Le Sud du Maroc, du Haut Atlas aux portes du désert

Le Sud du Maroc, du Haut Atlas aux portes du désert
Aït-ben-Haddou © ivanka84 - stock.adobe.com

Aller de Marrakech jusqu’aux dunes de sable de l’erg Chegaga, c’est quitter le tumulte de la ville pour baigner dans le silence absolu. En chemin, on franchit des cols surmontés par des pics enneigés, on longe des oasis dans des vallées étroites, puis on pénètre dans des plateaux arides, rongés par le vent et le soleil.

Avant d’atteindre les portes du désert, les villages berbères jalonnent les routes, parfois enceints par les murailles d’anciens ksars, à l’image du ksar d'Aït-ben-Haddou datant du XVIIe siècle, inscrit au patrimoine mondial de l’humanité.

Descendre au sud-est, à quelque 260 km à vol d’oiseau de Marrakech, c’est aussi remonter dans le temps, celui des caravanes qui traversaient le Sahara.

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De Marrakech au col du tizi n'Tichka, majesté du Haut Atlas

De Marrakech au col du tizi n'Tichka, majesté du Haut Atlas
© Ryzhkov Oleksandr - stock.adobe.com

Les panneaux « Bonne route » se succèdent sur le bas-côté. Pourtant la RN9 a longtemps été considérée comme l’une des plus dangereuses du Maroc, avec son tracé en épingle. Pour se rendre de Marrakech à Ouarzazate, à plus de 170 km au sud-est, c’est pourtant le seul moyen de se frayer un passage dans le Haut Atlas.

En montant vers l’Atlas, les paysages secs entourant Marrakech cèdent la place à un paysage verdoyant, parcouru de cours d’eau. Sur le bord de la route défilent des villages accrochés aux pentes, des enfants qui vendent des herbes aromatiques et des femmes dont le dos recouvert de fourrages fait ressembler à des buissons animés. Les marchands de pierres surveillent leurs étals, où les minéraux peints côtoient des fossiles dont le trafic est aux frontières de la légalité.

Col du tizi n'Tichka © Joël Métreau

Dans l’autre sens, en provenance de Ouarzazate, les poids lourds chargés de marchandises avalent les derniers kilomètres de virages avant la plaine du Haouz. Le point culminant de la route est difficile à rater, un antique panneau en métal indique le nom et la hauteur de l’endroit : le col du tizi n'Tichka, 2 260 m d’altitude. De nombreuses boutiques aux alentours proposent souvenirs et produits à base d’huile d’argan, un trésor liquide dont le Maroc est l’un des principaux producteurs.

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En 2021, sur une proposition du Maroc, l'Assemblée générale des Nations unies a proclamé le 10 mai Journée internationale de l'arganier. Cette journée vise à promouvoir l'utilisation de l'huile d'argan et à sensibiliser les gens à ses bienfaits pour la santé et l'environnement, ainsi qu'à son importance économique pour les communautés qui en dépendent au Maroc. Elle permet également de mettre en avant le travail des femmes berbères qui récoltent et produisent cette huile précieuse.

Kasbah de Télouet et ksar d’Aït-ben-Haddou, joyaux d’architecture

Kasbah de Télouet et ksar d’Aït-ben-Haddou, joyaux d’architecture
Kasbah de Telouet © Manel Vinuesa - stock.adobe.com

Les constructions en terre des villages s’effondrent par endroits, abattues par le temps et les éléments. Tout à l’est, après le col du tizi n'Tichka, un ancien palais somptueux leur a partiellement résisté. La commune rurale de Télouet était un lieu hautement stratégique. Il était situé sur la route des caravanes qui partaient de Tombouctou, au Mali, pour se rendre à Essaouira afin de commercer avec les Européens. S’y dresse la kasbah de Telouet, un palais qui a appartenu à l’une des plus puissantes familles marocaines, la famille Glaoui, tombée en disgrâce auprès de la famille royale après l’indépendance du Maroc.

