france afrique par la route

Forum Burkina Faso

bonjour
j’aimerai savoir si quelqun s’est deja lancé dans ce voyage
partir de france en voiture puis prendre le bateau pour l’afrique en passant par la cote …
merci à toute personne ayant des infos :wink:

salut,
moi suis descendue en voiture jusqu’au sud du maroc et c’etait tranquile. en ce qui concerne le burkina jamais fait, mais par contre je suis tres interessee pour trouver une voiture qui descende. je connais bien le pays apres plusieurs mois passes sur place.
il est quand votre convoi? et y aurait-il des places?
tiens moi au courant
jess

prendre le bateau de ou a ou?
descendre la cote en voiture,
moi j ai fait paris set en voiture sete tanger en bateau puis decente du maroc j usqua nouadbibou par la route de la cote
noadhibou nouatchott par la route goudronné (ou par banc d arguin vraiment sur la cote mais la il faut un 4X4
explique ce que tu veux et j essaierai de te guider

bonsoir
daniel

bonjour
je pensais a prendre cet itinéraire la …pousser plus loin jusqu’au burkina…
pour le bateau c’est justement ce que je voudrais savoir …ou le prendre exactement …
pour le 4x4 c’est envisagé …
si tu as des indications supplementaires ou des consignes pour eviter certains “pieges” de “débutant”…
des infos des bons plans…comment s’est deroule ton periple…bref …tout est bienvenu !!!merci d’avance
liseron

http://perso.wanadoo.fr/terranava/
deja regarde le petit site que nous avions fait
nous avons deja fait deux fois ce type de descente
dans qu ellee region es tu
tu me recontacte apres avoir lu et on en discute
pour ller au burkina je pense qu i n y a pas de probleme mais en deux roue il faut voir

Bonjour liseron
Nous avons fait leparcours cet été en juilet à plusieurs voitures et avec même des enfants sans didfficultés particulières depuis que le route est partout goudrpnnée ,et que la piste ne subsiste que sur 100 Kms au mali.
Attention cependant à la crculation à la trombée de la nuit et aux animaux qui divaguent sur le chausée (nous avons ansi fait connaissance avec un âne)
Durée du parcours de 8500 kms :19 jours avec 3 jours de repos.
Itinéraire:
Tanger,Casa,Tiznit,Laayoune,Barbas,Nouadibhou,Nouakchot,Kiffa,Nioro,BamaKo.Bobo Diolasso,Goua et Ouagadougou.
Cest un peu fatigant mais trés intéressanat
J’ai des détails des lieux d’hébergement si besoin.
Accroche toi liseron

Bonjour !
Avec une demi-douzaine de copains, nous sommes au début de la préparation d’un raid humanitaire en moto avec une voiture suiveuse départ prévu : Décembre 2007.
Toutes les infos utiles sont bien-sûr les bienvenues!
Je pense notament à la préparation des motos (ça sera le même modèle pour tous ;genre Yam XT), aux hébergements sur le trajet etc…
Notre trajet: Nice-Sète; bateau de Sète àTanger, traversée du Maroc en passant par le rif et l’Atlas, de la Mauritanie par la côte, du Sénégal, du Mali ( avec une boucle jusqu’à Bandiagara ) et arrivée à Ouaga !
Durée prévue ente 3 semaines et un mois.
Merci de m’adresser vos infos ici ou sur mon e-mail perso; prebout06@yahoo.fr

Bonsoir,J’ai fait le trajet complet avec un PL de 40 tonnes, départ Belgique, nord de la France, Monaco, Italie, puis sud France, Espagne, Maroc, Mauritanie, Mali, cela en juillet 2012.
Voyage difficile, mais combien enrchissant, et suis prêt à le refaire. J’ai ramené un PL pour un ami français installé au Mali.
A la date de ce jour, je suis OK pour ramener, en compagnon de route - chauffeur un véhicule qqu’il soit, et avec une rénumération correcte.
J’étudie tt proposition.
Je suis basé au Burkina et peut malgré tout partir de France, cela reste à discuter.

