Quitter son boulot, l'envi de partir

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Salut à tous,
Je poste ce message pour recueillir différents avis m’aidant à faire le point.
Depuis quelque temps déjà j’ai l’envi de partir à l’étranger pour vivre une aventure, changer de vie au moins le temps d’une année.
Actuellement j’ai 26ans je boss dans une banque en cdi, le probleme est bien la car j’ai une angoisse c’est de tout quitter et savoir si c’est le bon choix, sachant que je voudrais partir dans un pays anglophone afin d’apprendre l’anglais de la même manière, actuellement j’ai bien sur des bases dans cette langue mais j’ai un niveau que je juge de médiocre.
J’aurai aimé avoir ou le témoignage de personne ayant quitter leur boulot pour faire un projet semblable ou tout simplement votre avis sur la question.

Merci d’avance

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J’ai plusieurs fois quitté de bons emplois pour partir. J’ai quitté la France il y a 11 ans. Il faut savoir qu’en France on est particulièrement attaché à la stabilité de l’emploi et particulièrement inquiets de l’avenir, du chômage etc. Dans beaucoup d’autre pays on ne retrouve pas les mêmes obsessions, on est beaucoup plus flexible. Alors bon, il ne faut pas trop s’inquiéter et se faire confiance…Je n’ai jamais regretté un départ. Bon, pas d’inconscience non plus, il faut calculer son coup.
Soda

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Merci pour ton message, t’as raison, j’ai pas envi de partir de facon incosciente, j’ai réfléchi et je pense déjà dans un 1er temps je vais partir 1 mois dans un pays anglophone pour m’aider à me décider ou pas.
Tu es parti plusieurs fois? tu es allé ou?Comment ca c’est passé?

Thomas

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J’ai quitté de bons emplois pour partir vivre au Canada, en Asie et en Amérique du sud ou je suis actuellement. Ca s’est toujours globalement bien passé même s’il y a eu des moments difficiles. Ce sont des expériences exceptionelles et riches en découvertes. Il ne faut pas trop s’inquiéter pour la langue et pour l’emploi, ca s’arrange vite avec de la volonté et le bagage scolaire francais est quand même un atout qui permet de s’adapter assez facilement.
Soda

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Pour le coup, t’es une vrai routarde, ca m’impréssionne l’ensemble des pays que tu as fais.
Tu faisais quoi comme boulot en france, quel bagage scolaire à tu?
J’aimerai bien que tu m’expliques l’ensemble des boulots que tu as fais dans ces différents pays, à quel age as tu commencé ton périple, et puis ce que ca t’as apporté.
Je suis peut être un peu trop curieu, mais je trouve ca intérressant.

Thomas

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Rien d’extraordinaire: J’étais ébéniste au départ, artisan, enseignant, coopérant.
La coopération est une belle voie pour voyager. Difficile de décrire ce que ça m’a apporté, par contre j’ai beaucoup donné…tout ce que je pouvais… à ceux qui en avaient besoin (jeunes en difficulté, familles, enfants des rues) Sinon, bien sûr, le plaisir de voyager, apprendre des langues, avoir une vision plus ouverte et complète sur le monde et les gens, le plaisir de découvrir plein de choses tout le temps et de se demander, même sans avoir beaucoup d’argent, si on passera les prochaines vacances au Pérou, au Chili ou au Brésil.

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Comment ca t’ai venu l’envi de faire des tels voyages, parceque c’est pas donné à tout le monde de faire ce que tu me dis.
As tu imaginés ton retour en france?

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J’ai scruté l’horizon toute mon enfance… Mais en fait pas mal de personnes ont ce genre de vie, peut-être plus que ce que tu crois. Bien souvent il suffit de vendre son auto pour voyager plusieurs mois en Inde en Afrique…là ou le vent te porte…et te laisse…J’ai vu des français installés et heureux dans tous les pays du monde. Tiens, dernièrement au Brésil sur une île paradisiaque. As tu vraiment beaucoup à perdre pour réaliser ton rêve ?
La France, on y pense, mais vu de l’extérieur ça n’est vraiment pas atrayant.
Ça me donne envie de manger un bon croissant croustillant.

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Oui c’est vrai quand on pense à la france c’est dabord les croissants croustillants . Ce que j’ai à perdre c’est biensur la voiture et moto bon jusque la ca va, ensuite le cdi dans la banque pour dire vrai déjà ca me fais plus peur, mais bon avec 2 bac + 2 je ne pense pas non plus avoir tant de mal que ca à retrouver un boulot surtout que je comprendrais une autre langue ensuite il y a le budget je n’ai pas envi de tout claquer, puis j’ai le choix entre ou construire une petit maison maintenant et continuer mon boulot dans le cadre que je suis actuellement ou sinon remettre ce projet de maison à plus tard puisque je n’ai que 25 presque 26ans et faire ce projet de voyage qui est certes plus enrigissant sur le plan personnel puis c’est des choses que je risque de ne plus pouvoir faire plus tard.
Tout ca j’en suis conscient mais phsycologiquement faire le 1er pas est un peu plus dure peut être car toute ma famille est ici mes repéres aussi et mes amis.
Aprés avoir fais le tour de la question je ne pense pas pouvoir me jeter d’un coup dans l’aventure puisque je n’ai jamais fais ce genre de chose je n’ai pas envi de partir sur un coup de tête qui risque de me faire perdre ce que j’ai actuellement s’en avoir un minimum ressenti ce que une telle aventure peu m’apporter.
Je pense donc essayer de partir 1 mois au canada dans une école linguistique puisque le but est bien d’apprendre l’angalis en plus de l’aventure.
Suite à ca je suppose que je vais mieu ressentir si je me sens réellement de partir pendant 1 an ou pas.
Je suis peu etre un peu terre à terre dans ma réflexion mais je n’ai pas envi de me faire perdre par mes rêves, que penses tu de mon idée?

