Bonjour,
Je pars toujours en saison sèche dans les pays à risque.
Donc la seule région où nous avons pris un traitement anti-malarique fut le Parc Kruger en Afrique du Sud. Car malaria très sévère dans la région.
Mais pas en Namibie, Guatémala, Cambodge et Ethiopie.
Nous n’y avons pas vu l’ombre de la queue d’un moustique.
De plus, les moustiques ne survivent pas au-delà de 1800 mètres.
La nivaquine, paludrine, lariam , et un peu moins la Malarone, sont toxiques pour le foie. Mais la Malarone coûte 130 €.
Le Lariam est hyper dangereux. Peut provoquer névroses, psychoses allant jusqu’au suicide.
Le meilleur spécialiste belge des maladies infectieuses , internationalement connu, le Professeur Médecin Van Laethem m’a dit : “on ne prescrit jamais le Lariam à un couple en voyage de noces car il y en a un des 2 qui revient zinzin”.
Par contre, bien pire que les moustiques en Ethiopie, le Danakil.
Je ne comprends pas cette inconscience d’ y aller. Rencontré en décembre 2012 à Harar un groupe de randonneurs français partant camper au Danakil.
Eux ont eu de la chance mais 3 semaines après notre retour ( Janvier 2013), un groupe de touristes est tombé dans une embuscade ( avaient des gardes armés avec eux). Plusieurs morts et enlèvements.
Et cela continuera. Arthur Rimbaud disait il y a plus d’un siècle " les Afars du Danakil sont des fanatiques musulmans, ils sont à craindre".
De même, 3 touristes autrichiens campaient sur les rives du Nil Bleu pour faire du rafting. Un des 3 a été assassiné ( 2013). Donc pas de camping sauvage en Ethiopie ou ailleurs . Un peu de bon sens !
Cordialement