A votre écoute,

Bjr, Liseron.Le voyage par la route ne pose pas de problème particulier, hormis la Mauritanie sur une partie, où ils sont entrain de refaire la route (accidents - camions renversés) d’où extrême prudence. En juillet 2012, la circualtion (et particulièrement pour les européens) étaient fermées de 18H00 le soir à 6H00, le matin, pour raison de sécurité.
Pour ce qui est du Maroc : un régal ! (accueil et route… et cuisine)
La partie Mali et Burkina Faso ne pose aucun problème particulier.
Sois en règle, c’est tout, autrement tu vas passer un temps fou dans les palabres et les “cadeaux”.
je l’ai fait avec un camion de 40T, et cela ne m’a posé pas de problème, sauf les panne srépétées, mais c’est à toi de voir pour ne pas partir avec “une poubelle”, enfin, tu vois ce que je veux dire…
J’ai d’ailleurs mis une annonce pour être chauffeur - accompagnateur car ce voyage m’a bcp plu…
Quoiqu’il en soit, si tu pars, prépares bien ton voyage tt de mm !!!
salut et … bonne route

Bonjour à tous,en réponse à ton message, à quel date comptez vous partir ?
je compte partir en fin d année ,voir en début de d année 2015, mais pas encore de date précise.
par la route aussi , jusqu en Espagne et la traversé en bateau, jusqu’au Togo,un petit arrêt dans une Asso. JVSM Togo, puis direction le Burkina.
je part en C25 que je ramène à l orphelinat de Tienghuin Wabdo près de Sabou,
je serais chargé de matériel scolaire et autre.
si je pouvais trouver un convoi , pour ne pas faire la route seule, ou quelqu un qui serait interressé, sachant que je ne peux prendre qu une personne.
et aussi, si vous pouvez me donner des renseignement sur le meilleurs itinéraire.
et si quelqu un connait le cout pour ce voyage.(pour la traversé en bateau)
merci à tous

Bonjour à toutes et à tous

Je suis Philippe 64 ans en retraite. Je voyage en 4x4 Iveko aménagé camping-car. Mon prochain voyage sera pour l’Afrique de l’ouest et cette fois j’espère aller au bout de mon voyage. Le véhicule que j’ai acheté d’occasion n’était pas en état l’année dernière.
j’en ai bavé. et dépensé un argent fou pour le remettre en état.

Les actualités nous informent régulièrement de l’épidémie d’ébola en Afrique. Notamment en Guinée Conakry, Sierra Léone, Libéria.

Je pensais passer de la Mauritanie au Mali… mais il y a des problèmes cette fois avec les islamistes et un français a été tué à Kayes… Je ne passerai pas de la Mauritanie au Mali.

Il y a la possibilité de passer de Mauritanie au Sénégal… Je n’ai jamais fait cette route là. Je cherche donc des renseignements sur l’éventuelle possibilité de passer du Sénégal au Mali remonter jusqu’à Bamako ou moins loin? ? ? et la route Bamako… Abidjan. Mon but ultime c’est Abidjan.
Merci à toutes et à tous.
Cordialement
Philippe

Bonsoir,
La route en bordure Ouest de la Mauritanie est pas très bonne, mais sûre…en arrivant par Kiffa / Nema au sud Mauritanie en transversal puis passage frontière à Nioro au Mali, c’est sans aucun problème, et là on arrive facilement à Bamako.

Toute cette route est fréquentée, et les Mauritaniens “veillent au grain” au niveau “banditisme”, !!!

Je cherche à refaire cette route pour quelqu’un, alors si tu trouves des gens intéressés par un chauffeur français de 60 ans, habitué à l’Afrique, n’hésite pas à donner mes coordonnées. Sachant que je cherche à faire cette route dans les 2 sens, ou encore aller chercher des véhicules en Espagne, car bcp d’africains ne peuvent même pas avoir un visa Espagne…

Merci de cela,

Bonne route.

P.S : je vis au Burkina pour info

Bonjour

Pas de problème je garde ton message.
Mais ce serait peut-être mieux de me donner une adresse E-mail ? ?
Cordialement
Philippe

bonjour à tous, je part avec un renault master ('une ambulance) et je cherche quelqu un pour conduire un C25, je m arrête au Togo,dans une Asso. dans un premier temps et via le Burkina.
qui serait interressé et qui peut me conseiller du meilleur itinéraire ?
merci à vous.