De l’extérieur, difficile d’imaginer les fastes d’autrefois. Pourtant, derrière ces murs aussi hauts qu’épais en subsistent encore des traces. Moyennant quelques dizaines de dirhams, on peut pénétrer dans la kasbah encore intacte, jusqu’à un lieu de réception somptueux. Les meubles ont tous été dispersés, mais il demeure les portes massives et finement sculptées, le sol en marbre, des murs et des piliers couverts de mosaïques dans leurs parties basses, et dans les parties hautes des stucs taillés en muqarnas.

Ksar d’Aït-ben-Haddou © majonit - stock.adobe.com

Mais pour l’aspect cinématographique, rien à voir avec la puissance évoquée par le ksar d’Aït-ben-Haddou, plus au sud en longeant par la route l’oued Assif Ounila. Inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, le site a été le décor de nombreuses fictions au cinéma et à la télévision dont La Dernière Tentation du Christ (1988) de Martin Scorsese, Gladiator (2000) de Ridley Scott, ou encore la série Game of Thrones. Cette forteresse en pisé, bâtie sur une colline, est l’un des ksars les mieux conservés du Maroc, avec ses constructions en terre qui nécessitent un entretien permanent.

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Quelques conseils pour visiter Aït-ben-Haddou : prévoir au moins quelques heures pour explorer les ruelles de la kasbah, admirer l'architecture et prendre des photos des vues panoramiques. Il vaut mieux visiter tôt le matin ou en fin de journée, pour les lumières du matin et du soir, plus douces et plus belles pour prendre des photos. Enfin, ne pas hésiter à bien se chausser : les rues de la kasbah sont en pente et en pierre, il est donc important de porter des chaussures confortables et antidérapantes pour éviter les chutes.

Ouarzazate, ville de cinéma

Ouarzazate, ville de cinéma
Ouarzazate © Leonid Andronov - stock.adobe.com

À une trentaine de kilomètres au sud d’Aït-ben-Haddou, la ville de Ouarzazate et ses bâtiments apparaissent tels des braises rouges au milieu du sable et des cailloux. La lumière intense, tout autant que les faibles précipitations ont d’ailleurs favorisé la naissance de studios de cinéma à Ouarzazate.

Le rond-point devant les studios CLA accueille un grand clap factice. Aussi factice que les statues égyptiennes et les catapultes romaines qui entourent le studio. À proximité, les studios Atlas, également visitables, témoignent aussi du simulacre et de la magie du cinéma.

Leur entrée est marquée par une affiche défraîchie à l’effigie de Jake Gyllenhaal, l’acteur américain de Prince of Persia : Les Sables du Temps (2010). Ouarzazate reflète l’image que se fait le monde occidental du désert, un mirage sur grand écran.

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La kasbah de Ouarzazate est construite en pisé, un mélange de terre et d'eau qui est séché au soleil. Elle est composée de plusieurs tours, de murs épais et de cours intérieures. Les murs de la kasbah sont ornés de motifs géométriques traditionnels et de sculptures en stuc. Les portes et les fenêtres sont également décorées de motifs géométriques et de motifs floraux. Ouverte au public, elle abrite un musée consacré à la culture berbère, ainsi que des boutiques d'artisanat local.

Les gravures rupestres d’Aït Ouazik

Les gravures rupestres d’Aït Ouazik
Gravures rupestres d'Aït Ouazik © Joël Métreau

Avant d’arriver aux gravures rupestres d'Aït Ouazik, à 190 km au sud-est d’Ouarzazate, on traverse des palmeraies et des haies de lauriers roses toxiques. Au milieu du désert, la route n’est plus que piste où chaque véhicule soulève de la poussière sur son passage. Étonnamment, elle est bordée de champs de pastèques, dont l’existence ne doit qu’au système de pompage d’eau à plus de 200 m sous terre, dans les nappes phréatiques.