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C’est assez éloigné de ma façon de penser mais c’est la tienne et ça se respecte. Il faut faire les choses à son propre rythme, c’est sûr.
Moi j’ai tendance à croire que la vie est une sorte de rêve qui passe comme le vent, une illusion…il y a juste le sens qu’on met sur les choses, sur le bonheur des autres et de soi qui a de l’importance, ça laisse de vraies traces, ça donne un vrai sens à l’illusion. Sinon, la stabilité, la richesse non partagée, le matériel…ça me semble être plutôt des chaines qu’autre chose. Tu sais, avec le recul de l’espace et du temps, c’est frappant à quel point beaucoup de français sont conditionnés par des croyances quasi supersticieuses comme le saint CDI, l’argent, la sécurité, la retraite, la maison etc le tout étant supposé apporter le bonheur. On ne parle même pas de bonheur car ce n’est pas chiffrable et très naïf…pas très sérieux en somme. Réaliser ses rêves est trop risqué, pas très productif ni rentable, et que se passera t-il après ? l’angoisse… Je ne me moque pas car c’est la vie de millions de français, mais il faut bien se rendre compte que tout cela n’est que du conditionnement mental. Ce n’est pas absolu du tout.
Il y a bien longtemps je suis parti 6 mois en Inde en vendant ma voiture, ça a été formidable.
Ceci dit, fais donc les choses à ton rythme et tu verras bien. C’est chouette le Canada. Il ne faut pas trop se faire violence car certains ne supportent pas la perte de repères. Tu as raison, il faut expérimenter…
Je te souhaite bonne route et d’explorer bien d’autres rêves au delà de tes rêves…pleins de sens…
Soda

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Salut Tom,
Je sais que ce que je vais dire n’est peut-être pas facile à accepter mais à mon avis, cette envie que tu as de partir une année traduit en réalité ton envie de changer de travail, de peut-être prendre le risque de faire quelque-chose que tu aime vraiment, peut-être as-tu un don caché, un talent ou simplement envie de participer à quelque-chose qui te touche. Travailler dans une banque permet de vivre compfortablement mais nous sommes pas sur Terre pour être compfortable, nous avons une soif profonde de grandir et un besoin profond d’amour. Cet amour ne nous apartient pas mais il devient énergie si on l’utilise pour faire le bien, soit à nous-même, soi aux autres. Quoi que tu fasse, prendre le risque de tout perdre, si c’est pour une bonne raison, je dis oui. Suis ton instinct, fais-toi confiance et laisse toi guidé par ce qui te semble vrai à ton coeur.

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Bonjour à vous,
En lisant votre discussion, je me suis retrouvée dans chacun de vous… L’envie de partir, de changer de mode de vie, de vivre ses rêves, la peur de tout plaquer, de faire les mauvais choix, de laisser trop de choses ici sans garantie de trouver ce qu’on chercher … et après tout, qu’est ce qu’on cherche ???
Je n’ai pas envie de me sentir comme tout ces gens, rassurés par leur carte bancaire et leur situation stable, en oubliant de s’ouvrir aux autres et au monde…
Mais tout le monde n’a pas les mêmes reves, et heureusement ! l’essentiel est au moins d’en avoir …
En même temps, je suis gonflée … J’ai aussi ENVIE, mais j’ai la TROUILLE… Et j’admire ce qui ont les …

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Salut,
Aprés avoir lu les différents commentaires cela rassure que l’on est pas seul à avoir cette envie, cert passer le pas reste le plus difficile, cependant aprés avoir bien réfléchi j’ai décidé dans un 1er temps de partir 1 mois aprés ca je vairrais bien comment ca tournera dans ma tête.
t’as raison en posant la question Qu’esce qu on cherche? franchement pour moi je ne le sais toujours pas.
Ou aimerais tu aller?

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Effectivement, il y aussi les compromis !!! un mois, c’est un bon début. Et tu comptes partir quand ? et ou ?

Poue ma part, l’afrique m’attire beaucoup… L’autre alternative serait un séjour de quelques mois (3 ou 4) au canada pour un séjour découverte et pour apprendre l’anglais. Les idées affluent, il faut faire le tri !

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les idées affluent c’est claire, de toute manière quand tu es lancé sur un projet en général les idées c’est pas ce qui manque.
Normalement je partirai au alentour du moi de juin ( ca dépend des congés), j’irai au canada j’hésite entr Toronto et Vancouver avec un p’tit appentissage de l’anglais car vu moi niveau en langue il y a du boulot.
Actuellement toi tu es dans quel situation, tu boss?étude?