Je peux t’apporter des infos sans problème, me contacter en message privé en cliquant sur mon pseudo.
A bientôt

Bonjour
Ce n’est pas demain que je vais repartir en Afrique de l’ouest.
Le virus Ebola n’en finit plus de semer la panique. Depuis sa réapparition il y a quelques mois, la fièvre hémorragique fait des ravages : le virus a en effet fait 3 439 morts sur 7 492 cas diagnostiqués, a annoncé vendredi l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Le Liberia est le pays le plus touché, avec 2 069 morts, la Guinée en compte 739 et la Sierra Leone 623. Huit cas mortels ont par ailleurs été recensés au Nigeria. Il s’agit de loin de la plus grave épidémie d’Ebola en près de 40 ans d’histoire de la maladie.
Le virus Ebola a été découvert pour la première fois en 1976 dans le nord de la République démocratique du Congo, alors appelé Zaïre : le premier cas a été identifié par le médecin belge Peter Piot, de l’Institut de médecine tropicale d’Anvers. A l’époque, il avait immédiatement mis en garde contre les risques épidémiques de cette maladie, qui allait finalement toucher 318 personnes et en tuer 280. Aujourd’hui, Peter Piot est beaucoup plus alarmiste : dans un entretien à The Guardian, il assure qu’ “il ne s’agit plus d’une simple épidémie, mais d’une catastrophe humanitaire”.
“Depuis le mois de juin, il est devenu clair pour moi qu’il y avait quelque chose de fondamentalement différent dans cette épidémie par rapport à celle de 1976. C’est à ce moment-là que Médecins Sans Frontières a sonné l’alarme. J’ai donc commencé à avoir vraiment peur” affirme-t-il au quotidien britannique. Si normalement, il convient de placer en quarantaine les individus infectés, force est de constater que cette mesure n’a pas suffi à empêcher le virus de se propager. Pour cet ancien directeur d’Onusida (de 1995 à 2008) et aujourd’hui directeur de l’Ecole d’hygiène et médecine tropicale de Londres, cela s’explique parce que “depuis le début, il existe un certain nombre de facteurs défavorables”. “Certains des pays concernés sortent à peine de terribles guerres civiles, beaucoup de leurs médecins avaient fui et leurs systèmes de soins de santé se sont effondrés. Au Liberia, par exemple, il n’y avait que 51 médecins en 2010, et beaucoup d’entre eux sont morts avec l’arrivée d’Ebola” assure Peter Piot à The Guardian.
Selon lui, le fait que cette épidémie soit réapparue dans la région frontalière (très densément peuplée) entre la Guinée, la Sierra Leone et le Libéria a forcément contribué à la catastrophe. “Dans cette région, les populations sont extrêmement nomades, il était donc beaucoup plus difficile de retrouver ceux qui avaient été en contact avec les personnes infectées. Les morts dans cette région sont traditionnellement enterrés dans les villes et les villages où ils sont nés, de nombreux cadavres hautement contagieux ont été déplacés entre les frontières. Le résultat a été que l’épidémie s’est rapidement propagée dans des lieux différents” explique le médecin au Guardian.
Si, lors de sa découverte, le virus se concentrait essentiellement dans des petits villages, pour la première fois, il a atteint de grandes métropoles telles que Monrovia ou Freetown. Ce qui inquiète particulièrement Peter Piot : “dans les grandes villes - et notamment celles où il y a d’immenses bidonvilles - il est pratiquement impossible de retrouver ceux qui ont été ou pu être en contact avec des personnes malades”. Le médecin est d’ailleurs très préoccupé par la situation au Nigeria : “Si la fièvre hémorragique venait à se répandre dans des mégalopoles aussi grandes que Lagos ou Port Harcourt, ce serait une catastrophe inimaginable”.
Interrogé par The Guardian afin de savoir si nous avions totalement perdu le contrôle de l’épidémie, la réponse de Peter Piot est sans appel : “J’ai toujours été un éternel optimiste mais je pense que désormais nous n’avons pas d’autres choix que de tout tenter, je dis bien tout. (…) Cela apparaît évident pour tout le monde qu’il ne s’agit plus seulement d’une épidémie mais bien d’une catastrophe humanitaire. Nous n’avons pas seulement besoin de personnel de santé mais aussi d’une excellente logistique, de camions, de jeeps et de denrées alimentaires. Une telle épidémie peut déstabiliser des régions entières. (…) Je n’avais jamais imaginé qu’une situation aussi calamiteuse puisse arriver un jour”.