Au milieu de nulle part, les pétroglyphes d’Aït Ouazik, seulement protégés par de simples palissades en fil de fer et par le gardien, sont le témoin de l'existence d’êtres humains en ces lieux durant le néolithique. Obtenus par piquetage ou par polissage de la pierre, les dessins représentent des activités et une faune disparues (scènes de chasse, éléphants, gazelles, autruches, oryx, buffles, mouflons…).

Ces pétroglyphes prouvent que cette zone du Maroc était autrefois beaucoup plus humide, habitée par une faune très diverse. Des graffitis contemporains (« j’étais ici », « je t'aime ») se mêlent aux œuvres du néolithique. Le street-art du pauvre s'incruste dans les survivances des chasseurs-cueilleurs.

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Les populations néolithiques du Maroc ont développé une culture matérielle distincte, caractérisée par la production de poterie, de bijoux, d'outils en pierre polie et d'autres objets en matières organiques telles que le bois et l'os. Les fouilles archéologiques ont révélé des preuves de la construction de maisons en pierre et en argile, ainsi que de l'aménagement de sites funéraires. Ces populations pratiquaient aussi des rituels religieux et funéraires complexes, comme en témoignent les nombreux sites funéraires et les représentations d'animaux et de motifs géométriques dans l'art rupestre.

Tamegroute : poteries traditionnelles et bibliothèque exceptionnelle

Tamegroute : poteries traditionnelles et bibliothèque exceptionnelle
Poterie de Tamegroute © Vermeulen-Perdaen - stock.adobe.com

À proximité des dunes de sable de l’erg Chegaga, le désert enserre les villes. Des fumées noires s'échappent du centre de Tamegroute, village de 6 000 habitants. Elles proviennent d’impressionnants fourneaux où des hommes travaillent la poterie et la céramique, un artisanat séculaire qui nourrit encore aujourd’hui une grande part de la population.

Autour de ce lieu d’artisanat s'étend la kasbah historique, un enchevêtrement de ruelles couvertes, où la lumière pénètre par des puits dans les ruelles. De part et d’autre, les portes débouchent sur des foyers où habitent des familles.

Bibliothèque de Tamegroute © jimenezar - stock.adobe.com

Autre lieu à découvrir à Tamegroute, la jolie zaouïa Naciria avec une fontaine en son centre et sa magnifique porte en bois sculptée qui débouche sur la salle des prières de la mosquée. Le trésor de la mosquée est constitué par sa bibliothèque, un temple du savoir fondé par Ahmed Naciri au XVIIe siècle. Le climat chaud et sec a permis la conservation des ouvrages, qu’aucun projet de numérisation permet de conserver. Interdiction de les photographier, leur consultation n’est autorisée que pour les chercheurs mandatés.

Ce trésor d’environ 4 000 manuscrits, venus surtout de Cordoue et de Tombouctou, est protégé derrière des vitrines cadenassées, avec des ouvrages dont les thèmes recouvrent l’astrologie, la littérature, la médecine, les études sur le Coran et les sciences. Un trésor inestimable : carte des sources du Nil, pages recouvertes de calligraphies koufies d’origine irakiennes, enluminures.... Les moines copistes de l’Occident médiéval en seraient jaloux.

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Une zaouïa est un lieu de culte et d'enseignement soufi, une branche de l'islam mystique. Elle est souvent construite autour de la tombe d'un saint, appelé un marabout et considéré comme une figure vénérée dans la tradition soufie. Les adeptes visitent souvent les zaouïas pour prier, méditer et chercher la bénédiction et la protection du marabout.

Le village de M’Hamid, l’avant-poste des dunes de sable

Le village de M’Hamid, l’avant-poste des dunes de sable
M’Hamid © jzajic - stock.adobe.com

Après Tamegroute, la poussière recouvre la route, que des barrières en feuilles de palmier sur les côtés tentent de protéger de la progression du sable. On arrive au village de M’Hamid qui a accueilli pendant des années le festival musical des nomades, malheureusement interrompu par la pandémie de Covid-19.