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Salut Thomas,

je n’ai pas lu toutes les réponses dans cette discussion mais ce que je souhaite te dire c’est que tu as tout à fait la bonne attitude. Tu as 26 ans c’est le moment idéal pour tenter le coup. Un de mes mentors dans le boulot (il était journaliste en Asie) m’a dit un jour que jusqu’à 31 , 32 ans il faut essayer des choses. En général on trouve son vrai tric vers cet âge là et on se stabilise.
Moi je suis parti vivre deux ans en Asie du Sud Est entre 24 et 26 ans. Tu ne peux pas savoir le bien que ça m’a fait. J’ai découvert un truc ahurissant dont je ne me doutais pas à PAris. C’est que le monde n’est pas dangereux, anxiogène, mais qu’il est une formidable addition d’opportunités. La vie te le rend toujours au centuple quand tu prends un peu de risque pour suivre tes envies. Bon c’est sûr pas n’importe comment mais pas non plus en cherchant la sécurité à 100 %. Moi j’étais payé au début en dollars de la main à la main, sans sécu sans rien. Et puis j’ai trouvé un bon job dans un canard entre le Cambodge, la Thaîlande et le Vietnam, c’était juste le pied.

Pour le Canada, je te conseille vivement Vancouver. C’est anglophone, c’est plein de boites de nouvelles technologies, il y a plein d’asiatiques (surtout des riches de Hong Kong qui sont partis au moment de la rétrocession à la Chine). Et en plus le cadre est magnifique. C’est le genre d’endroits ou tu auras des opportunités je pense (y compris d’enchaîner ensuite sur l’Asie).

Bref, laisse mûrir le truc mais n’écoute pas trop tes peurs. Le monde est tellement mouvant que calculer en fonction de la sécurité est suicidaire. Ecoute toi.

A bientôt

Kivahu.

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salut thomas,

c’est marrant en te lisant j’avais l’impression que c’est moi qui avait ecrit le texte. Jusqu’a 26 ans, j’ai eu une vie classique a la francaise comme dit plus haut : un job pas trop mal paye avec un cdi. puis au bout de 4 ans dans la meme boite j’ai voulu changer. c’est surtout le fait de voir plein de gens revenir enchantes de leur experience a l’etranger qui m’a donne envis de faire comme eux.

mais comme toi, j’avais peur de laisser mon job sans garanties apres, donc j’ai pris l’option du conge sabbatique. c’est pratique et tu n’as pas le couteau sous la gorge, si ton experience se passe mal, tu as une roue de secours (eh oui toujours le fameux instinct de securite a la francaise).

j’ai decide de partir en irlande, un peu a l’arrache dans l’espoir de trouver un taf. finalement je n’y suis reste que 2 mois, car l’irlande est bien touchee par la crise. mais par contre sur un plan humain c’etait exceptionnel, c’etait la 1ere fois que je partais seul dans un pays etranger (a 26 ans, certains le font a 18, moi j’ai mis plus de temps), deja ca depayse ca fait pas de mal, et puis tu te rends compte que ton niveau d’anglais n’est pas si mauvais que ca (c’est une histoire de confiance), et surtout tu rencontres des gens de tous horrizons.

Depuis je suis rentre en france, et la vie me semble bien monotone, et surtout bien que j’ai 27 ans j’ai pas envis de m’installer comme c’est souvent coutume de le faire a cet age la.

maintenant je n’ai qu’une envis, c’est de repartir a l’etranger, mais pas envis de faire n’importe quoi non plus, car avec cette fameuse crise, ca fait un peu peur aussi.

a suivre comme on dit, mais ce voyage m’a laisse des reves plein la tete, et c’est vrai que une fois le 1er pas franchi, ca donne envis de recommencer

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Voila je voulais vous remercier pour l’ensemble des témoignages, ca m’a permis de m’aider à faire le point, de voir qu’il y en a dans la même situation que moi, ca m’a rassuré lol
Ce que j’ai retenu c’est que cette expérience est enrigissante au point de vu humain et la peur et justifiée car nous somme dans un moule francais mais qu’il faut essayer de passer au dela et de toute manière le regret de ne pas le faire coute plus chère que tout autre sureté ou justificatif.
Il vaut mieu faire un projet même si celui ci n’est pas forcement concluant que vivre avec le regret de ne pas l’avoir fait, et en vous lisant j’ai pas l’impression qu’il y es beauocup de regret lol.
Bien sur la crise n’est pas la pour faciliter les choses et je suis curieu se savoir si l’un d’entre vous à l’expérience, peut on quand même trouver un boulot et il y a il un endroit ou une sorte de job plus propice à trouver du taf?

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Salut c’est un bien beau petit récit.
Cependant je tempérerais sur Vancouver c’est pas si facile d’y trouver un job tout dépend des qualifications que l’on a et puis la crise est passée par là.
Mais qui ne tente rien n’a rien ! :slight_smile:

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Salut tom06700 cela dépend aussi si tu es célibataire ou marié avec des enfants…
c’est certain que si tu n’as pas des attaches familiales cela sera plus facile…

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Salut Tom,

Je viens de lire ton fil, ô combien instructif. Je me sens proche de tes sentiments (qui datent de février). Je compte tout plaquer ici. Pareil, je suis en CDI. Mais je ne suis jamais vraiment partie, et aujourd’hui, j’ai envie de recommencer ma vie ailleurs. La France me saoûle grave. Et mon taf, 8 ans que j’y suis, envie de voir autre chose, et de me nourrir d’autres expériences. Je suis assez attirée par l’Asie, plus particulièrement le Viet-nam, mais mon rêve le plus fou reste l’Islande.

