Autant je suis d’accord avec le 1er, Lennox, en rajoutant que cela n’a rien de nouveau. Ni la crise actuelle, ni celle du Covid, ni celle qui l’a précédée n’en sont la cause. C’était ainsi il y a plus d’une décennie, les “poubelles”… et les bâtiments en ruine, c’est pire. Ces crises n’ont nullement aidé, mais sans elles, ce qu’il signale ne serait pas meilleur aujourd’hui.
Quant au second, pas plus de nouveautés informationnelles. Tout le monde savait que la fin de la double monnaie serait une bonne chose, mais qu’elle serait très difficile, à part quelques méconnaisseurs qui disaient qu’elles se feraient jamais. Cuba a mis la charrette avant les boeufs, en rendant effective cette réforme sans avoir tout aligné avant, et pourtant, ils en avaient le temps. Cuba n’a jamais vécu avec une seule monnaie, Monnaie cubaine, espagnole, américaine, de tourisme, etc. Il y a toujours eu des salades composées, et 2 tarifs de vie depuis longtemps. Le régime cubain a gardé la monnaie du plus pauvre et le tarif du plus riche, et a tout misé sur le tourisme et ce qu’il apporte, tout comme sous Batista et avant lui avec le tourisme et ce qu’il apportait (jeux d’argent, drogue, prostitution…). Castro a apporté de bonnes choses, personnes ne peut le nier, mais rien qui nourrisse son peuple, ni qui lui permettent de nourrir son peuple. Il a mis en place des choses, comme le Che avec le “travail volontaire” vite devenu le travail forcé où les vrais volontaires n’étaient que des étrangers, à 99% communistes ou apparentés qui payaient pour le faire. Les "cacahuètes sont très vite devenues insuffisantes pour nourrir sa famille, mais elle savait lire. La politique agricole privée qui n’a pas marché en Russie a encore moins fonctionné à Cuba. Heureusement que le partenaire russe était là.
En fait, Castro et sa clique ont fait comme sous Batista et avant… se remplir les poches et celle de la “famiglia”, et le peu qui reste au peuple. C’était “leur chose” ! Au final, le peuple n’a jamais était libre de pouvoir bien manger de l’argent de son travail. Les colonisateurs, les mafieux, les dictateurs, puis en plus communistes, n’ont cessé de les exploiter. A quand ce peuple enfin libre ? Pas pour demain à mon avis, quand on voit que pour certains, être libre ou vouloir l’être veut forcément dire vouloir se rapprocher des Américains.