A l’heure actuelle, l’essentiel des cas recensés se trouvent en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone ; des personnes infectées ont aussi été signalées au Nigeria, au Sénégal de même qu’aux Etats-Unis, où un homme en provenance du Liberia a été diagnostiqué mardi et se trouve à présent dans un état critique. De plus, une infirmière française contaminée lors d’une mission de Médecins sans Frontières au Liberia a été rapatriée et soignée avec succès à l’hôpital Bégin de Saint-Mandé, près de Paris. En Grande-Bretagne, un patient britannique contaminé lors d’une mission humanitaire en Sierra Leone a été soigné après avoir été hospitalisé dix jours dans un hôpital de Londres. Dès lors, des chercheurs estiment à 75% le risque de voir le virus de la fièvre Ebola atteindre la France d’ici vingt jours, à 50% pour la Grande-Bretagne. Un risque pandémique que n’élude pas Peter Piot.
“Il y aura certainement des malades atteints d’Ebola en provenance d’Afrique qui se rendront en Europe ou aux Etats-Unis dans l’espoir de recevoir un traitement. Et il se pourrait même que certaines personnes infectées décèdent. Toutefois une épidémie en Europe ou en Amérique du Nord serait rapidement mise sous contrôle” certifie-t-il. En revanche, ce médecin se dit “plus préoccupé par les nombreuses personnes venant d’Inde et travaillant dans le commerce ou l’industrie en Afrique de l’Ouest. Il suffirait qu’un seul d’entre eux soit infecté et se rende en Inde au cours de la période d’incubation du virus puis, une fois qu’il tombe malade, se rende dans un hôpital public” pour que la situation devienne totalement hors de contrôle.

Peter Piot parle même de scénario “apocalyptique” car Ebola change en permanence son patrimoine génétique. Plus il y a de personnes qui contractent le virus, plus il est probable que celui-ci mute et accélère ainsi sa propagation. Un véritable cercle vicieux… C’est pourquoi il préconise la multiplication des essais de médicaments expérimentaux. “Mais, nuance-t-il, nous ne devrions certainement pas compter que sur ces nouveaux traitements. En effet, pour la plupart des malades, ils arriveront trop tard. Ils ne serviront essentiellement qu’en cas de nouvelle épidémie”. En attendant, il estime, comme le disait Louis Pasteur en son temps, que “ce sont les microbes qui auront le dernier mot”.

Bjr,
Le dernier message sur l’épidémie, voire la pandémie dûe au virus Ebola, et dont je viens de lire un commentaire très intéressant, appelle toutefois à une “modération”, certes relative mais tt de mm nécessaire.

En effet, il a été dit la même chose pour le VIHS sida et cela également avec comme “cible” , l’Afrique.
Je ne sous estime pas du tout la gravité de ce virus, mais les chercheurs sont actuellement particulièrement mobilisés sur ce grave problème de santé, et seul le manque d’effectifs médicaux compétents et surtout en nombre (comme l’écrit d’ailleurs l’auteur) en terre africaine rend ce combat plus difficile.

Là encore, ne sous estimons pas la réaction des ONG et services de santé mondiaux, ils travaillent déjà là dessus, et je pense qu’en étant vigilant, et surtout conscient des risques, il est possible de VOYAGER en Afrique de l’OUEST, et cela sans aucun problème, encore faut il “choisir” son pays de destination. Actuellement , rien au Mali, au Burkina (où je vis) , et dans bien d’autres pays de la sous région…

Vous savez, on peut contracter plein d’autres maladies ou virus durant les voyages, on peut aussi se faire renverser par une voiture en sortant de chez soi dans son pays européen, et la mort est omniprésente dans nos agissements quotidiens, l’inécurité en Europe est nettement plus forte qu’en Afrique dans son ensemble…

Est ce pour cela qu’il faille abandonner nos projets de voyages.
J’ai fait la route France - Afrique de l’ouest en camion en pleine période des évènements du Mali, inconscient, penserez vous, je ne pense pas, j’ai choisi ma route, et ne me suis jamais aventuré en dehors des réseaux routiers importants, et près de la côte ouest des pays traversés.