Ce village typique d’environ 7 000 habitants abrite une kasbah très semblable à celle de Tamegroute. Y vivent encore 70 familles, chacune composée d’une dizaine de personnes. Mais les voûtes et les parois s’effondrent peu à peu, par manque d’entretien, parce que le ciment garantit des habitats plus robustes. Demeurent quelques ruelles fraîches et couvertes, soutenues par des poutres en bois de tamaris, une espèce solide à laquelle les termites ne s’attaquent pas.

Dans ce village mangé par le sable, dernière étape avant les dunes de l’erg Chegaga, on peut visiter le mausolée du marabout illustre de l’endroit. Un modeste lieu saint, qui respire la sérénité, où les murs ont été léchés par les fumées émises par les bougies et les bâtonnets d’encens.

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Le bois de tamaris, également connu sous le nom de tarfa en arabe, est un type de bois que l'on trouve dans les régions côtières du Maroc et de l'Afrique du Nord. Il est apprécié pour sa dureté et sa résistance à l'eau, ce qui en fait un matériau de construction populaire pour les bateaux, les digues et les poteaux de clôture dans les zones côtières. Il est utilisé par les artisans marocains pour la fabrication d'objets tels que des paniers, des boîtes sculptées et des meubles.

L’erg chegaga, un désert de dunes de sable

L’erg chegaga, un désert de dunes de sable
Végétation - désert de Chegaga © Youness Hamiddine - stock.adobe.com

Après M’Hamid, il n’y a plus de route. Rien que de la piste. Seul un véhicule 4x4 peut s’y faufiler. On traverse des zones arides, qui servent de réserve de chasse pour les pays de Golfe, comme en témoignent quelques gazelles marquées par les tags aux oreilles. Autre sport largement pratiqué dans la région : les courses de rallye.

La végétation est constituée de maigres arbustes et de pommiers de Sodome, du nom de ces protubérances aux allures de fruits pulpeux à la sève toxique. Lorsque les dunes du désert de Chegaga apparaissent à l’horizon, la majesté du paysage façonné par le temps et les éléments laisse bouche bée. À sa lisière ont été construits une quarantaine de bivouacs, qui ne doivent leur existence qu’au pompage de l’eau à de grandes profondeurs. Des lieux uniquement pourvus d'électricité grâce aux panneaux solaires.

Erg de Chegaga © Emily Wilson/Danita Delimont - stock.adobe.com

Les dunes adoptent des courbes sensuelles et ondulantes, avec des lignes de crête dessinées paresseusement sur l’horizon. La plus haute, qui s’élève à plus de 300 m, nécessite d’avoir des mollets en acier, le sable s’écroulant sous les pieds. En général, on finit par grimper les dunes à quatre pattes. Pour les touristes, l’inconvénient du lieu doit à l’absence de régulation entre les bivouacs, où les adeptes de yoga doivent partager l’espace avec les conducteurs de quads vrombissants. Dommage…

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L'erg Chegaga est l'un des plus grands ergs du Maroc, s'étendant sur environ 40 km de long et jusqu'à 15 km de large. Son origine remonte à des millions d'années, lorsque la région était recouverte par la mer. Au fil du temps, les mouvements tectoniques ont soulevé la région hors de l'eau, exposant les couches de sédiments rocheux qui se sont formées dans le fond marin. Les vents dominants d'ouest en est ont soufflé sur les dunes de sable fin qui se sont progressivement accumulées pour former l'erg.

