Bonjour Estelle,
Sur deux semaines il te faudra faire des choix, les “incontournables” sont nombreux et les déplacements nécessitent du temps.
Difficile à estimer:
Tout dépend de la capacité physique de l’ado et s’il est habitué à randonner.
La principale difficulté c’est le dénivelé et l’altitude. Une adaptation progressive à l’altitude est bien souvent conseillée.
Au moment de notre voyage (2016) Carlos ne pouvait être contacté que par le “bouche à oreille”, pas d’adresse comme on l’entend chez nous, mais connu dans la petite ville de Puyo.
à Puyo, différentes agences organisent des circuits dans la Selva et dans les communautés indiennes, ces agences n’ont aucun intérêt à renseigner le voyageur sur comment contacter Carlos puisqu’elles vendent des prestations du même style, cependant en furetant à la gare routière, c’est clair qu’il y aura bien un gars du coin qui saura comment faire pour rencontrer Carlos, mais encore une fois il faut du temps!
Sur ce chapitre, l’expérience dans la communauté Shuars chez Carlos est bien différente de ce qui est proposé par les agences de Puyo .
Non pas du tout, le peu d’espagnol que tu utiliseras sera très apprécié et dans les lieux touristiques l’anglais est bien compris!
L’Equateur reste un pays facile à voyager en Amérique Latine.
Bonne préparation de voyage!
Cordialement,
Alain
Lien ci dessous, deux articles de mon blog (sans publicité) qui illustrent notre passage chez Carlos.
Equateur 4, Amazonie, dans la communauté Shuars… - Le Ranquet en vadrouille
Equateur 5, Amazonie, la “selva”… - Le Ranquet en vadrouille