should see a lot of outgoing cars just underneath you. Just walk and follow the roadsigns mentionning ‘E40’. You should arrive in a small street giving access to a road joigning the E40 (the cars are leaving a tunnel at this point). Just hitchhike on the emergency lane at this point, in the portion near the tunnel. Cars should still be riding slowly at this point and see you are visible to them, so it’s not that dangerous.Leaving Louvain-la-neuve(university)to Brussels (north) or to Namur (south), stand at the roundabout next to exit/entrance “8a” near to “Louvain la neuve-centre” road signs. Quick lift garanteed.Avoid exit 7 or 9, since they have far less traffic.Quitter MonsEn direction de la France : Quitter Mons est assez compliqué, mais il ne doit pas être compliqué de se faire déposer à la station de Saint-Ghislain, à partir de laquelle il est facile de se rendre à Paris. Aux alentours du Brico, il y a des automobilistes à toutes heures.J’ajoute un détail : à la station de métro DELTA, le mieux est d’aller sur la gauche de l’arrêt de bus , de passer le tournant sur la gauche pour se mettre 50m avant ce dernier. il y a de la place pour que les voitures s’arrêtent et “surtout”, elle ne roulent pas aussi vite qu’a la sortie du tournant grace aux feux rouges situés avant le pont.
16) LILLE => CAMBRAI
17) CAMBRAI => AMIENS
18) AMIENS => PLAGES DU DÉBARQUEMENT EN NORMANDIE
dans l’Est et le Nord, les gens n’hésitent pas à s’arrêter et même vous filer des provisions pour le voyage parfois !
Malgré les préjugé les parisiens s’arrête plutôt souvent mais on a aussi souvent droit à un doigt d’honneur. La Picardie est à éviter, sauf si on aime attendre. Pour la Normandie et la Bretagne, on ne reste pas longtemps sur le bord de la route – particulièrement dans la Manche