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“El caballo” de Lilo Vilaplana (swissinfo.ch)
Basé sur une histoire vécue par l’écrivain et son compatriote Marcos Miranda, qui l’a narrée sous forme de scénario, le nouveau film de Vilaplana aborde une question très sensible pour les Cubains.
C’est le cas des pénuries alimentaires et des “vols et abattages de bétail” récurrents, un chiffre légal passible sur l’île de jusqu’à 10 ans de prison.
“Nous l’avons fait pour moderniser la vraie histoire (de Miranda), pour dénoncer comment les Cubains vivent en dehors de la loi et comment ils les obligent à faire du trafic, à voler l’État”, explique Vilaplana
El Caballo" parle du troc qui existe actuellement à Cuba entre les gens pour survivre, il se concentre donc sur un couple qui fait l’impossible, même en violant les lois.
“On vole des choses à la campagne et on les emmène en ville pour faire du troc. On est allé à la campagne, on a porté des vêtements, des bottes et on est revenu avec un cochon, 62 ans se sont écoulés et tout reste pareil”, raconte Vilaplana, né à Nuevitas. , Camagüey (est), et qui prétend être « un paysan ».
"‘El Caballo’ est un hymne à la liberté et un hommage à ce qui s’est passé à Cuba le 11 juillet. en prison.
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Chavitomiamor