Tout comme toi, je suis assez limite en anglais, et ton option école linguistique au Canada est une très bonne idée.

Je voulais savoir aujourd’hui où tu en étais… si tu était parti là bas, et qu’est ce que tu en as retenu. La suite de tes projets… Bref, j’aimerais beaucoup échanger avec toi qui a dû avancé, par rapport à mon point de départ…

A plus !!

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J’ai 70 ans et je continue à me demander quelle partie du monde je vais découvrir. Aujourd’hui, je reviens de 6 mois en Inde après beaucoup d’années au sri lanka, et je ne sais pas où aller, et je sais que je désire partir le plus rapidement. Mexique? Panama, Colombie, Pérou. Si vous avez dez idées pour qu’une vieille comme moi puisse s’épanouir, please do it. Welcome. A bientot

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Bonjour,
J’ai bien lu ta conversation avec Soda et je partage assez son avis. Je te raconte mon experience:
J’ai 35 ans bientot 36, et c’est fou car je me pose les memes questions que toi mais à mon age. Je suis partie un an en tant qu’au pair aux Etats-Unis lorsque j’avais 25 ans. Mon entourage me disait que c’etait une erreur, que j’allais perdre un an, etc… j’ai tapé du point et j’ai persisté dans mon choix. J’ai vecu une super année ! je suis revenue enrichie en tout point de vue. J’ai maintenant des amis aux 4 coins du monde. On apprend a connaitre d’autres cultures, j’ai voyagé et j’ai correctement appris l’anglais. Lorsque je suis revenue j’ai trouvé un travail en 1 entretien dans une banque (mais pas en France a Luxembourg) car je parlais anglais. depuis j’y travaille toujours. Ce que je me suis dit en rentrant c’est “maintenant il faut que tu construises quelque chose” eh bien oui, j’ai acheté une maison et je m’offrais un (voir plus) beau voyage par an. Maintenant a 35 ans j’ai les memes envies qu’a 25 sauf que j’ai credit et autres barrieres en plus, etc… Je me dis que j’aurais du profiter de mon jeune age pour voyager et me construire une experience dans plusiseurs pays. (Je voyage encore sac a dos). Il existe des visas qui te permettent de travailler et voyager, en general c’est jusqu’a 30 ans et au Canada 35 ans. Cela te permet de garder une certaine securité et te permet de changer rapidement d’horizons. Une fois a l’étranger tu vois la France d’une autre facon, trop conservative, etc… enfin tu comprendras tout seul. Et quand tu rentreras tu verras ton entourage au meme point. Aucune de tes années passées a l’étranger ne sera une perte sur ton CV, il y a tellement de chose à y mettre en valeur. Nous francais nous nous mettons trop de barrieres, on trouve trop d’excuses pour ne pas se lancer. Profites c’est une bonne periode pour voyager. Prends le temps de cibler ton pays et tes objectis et fais sauter les barrieres de la peur de la recherche/perte d’emploi, il y en aura toujours un a ton retour car qui sait ce que tu auras fais entre temps.

On dirait que je me parle un peu a moi-meme :slight_smile: !!! Bon courage! et Bons voyages.

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Salut,
Je viens de poster une reponse mais je n’avais pas vu que ton message datait de l’annee derniere !
Es tu parti? Comment s’est passé ton premier voyage?
A bientot j’espere.
Sandra

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bonjour à tous,

toute expérience est bonne à vivre, j ai démissionné d’un poste de cadre pour partir à montreal. Je reconnais que c’est effrayant et qu’on peut être plein de doutes mais prenons un peu de risque pour vivre de nouvelles aventures, …
L’adresse d’un site qui m’a beaucoup aidé dans mes démarches

bonnes aventures à vous

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Bonjour à tous,
Je sais que cette discussion date, mais je pense que les sujets évoqués raisonnent dans beaucoup d’entre nous, et que l’envie de quitter une routine pour mordre la vie et découvrir le monde, ses joies et ses plaisirs est un sujet immuable. J’ai suivi avec beaucoup d’intérêt la discussion entre, entre autres, Thomas, Lilicat, et Soda.

Je me demande aujourd’hui, en 2015, si Thomas a finalement sauté le pas et je serai curieuse d’avoir ta réponse là-dessus Thomas. Quel équilibre as-tu trouvé?

Sur une note plus personnelle, je me retrouve à un tournant de ma vie où je dois prendre une décision importante, et j’aimerais beaucoup recueillir les avis et expériences de personnes qui sont sans doute aussi passées par là.

En bref, je cherche à savoir si je dois quitter ma vie actuelle pour me lancer sur les routes. Je suis une femme de 35 ans, sans enfant, avec l’envie de fonder une famille et de voyager. J’ai un boulot qui ne me correspond pas mais m’offre une certaine sécurité (achat maison, sécurité d’un congès maternité lorsque je voudrais avoir un enfant). J’ai déjà beaucoup voyagé, à raison d’1 ou 2 voyages par an, et d’un congès sabbatique de 3 mois en Asie l’année dernière qui je pensais tarirait mon envie de voyager, mais au contraire n’a fait que l’amplifier. Mon partenaire ne partage pas mon envie de voayges et d’expatriation, ce qui a déjà entrainé plusieurs ruptures.