Je ne pense pas être plus malin que les autres, mais j’ai rencontré bcp de voyageurs qui m’ont déclaré ce que moi même je pensais intérieurement, faut il cesser de vivre, faut il abandonner tout ce qui fait le charme du voyage, de l’Afrique en général, en restant cloitré chez soi ??? !!!

Merci pour votre article qui incite à plus de vigilence, et non à la panique.

L’être humain est de nos jours capable de gérer de telles situations aussi périlleuses soient elles, enfin je veux le croire.

Bonjour Sabourou.

Je ne sais pas trop quoi penser car que ce soit à la télé ou à la radio les commentaires sur l’ébola sont alarmants.
Il y aurait énormément de cas en Guinée. Sierra Léone. Libéria. Je peux passer du Sénégal au Mali j’éviterai ainsi ces pays là…mais il y a également les islamïstes.
Mon projet était de passer du Sénégal au Mali et remonter jusqu’à Bamako puis direction la Côte d’Ivoire. Je ne veux pas passer directement de la Mauritanie au Mali.
Je devrais être sur la route depuis début aout mais un problème de santé m’a empeché de partir. Il est trop tard pour partir si je veux passer les fêtes de fin d’année avec ma famille. Je partirai en début d’année prochaine…
Si pas de nouvelles alarmantes que ce soit avec l’ébola ou avec les tueurs islamistes. Je n’ai pas vraiment envie d’être comme ce pauvre Hervé GOURDEL décapité par des sauvages n’ayant rien d’humain. L’anglais Alan HENNING ayant subit le même sort.
Il y a quelques jours j’ai envoyé un message à l’Ambassade de France au Mali en expliquant mon souhait de voyage par la route en Afrique de l’ouest. Voici la réponse.

Monsieur,
J’ai pris connaissance de votre projet de voyage en Côte d’Ivoire en passant par le Mali.
Comme l’indique le site « Conseils aux voyageurs » du Ministère des Affaires étrangères (www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs/), le Mali est séparé en deux zones :

  • une zone « rouge », couvrant le nord du pays au-dessus d’une ligne située à partir des villes de Kayes, Bafoulabé, Ségou et Mopti jusqu’à la frontière avec le Burkina Faso. Dans cette zone , tous les déplacements sont formellement déconseillés, quel qu’en soit le motif, y compris pour des raisons professionnelles. Les risques y sont en effet réels, en particulier les risques d’enlèvement par les groupes djihadistes qui opèrent dans tout le nord du pays
  • une zone orange, au sud de cette ligne, dans laquelle les déplacements sont déconseillés, sauf motif impérieux, notamment d’ordre professionnel.
    Je ne puis donc que vous inciter à renoncer à ce projet de voyage qui présente des risques pour votre sécurité.
    Bien cordialement,