De l’erg chegaga à l’oasis de Fint, le retour à l’eau

De l’erg chegaga à l’oasis de Fint, le retour à l’eau
Foum Zguid © Laurens - stock.adobe.com

Aux alentours du désert, on croise quelques tentes de familles nomades, des habitats en semi-dur avec des toits formés par des patchworks de plastique et de textile. Le 4x4 se dirige vers l’ouest et la ville de Foum Zguid, à quelque 4 h de route, en creusant davantage le lit asséché du lac Iriki. Les autres moyens de locomotion privilégiés sont l’âne, la moto et le buggy.

Sur le sol de sable et de poussière, l’expérience de conduite ressemble à celle que l’on fait sur la neige. Des zones plus dures aux cailloux foncés sont incrustées de mollusques fossiles qui rappellent l’origine océanique du lieu. On s’arrête sous l’ombre des acacias bourdonnants d’abeilles, on boit le « whisky berbère », un thé importé de Chine, versé dans de petits verres.

Oasis de Fint © Joël Métreau

Après Foum Zguid, direction le nord. On roule parmi des ruines de villages ou des constructions en brique à moitié réalisées, ainsi que des montagnes striées. On passe par Tazenakht, haut lieu de la tapisserie berbère et du travail de la laine de mouton. Plus on monte vers le nord, plus la route est en virages. Et on s’arrête à l’oasis de Fint, au fond d’une vallée encaissée, surmontée de falaises à pic. La végétation a repris ses droits. Entre les figuiers et les lauriers roses, on entend les croassements des grenouilles et le chuchotement d’un ruisseau.

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Les tapis de Tazenakht sont généralement fabriqués à la main par des femmes à partir de laine de mouton locale, qui est teintée avec des colorants naturels à base de plantes, de minéraux et d'insectes. Les motifs sont inspirés de la nature et de l'art berbère traditionnel, avec des motifs géométriques et des couleurs vives et contrastées.

Fiche pratique

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Se loger

– Riad Kasbah Oliver & Homestays Morocco : juché en hauteur du petit village de Tighza, un riad calme et familial. Tenu par deux frères très aimables, cet établissement confortable, qui comprend 14 chambres, est le point de départ idéal pour effectuer des randonnées dans la région.

– Auberge la Terrasse des délices : Treize chambres organisées autour d’un patio, avec une vue magnifique sur l’oasis depuis la terrasse, une petite piscine où se prélasser. Suite double à partir de 45€ la nuit.

Guide pour les pétroglyphes

– Ahmed Aït Lahcen : sur le site de Aït Ouaazik. Tél. : +212-674-115-696. tazalimt121656@gmail.com 

Achats

Poteries : Maison de poterie chez Bassou, à Tamegroute. Sur la route principale, la route 9 entre Zagora et M’Hamid. Un vaste choix d’articles, situé à côté de la coopérative de poterie.Tél. : 05-24-84-65-52 / 05-34-84-65-65.

Tapis : Association Iklan, à 4 km de Taznakthe. Dans le village de Talouste, les étapes de tissage sont présentées parmi un grand choix de tapis. Tél. : 06-62-29-89-58 / 06-77-31-72-82

Un circuit sur mesure

Kasbah et bivouac Aladdin Ce circuit jusqu’au désert a été organisé grâce à Ali el Bekkari, natif de M'Hamid, qui se distingue par son professionnalisme, sa gentillesse et son honnêteté. La société qu’il a fondée avec Christiane Blardone est en mesure de vous concevoir un circuit sur mesure, transports en 4x4 et logements inclus. Ils proposent en outre de vous recevoir dans une modeste et charmante kasbah à M'Hamid et dans un bivouac tout confort au bord du désert Chegaga. En ayant recours à leurs services, sachez qu’une partie de l’argent ira au bénéfice de l’association d’aide à l’enfance qu’Ali el Bekkari a créée à M’Hamid.

Kasbah à M’hamide : 45 € la nuit pour une chambre double

Bivouac dans une tente : environ 30 € la nuit par personne

Tél. : +212-0666-309-980. kasbah.aladin@gmail.com

Texte : Joël Métreau

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