En bref, je me demande si je dois tout quitter: mon travail, l’Europe, ma famille, mes amis, mon partenaire pour vivre mon rève de voyage et d’expatriation avant qu’il ne soit trop tard. Cela impliquera de peut-être renoncer à une famille (ce qui serait très dur pour moi) ou peut-être dans ces voyages trouver le partenaire de ma vie qui partagera ce même besoin de voyager…

L’autre option étant de rester en Europe, renoncer à ce besoin de voyager et de fonder une famille.

J’aimerais ne pas avoir à choisir, et en même temps je n’arrive plus à me sentir à ma place en Europe. Je me sens revivre à chaque fois que je suis en voyage. Ma créativité revient, mes projets de création d’entreprise prennent de l’ampleur , pour s’étioler à mon retour en Europe. Et je n’ai jamais autant appris qu’en voyage et par les personnes qui ont été mises sur ma route lors de mes voyages!

Je ne sais plus quoi faire, et ai l’impression de devenir folle. Vos avis et expériences m’aideraient beaucoup. Merci pour vos avis!

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Gente dame dans les choix, on exclue. Et les choix sont d’autant plus facile à faire qu’on a reçu un coup de pied au cul qui vous propulse loin de son sweet home.

Donc je crois qu’il faut être un “damné de la terre” mais pas pour autant un “forçat de la faim” pour réellement changer de vie sachant qu’entre le tourisme (en tant qu’état d’esprit) et l’expatriation il y a une galaxie.

Pour ma part c’était facile : inembauchable passé 40 ans, une série de petits boulots pour finalement me dire que je n’avais plus rien à faire dans ce pays et que même ma culture française je la faisais plus passer à de jeunes amis marocains qu’au beaufs de mon environnement français. A la fin j’ai même été jeté du RMI où on a encore moins de droits qu’à l’ASSEDIC et qui, donc, n’est nullement un “minima social” comme on essaie de le faire croire.

En plus je n’ai nullement envie de “fonder une famille”, celles que je voie autour de moi me font citer Gide (“Familles je vous hais. Portes closes volets refermés”). A la différence des familles marocaines qui ne fonctionnent pas de la même façon : quand on copine avec quelqu’un on devient l’ami de la famille, en France, si on n’est pas de la famille on n’est pas fréquentable. Donc, dans mon cas, outre “l’horreur économique” (pour citer Vivianne Forrester) c’était aussi l’horreur relationnelle. Si avec ça on n’a pas envie d’aller voir ailleurs…

Ce que j’ai fait et ça fait 4 ans que je suis en Amérique du sud et je n’ai plus du tout envie de retourner en France, même en touriste.

Le moins que l’on puisse dire est que nos motivations et nos vécus ne sont pas comparables. J’ai pourtant correspondu avec des jeunes qui voyaient bien qu’ils n’avaient aucune perspective et n’avaient pas envie de continuer de vagues études qui ne servaient à rien, mais aucun n’a voulu me rejoindre, mener l’aventure raisonnable qui est la mienne et qui est ouverte à toutes propositions. Tout ce qui est amorcé dans ce forum “Expatriation” que je suis depuis quelques années ne débouche jamais sur une réalisation concrète ce ne sont que des “rêves” comme ils le disent eux-mêmes ou des états d’âme. Mais comme je ne suis pas stalinien, je ne leur fait pas traverser la Volga en leur criant “Nichagu nazad !” (Pas un pas en arrière !). Ca serait pourtant moins sanglant qu’à Stalingrad.

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Bonsoir,

un hiver 1987 j’ai décidé de quitter la France et partir en Afrique mais j’avais un avantage c’est que mon père y était depuis 3 mois et j’avais donc un point de chutte. Trois mois plus tard mon père rentrait en France et il a fallu gérer.
Après 20 ans d’Afrique quel est le résultat ?
La possibilité de travailler dans des conditions différentes qu’en France c’est à dire d’avoir beaucoup de responsabilités; d’être en contact permanent avec le personnel local et de devenir un peu leur “père” à tous dans la mesure où on peut leur apporter un plus qui va leur permettre de mieux vivre leur futur; vivre une autre vie avec d’autres impératifs, des us et des coutumes à respecter y compris la religion; pouvoir évoluer professionnellement et bien gagner sa vie.

Mais que suis-je devenu ? Un déraciné car mes amis, ma famille ont continué leur vie et ce n’est pas en venant en vacances une fois l’an que j’ai pu intégrer cette vie, on est loin et on fini par être plus ou moins oublié, même si on est très bien accueilli quand on revient, il n’y a plus rien àpartager. D’ailleurs souvent c’est du genre : “tu as de la chance, tu as de l’argent, tu passe de belles vacances, j’aimerais bien être à ta place” …mais les deux amis que j’ai pu faire venir en Afrique en leur trouvant du travail ne sont pas restés bien longtemps car ils n’ont pas pu s’adapter à cette nouvelle vie et à ses tracas permanents. aujourd’hui je suis en Espagne car je ne me suis pas trouvé bien en France et je suis à nouveau un déraciné…!