Jean-Louis SORIANO
Consul général de France au Mali - Bamako

Les rumeurs les plus folles circulent depuis qu’un jeune Guinéen porteur du virus a été pris en charge à l’hôpital de Dakar. Le virus Ebola est une maladie grave, mais ne paniquons pas, malgré les titres alarmants des grands médiasUne épidémie d’ampleur modesteLa presse parle de 2 000 décès depuis le début de l’année en Afrique de l’Ouest, dont la moitié sont des cas « suspects » ou « probables ». Il faut comparer ce chiffre aux 1,2 million de morts annuels dus au paludisme en Afrique ou aux 2 000 morts causés chaque année par la grippe saisonnière en France.
Tout le monde ne meurt pas d’Ebola, même sans traitement. Et un traitement précoce augmente les chances de survie et diminue la mortalité.Le virus Ebola ne se transmet pas si facilementLe virus peut survivre quelques jours dans des conditions idéales mais est en réalité il est très fragile. Il meurt au bout de quelques minutes lorsqu’il est exposé au soleil ou au vent. Il meurt en quelques secondes s’il est en contact avec du savon, de l’eau légèrement chlorée ou tout type d’antiseptique ou de gel alcoolisé.
La transmission se fait par contact direct avec un liquide biologique comme le sang, les selles, les vomissures, le sperme. Il n’y a aucune transmission par voie aérienne. Lorsqu’une personne parle ou tousse, elle ne répand pas le virus Ebola dans l’air ambiant.
Les personnes infectées ne transmettent le virus qu’à partir du moment où elles développent des symptômes : fièvre élevée, fatigue extrême s’emparent d’elles (parfois, mais pas toujours, suivies de vomissements, diarrhée et de saignements).
Les billets de banque et les pièces de monnaie ne transmettent pas la maladie, ni les aliments en général ou encore les plats individuels de nourriture. Pas de transmission du virus Ebola par les moustiques ou la nage en piscine.
La maladie ne se transmet pas par la simple présence d’une personne malade au travail, à l’école ou dans les transports publics.Comment prendre des précautionsAu fur et à mesure de la progression de la maladie, les personnes deviennent plus infectieuses, avec un très haut risque de contamination juste avant mais aussi après la mort. Le corps d’un malade décédé est très infectieux.
Gardez votre distance de personnes malades ; si vous touchez une personne fiévreuse, lavez-vous les mains ou les autres parties du corps ayant été en contact avec la personne. Lors d’un enterrement, gardez votre distance avec les autres personnes et le défunt.
Vous avez de la fièvre… est-ce Ebola ? 37.8 °C ce n’est pas Ebola. La fièvre due au virus est élevée, 38.5 °C et plus. Le thermomètre indique 39.2 °C ? Faites un test pour le paludisme d’abord et demandez-vous si dans les derniers 21 jours vous avez été proche, pris soin ou touché une personne malade ou morte. Si vous avez de la fièvre élevée et des doutes, mieux vaut consulter immédiatement tout en avertissant le personnel soignant.Ne paniquons pasLe Sénégal a un meilleur système de santé que la plupart des autres pays affectés. Si tous les contacts – tous sans exception - sont suivis, il y de bonnes chances qu’on parvienne à limiter la propagation.
Mais s’il est pris de panique, le système de santé se paralyse. Les malades qui souffrent d’autres maladies ne consulteront plus et le personnel de santé restera absent. La peur, la panique et la rumeur font plus de dégâts que la maladie.
Le jeune Guinéen est guéri. Aucun autre cas n’a été signalé au Sénégal.
Numéro vert Sénégal : Le 800 00 50 50.Y a-t-il des risques à se rendre en Afrique de l’Ouest pour affaires ou pour rendre visite à de la famille ou à des amis ?

Le risque pour un touriste ou un homme ou une femme d’affaires d’être infecté par le virus Ebola au cours d’une visite dans les zones touchées et de contracter la maladie à son retour est extrêmement faible, même si cette visite suppose un voyage dans les zones où des cas primaires ont été signalés. La transmission nécessite un contact direct avec le sang, les sécrétions, les organes ou les liquides biologiques de la personne ou de l’animal infecté, vivant ou mort, autant d’expositions peu probables pour le voyageur lambda. En tout état de cause, il est recommandé aux touristes d’éviter de tels contacts.
> Source : Organisation mondiale de la santé

bonjour je rehercheunchauffeur pour l’afrque si vous êtes intéressé veuillez me laisser le messge afin que je puisse entrer en contact avec vous merci

bonjour je cheche un chauffeur pour le cameroun à partir de fin juin 2018 lpour amener un véhicule au cameroun et j’aimerai aussi savoir s’il y a des personnes qui peuvent aller jusqu’en afrique centrale qui pourront partir ensemble pour former un groupe des chauffeursen route?

Bonjour,
Si vous n’avez toujours pas trouvé de chauffeur, votre proposition m’intéresse. A défaut, auriez-vous des informations récentes concernant les conditions de voyage en Afrique, en particulier à destination du Burkina Faso.
Merci pour votre réponse. Vous pouvez me répondre à l’adresse suivante jcdconstruction2@gmail.com. Je me prénomme Jean-Claude.

Bien à vous.

je veux envoyer un camion semi ou porteur à ouaga départ le loiret en juin peut tu me dire tes conditions je te donnerai plus de détails je réside à ouaga j’ai besoin d’en savoir plus merci d’avanceHJeredia mailggheredia124@gmail.com tel 0770709263

Ton adresse mail ne fonctionne pas, pourrais-tu la vérifier.

je crains que le deal ne soit pas possible je n’ai pas le permis de conduire adéquat, je peux conduire des véhicules jusqu’à 3500 Kg.–

Bien à toi.

Jean-Claude.

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