Ben oui…
C’est le problème de beaucoup de pays dont on déplore qu’il soit aussi mal peuplé. Et la liste serait longue!
Je pars samedi pour l’Ontario et un tour des grands lacs, Ce n’est pas la première fois que je me rends au Canada.
Au Québec, c’est vrai les gens sont très accueillants pour les “cousins français”, mais passé au Canada anglophone, on remarque souvent ce vieil antagonisme franco-anglais qui surgit.
Il faut dire que les Québécois font le maximum pour préserver leur langue, ce qui ne plaît pas du tout aux autres canadiens, et leurs récentes tentatives d’indépendance ont encore ajouté de l’huile sur le feu.
Il faut ajouter à cela le" french bashing" orchestré par les médias-poubelle amerloques et anglais, d’une parfaite mauvaise foi, qui manipulent un lectorat au QI d’un bûche, et qui en redemande.
Le" pays des gros" n’est hélas pas un pays de gros cerveaux, on y exprime sans finesse sa frustration de n’avoir ni notre niveau de culture, ni notre sens du “vivre ensemble” (aucun amerloque ne comprendra jamais ce qu’est la laïcité, par exemple), ni notre sens des valeurs, et on trouve parfait le communautarisme institutionnalisé.
Alors on s’y venge en bavant …
Ils n’ont pas de passé, pas d’histoire, leurs ancêtres les fameux " pilgrims fathers" dont ils sont si fiers n’étaient vraiment pas la crème de la vieille Europe, alors il ne faut pas s’étonner qu’un tel pays, dont les mythes fondateurs sont un génocide (les Indiens) suivi d’une guerre civile bien massacrante mais qui n’a rien réglé ne produise une société (si l’on peut dire!) qui ne vénère que les armes à feu, les dollars … et la bible.
Alors, forcément, tout cela déteint sur les voisins…
Heureusement, on trouve aussi des gens intelligents, parfois, aussi bien aux Tazus qu’au Canada anglophone. Tout n’est pas perdu.
(*) De Gaulle dixit, à Montréal, au balcon de l’hôtel de ville, au cours d’un voyage officiel, au temps où nous étions gouvernés… phrase qu’un Québécois m’a ressorti l’an dernier.