Alors c’est finalement simple, si vous êtes quelqu’un qui vit avec le plaisir de voir la famille, les amis et de partager cette vie avec eux ne partez pas. Par contre si vous n’êtes pas attaché ni à votre famille ni à vos amis et qu’être loin d’eux ne vous dérange pas du tout alors allez-y, partez mais soyez d’abord certaine d’avoir un travail qui vous permettra de vivre correctement car il n’y a rien de pire que de s’expatrier pour vivre plus mal que dans notre pays à moins d’y être obligé.

Bonne soirée.
Louis.

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Ce témoignage est intéressant et montre bien que l’on doit être un “maudit” pour s’expatrier. C’est un peu ce que j’essayais d’expliquer à la p’tite dame qui voulait le beurre, l’argent du beurre et la crémière par dessus le marché.

Certains, rarement mais ils existent, on fait une expatriation familiale, soit statique (un job dans un pays) soit dynamique (une vadrouille au long cours).

Effectivement l’Afrique que j’ai connue (dans les années 70) n’est plus ce qu’elle était. En Côte d’Ivoire les blancs étaient respectés mais ils avaient d’emblée des responsabilités. Dans mon job qui consistait à collecter des rats et des souris on allait dans les villages et on mobilisait les enfants qui, à la fois gagnaient des sous, et se distrayaient de la routine. Ces enfants étaient très sympathiques et étaient demandeurs de savoir. Mais, le blanc étant considéré comme l’homme médecine, on nous présentait tout ce qu’il y avait de pathologique dans le village. Impossible de s’y soustraire ! D’ailleurs on venait avec tout le matériel qu’il fallait. J’ai donc beaucoup appris, en médecine tropicale, et accessoirement sur les rongeurs que j’étais sensé étudier.

Maintenant l’Afrique est devenue invivable (à commencer par les africains) et tout apport extérieur est tari à cause de la dangerosité. Même le “Paris-Dakar” ne veut plus en entendre parler. D’ailleurs où il est le “Paris Dakar” ? En Amérique du sud, comme bibi. C’est encore dans cette région du monde qu’on peut vivre comme expatrié, avec deux pays en vedette de la “civilisation” : l’Uruguay et le Chili.

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Bonjour,

Pour ma part j’étais intervenu sur cette duscussion il y a 6 ans. A l’époque j’avais 27 ans. C’etait une période de ma vie où j’avais envie de faire un break et de partir à l’étranger. L’expérience en elle même fut très brève (2 mois), mais très riche sur le plan personnel. Mais on ne peut pas réellement parler d’expatriation, plus de vacances prolongées. Quand je suis rentré je n’avais qu’une envie c’était de partir aussitôt, car je trouvais la France monotone.

Depuis, je suis pour ainsi dire “rentré dans le rang”. j’ai trouvé une certaine stabilité sur le plan professionnel et personnel. Et aujourd’hui je ne me vois pas du tout aller vivre à l’étranger, non pas que la France soit mieux ou moins bien qu’un autre pays. Quitter mes racines me semble impossible, on sait ce qu’on quitte, on sait pas ce qu’on trouve par la suite. Je fais quand même un gros voyage chaque année. Mais, partir en vacances c’est une chose, s’expatrier c’en est une autre.

Il me restera toujours le regret de ne pas avoir fait d’expérience d’expatriation, je regrette de ne pas l’avoir fait quand j’avais 20 ans. Mais à cette époque je n’avais pas envie, et que j’ai eu envie c’était trop tard.

S’expatrier quand on a 20 ans c’est une expérience à vivre qui ne t’engage pas pour la suite, bonne ou mauvaise (souvent bonne d’ailleurs). Partir à 30 ans ou plus (surtout dans le cas où tu plaques tout) c’est un choix de vie autrement plus important.

Bien entendu tout ceci est un ressenti personnel, et je me garderai bien de dire qu’il est universel.

Eric

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@Eric
Je ne crois pas qu’on puise mettre la motivation d’une expatriation uniquement en termes psychologiques et d’âge. Par exemple l’antienne de dire “les jeunes sont des révoltés” est fausse car on ne fait pas plus timoré, résigné et, en quelque sorte sénile que les actuels jeunes.

Si la France était encore un pays en bonne santé économique, on pourrait se dire que, entres deux boulots, on peut aller voyager dans le monde. Mais ce n’est plus le cas maintenant. Les boulots sont rares (avant 35 ans), impossibles (passés 35 ans), mal payés (dans tous les cas) avec un Etat qui ne sait pas quoi inventer comme taxes. Raison de plus pour aller voir ailleurs si on a encore gardé du tonus vital. Les fameuses “racines” ne sont qu’un prétexte pour justifier sa passivité. C’est qu’on peut s’en créer ailleurs, dans un pays où on est bien, des “racines”. Même les retraités ont tout intérêt à aller vivre ailleurs alors qu’en perdurant en France ils ne font que se faire ratiboiser par la machine à pomper du fric. Seule une petite minorité de fonctionnaires ou assimilés, pas forcément bien payés au demeurant, peuvent se dire qu’ils risquent de perdre ce qu’ils ont. Mais n’est-ce pas ce que nous dénoncions dans les années 70 : “Perdre sa vie à la gagner” ?

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@Anita
Tu sembles avoir trouvé ton bonheur à l’étranger et j’en suis très heureux pour toi

Mais je te rassure, certains aussi sont très heureux aussi de vivre en France y compris les foncionnaires, retraités et autres jeunes séniles.

