Bonjour,
Hérétiques, je ne l’ai pas encore lu… mais tous les autres …oui!
“L’homme qui aimait les chiens” ne parle pas ou peu de Cuba mais de la vie de Ramon Mercader, l’homme qui assassina Trotsky.
Le Cuba de Padura, on le retrouve dans sa tétralogie “les quatre saisons” (dont deux des ouvrages ont reçu le prix Hammet), avec Mario Conde, le héros policier récurrent et ses amis, le Flaco devenu obèse et handicapé, sa mère Joséphina et ses recettes (clin d’oeil à Montalban?), Tamara…
Le Cuba des désillusions et de la “période especial” (que nous sommes peut-être quelques uns ici à avoir connue?).
Conde, on le retrouve dans “Mort d’un Chinois…” (pas le meilleur), et ensuite -il n’est plus dans la police- dans “Adios Hemingway” (pas extra non plus à mon avis).
D’ailleurs, contrairement à ce qui est dit plus haut, Padura n’a jamais écrit des “polars” mais des romans “noirs”…
Ne pas confondre svp.
Code réapparait dans “les brumes du passé”, deux voix comme les aiment Padura, le Cuba des années 50 et de la musique et celui des livres des années 2000…
Vraiment magnifique.
Il y a aussi “Le palmier et l’Etoile”, exigeant, la vie de Heredia (l’autre), en trois voix, compliquée de l’histoire de la maçonnerie Cubaine.
On peut aussi lire Guttierez, Chavarria ou même Valdes…
Mais, à mon humble avis, ce n’est absolument pas du niveau e Padura.
Bonnes lectures et bons voyages puisque , tout ausi bien, on peut voyager par la fenêtre…
zapata33.