Ce qui est valable pour toi ne l’est pas pour tout le monde. Et ce qui est valable pour moi ne l’est pas pour tout le monde non plus. Bref comme je disais, chacun son ressenti personnel.

Eric

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de la naïveté dans ce qui est écrit ce n’est pas une attaque à charge c’est le reflet de ce que pensent des milliers de français parce que les médias les abreuvent d’imbécilités

1 la vie n’est pas plus facile ailleurs et c’est une ineptie voire une stupidité abyssale de penser qu’aillleurs c’est mieux.
Ah bon on ne paie pas d’impôts et de taxes ailleurs ? C’est nouveau ça vient de sortir…
aux USA on paie 50 % d’impôts sur le revenu et si on travaille à l’étranger en tant qu’américain il faut déclarer ses revenus à l’étranger

2 ensuite la plupart des pays industrialisés sont très endettés aussi bien la France que le Royaume Uni que tout ce que’ l’on veut donc c’est logique de payer des taxes…
et ça c’est partout pareil.
Donc c’est énervant de lire que c’est mieux d’aller ailleurs parce qu’on ne va pas payer d’impôts…

3 si vous voulez aller dans un autre pays pour y vivre pour des raisons matérielles c’est aller à l’échec garanti

je me demande comment les français ont tant perdu le bon sens à ce point

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désolé d’être direct mais quelle idiotie !
Le fait d’aller s’installer à l’étranger n’est pas forcément une opération gagnante sauf si à la rigueur on est retraité et qu’on s’installe au Portugual par exemple.
En étant un actif , aller à l’étranger cela signifie aller dans des grandes métropoles où le coût de la vie est assez élevé je je parlerai pas de Londres évidemment ou des grandes métropoles américaines.
Donc si on ne paie pas d’impôts comme on paie soi disant autant en France eh bien on va payer pour un coût de la vie très élevé.
Sans compter qu’aux USA par exemple il faut quasi obligatoirement une voiture pour travailler…
sinon à Londres les transports communs sont très onéreux.
Les pays du Sud ? Le taux de chômage est très élevé en Espagne et au Portugal et en Italie.

Ah ben oui c’est sûr q’au fin fond de la Cornouilles ou du Nebraska on peut trouver des bassins d’emplois importants

Donc lire toutes ces inepties c’est agaçant à la fin…

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Bon, moi, je ne parle que de ce que je connais. Dans tout ou partie des pays d’Amérique du sud si on fait une activité de commerce ou d’artisanat de dimension modeste ou petite on ne paye rien en impôts (juste la TVA appelée IVA mais qui n’est que 10 % sur ce qu’on achète et comme tout un chacun).

Le coût de la vie est, tout au plus, analogue à celui de la France (Chili, le pays le plus cher), mais jamais plus. Même dans les grandes villes le coût de l’habitat est bien inférieur à celui des grandes villes françaises. Je me souviens que deux français, à Montevideo dans le centre et pas loin de la mer, avaient trouvé en location une grande maison pour 500 EUR par mois. En France, à ce prix là, tu n’as même pas un studio dans une ville moyenne. Et on ne parle pas des impôts locaux. Ma maison (grande avec garage et dépendances) à Caacupé, ville à 55 km d’Asunción la capitale, je la paye 325 EUR par mois. Et je ne peux même pas parler des impôts locaux puisque c’est le proprio qui les paye. Je paye juste la taxe d’enlèvement des ordures ménagères ce qui ne va pas chercher loin. Au Paraguay, pays enclavé où tout vient par camions du Brésil, le litre de gas-oil n’atteint même pas un euro. Il est à combien en France ?

Evidemment si tu ne connais que Dubaï, Hong Kong, ou New-York…

Donc l’idiotie c’est toi qui en fait preuve avec ta hargne de quelqu’un qui ne sait même pas de quoi il parle. Donc tu peux garder ta France avec ses taxes, son chômage, ses islamistes, etc… Moi je n’en veux pas/plus.

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Chacun est libre de dire et de penser ce qu’il-elle veut heureusement, mais il faut eviter de raconter n’importe quoi quand on ne sait pas de quoi on parle, cela n’apporte rien au debat.

Dire que l’on paye 50% d’impots aux USA est tout simplement ridicule !
Un exemple en gagnant correctement sa vie disons plus de 100000 $ par an apres toutes les deductions et abattements (c’est a dire que dans la realite vous gagner bien plus que cela) le taux d’imposition sera d’environ 17% au pire.
Declarer ses revenus a l’etranger cela depend des accords entre les USA et le pays, souvent on paye uniquement dans un seul pays.
Le niveau de vie est globalement bien superieur a celui de la France, on y gagne bien mieux sa vie, globalement tout est moins cher, l’equivalent de la TVA est entre 0% et 10% environ selon les etats, l’essence est actuellement a moins de 45 centimes d’euros le litre (j’ai une voiture avec un V8 de 4.6 litre inconcevable en France), l’economie est au beau fixe, le taux de chomage au plus bas…

Ce n’est pas le paradis (mais c’est un peu comme le Pere Noel cela n’existe pas !), mais pour rien au monde je reviendrai vivre en France !

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Les USA je ne connais pas et je suis trop occupé à voir ce qu’il y a en Amérique du sud. Mais je me souviens qu’un moniteur de plongée qui y travaillais la moitié de l’année me disait qu’avec ma qualification en informatique je trouverais tout de suite un job correct aux USA alors que je lui disais que en France je n’étais même pas pris en considération parce que j’avais passé 40 ans.

Autre point que j’ai lu : un poste d’ingénieur, au même salaire net coûtera deux fois plus cher en France (charges patronales, sociales, etc.) qu’aux USA. Or en France il n’est question que de baisser les charges sur les bas salaires. Mais de quoi aurait besoin la France si ce n’était un pays en pleine dégringolade : de manutentionnairees payés au SMIC ou d’ingénieurs ?

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oui d’accord sauf que c’est être de mauvaise foi totalement ou une méconnaissance profonde des choses…

1 les impôts au Paraguay ils vont inévitablement augmenter faut vraiment être naïf pour penser le contraire.
Donc arrête ton char ben hur tu sais très bien que pour déveloper et financer les routes les écoles au Paraguay les impôts vont augmenter faut un peu du bon sens…

2-les économies des pays émergents qu’on appelait jadis du tiers-monde ont été largement subventionnées c’est à dire qu’avant soit on attribuait des aides au développement soit on supprimait la dette de pays en difficulté par le biais du FMI ( je rappelle que le FMI c’est un établissement bancaire institutionnel mondial ni plus ni moins )ou de la Banque Mondiale.
C’était le but du plan de ce secrétaire d’Etat américain le plan Brady pour aider l’amérique latine
En d’autres termes mes impôts ont servi à des pays comme le Paraguay là où tu est installé ou le Brésil à aller vers le développement économique.
Donc merci de savoir justement de quoi on parle et de ne pas être de mauvaise foi…
parce que faut pas se leurrer on me sort un tas de choses mais les pays d’amérique latine et d’afrique ont reçu une aide au développement ou bien ont vu leurs dettes effacées.
Maintenant ces pays ont de la croissance économique mais cela ne s’est pas fait tout seul…

si monsieur je sais de quoi je parle il faudrait sortir de la vision de français “moyen”…
moi je te réecris que si tu vis bien au Paraguay et que tu peux faire du bussiness c’est en partie grâce à mes impôts parce que le développement économique il est pas tombé tout seul du ciel faudrait prendre des cours d’économie peut-etre
ce qui me met en hargne c’est le manque de sens critique et la mauvaise foi

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1
tu peux me considérer comme tu veux affirrmer que je n’ai rien compris ou quoi que ce soit, je m’en fiche totalement ,ici
*c’est pas un débat d’idée
*c’est pas un débat politique à celui qui va être le meilleur comme on sait faire en France

2
payer 50% d’impôts ou 75% on 25% est-ce que cela fait un but existentiel ??

l’Economie mondiale ça tourne sur le principe de base fondamental de gagner du pognon et de faire fortune,
les français n’ont pas du tout compris cela…

Le problème c’est qu’il y a des gens qui veulent s’expatrier et quitter la France sans aucun but précis de leur avenir je n’ai jamais vu de ma vie une telle argumentation autant imbécile.
Parce que tous ces gens ne savent même pas où ils vont , pourquoi au final ils 'expatrient sans but précis.

Or comme je me répète la mentalité des pays du reste du monde c’est l’Economie de marché et la fortune au final vous risquez de vous ennuyer mortellement ailleurs qu’en Europe

d’accord mais ça avance à quoi de vivre dans un autre pays autre que la France ?
Les gens quittent la France sans but précis sans projet précis c’est ça que je critique violemment
Si tu gagnes 500000euros par mois ok c’est super c’est génial mais tu vas finir par t’ennuyer gravement, sans compter les risques de faillite financière comme en 2008…
est-ce qu’un taux de TVA à 0% ça rend heureux à la fin du mois ?

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Qu’est-ce que tu parles de tes impôts versés au Paraguay ? C’est du délire ! Tu confonds avec un pays de la Françafrique comme le Gabon. Grave état confusionnel aiguë diagnostique-je.

C’est tellement mieux de rester en France dis-tu. Mais parle pour toi ! Et uniquement toi ! T’arrive à comprendre

  1. qu’il y a un chômage gigantesque en France et que c’est en permanente augmentation (ils n’arrivent même plus à maquiller les chiffres). Et, cas particulier de la France dans les Pays de l’OCDE, on est rapidement inembauchable en fonction de l’âge (mon cas à 40 ans mais c’est même moins)

  2. que c’est le racket permanent des taxes et impôts et qu’ils ne savent pas quoi inventer de nouveau.

J’ai dit et répêté que la France produit de plus en plus de pauvres et qu’on peut de moins en moins vivre pauvrement. Au moins où je vis c’est possible. J’ai dit combien je payais de loyer et mes liquidités sont placées dans des comptes à terme à 9 % net dans une monnaie solide (combien le livret A ou apparenté dans un euro qui se casse la gueule ?).

Non seulement tu ne sais pas de quoi tu parles mais tu t’accharnes dans une logorrhée hargneuse parce que certains préfèrent aller vivre ailleurs, ne fut-ce que chichement, plutôt que d’être dans la misère et à la rue en France. Ce raisonnement logique dépasse ta compréhension.