Balades en forêt de Fontainebleau

Balades en forêt de Fontainebleau
Château de Fontainebleau © Leonid Andronov - stock.adobe.com

Il y a plus de 30 millions d’années, une mer abandonna en se retirant sable et chaos de grès, peu à peu modelés par l’érosion. Plus tard, bien plus tard, grands chênes, hêtres, charmes, châtaigniers, puis pins sylvestres recouvrirent les vallons et les gorges, formant la forêt de Fontainebleau, l’une des plus vastes de France (220 km2). Les rois vinrent y chasser, puis gouverner en villégiature.

Aujourd’hui, cet immense poumon vert aux portes de la capitale, classé Réserve de la biosphère par l’Unesco, déroule un formidable écheveau de sentiers et de chemins. Un vrai paradis pour les bleausards (amateurs d’escalade) et les randonneurs à pied, à vélo ou à cheval, cumulant plus de 230 parcours d’escalade, 500 km de sentiers balisés et 1 000 km de routes forestières !

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Déambuler dans le parc du château de Fontainebleau

Déambuler dans le parc du château de Fontainebleau
Château de Fontainebleau © rh2010 - stock.adobe.com

Les 1 530 pièces du château de Fontainebleau se déploient au cœur d’un domaine de 130 ha. On y pénètre traditionnellement par la cour du Cheval-Blanc, surnommée cour des Adieux depuis que, le 20 avril 1814, Napoléon y tira sa révérence face au célèbre escalier en fer à cheval (1632), escorté par ses grognards en pleurs... À peine franchies les grilles dorées, un discret passage s’engouffre sous l’aile droite, débouchant sur le parc anglais.

Les allées, bordées de grands buis, se font mutines. Glissent vers un ru bordé de rhododendrons violacés (au printemps) et de colossales gunneras (en été), cousines géantes de la rhubarbe. Des statues à l’antique rythment la promenade, de fausses grottes et un séquoia rappellent le goût du 19e s pour les grotesques et les exotiques.

Château de Fontainebleau © max - stock.adobe.com

Voulu par François Ier, le triangle du grand étang aux Carpes, flanqué d’une allée de platanes centenaires, reflète admirablement le château : une image prestigieuse à destination des autres cours d’Europe et un excellent vivier pour garnir la table royale… De Pâques à la Toussaint, on y canote jusqu’à un délicat kiosque insulaire.

Le contraste avec le Grand Parterre est saisissant. Ce jardin à la française, le plus vaste d’Europe (14 ha !), a été redessiné par Le Nôtre, avec ses statues, ses bassins rond et rectangulaire – alimentés par un réseau de 19 sources captées dès le 16e s par l’ingénieur hydraulicien des Médicis. Par la porte de Maintenon, jadis accès principal du château, la perspective se prolongea en forêt jusqu’au petit Mont-Chauvet.

Côté est, une allée de marronniers file vers le parc oriental, où Henri IV a fait dérouler un canal de plus d’1 km. Un endroit parfait pour pêcher ou pique-niquer.

À noter sur son agenda :

Chaque année, début juillet, le Festival Django Reinhardt s’installe dans le Bois d’Hyver, juste au nord du canal du château de Fontainebleau. Le musicien passa les deux dernières années de sa vie tout près, à Samois-sur-Seine (il y est enterré).

Barbizon : pèlerinage dans les pas des peintres

Barbizon : pèlerinage dans les pas des peintres
Musée de Barbizon © PackShot - stock.adobe.com

À quelques enjambées de Fontainebleau, le village de Barbizon reste attaché au souvenir des peintres « plein-airistes » (paysagistes) qui y fondèrent une école au 19e s. Leur devise ? « Surprendre la nature chez elle », chevalet sur l’épaule.

Le Parcours des peintres (6 km, env 2 h) suit leurs traces, de la Grand-Rue pavée à l’allée des Vaches qui la prolonge, entre deux rideaux de grands hêtres peints par Monet en 1865. Tout au bout, la buvette de la Caverne des brigands, à la vaste terrasse nichée sous les arbres, marque le point de départ de plusieurs balades.

Côté droit, l’étroite route forestière Marie-Thérèse, goudronnée mais fermée à la circulation, marque la première étape de la FB (Fontainebleau-Barbizon), une belle saignée en pleins bois permettant de relier les deux agglomérations.

Gorges d'Apremont © hassan bensliman - stock.adobe.com

Ce parcours idéal à vélo (8 km, env 1 h 15) monte entre les pins et les bouleaux jusqu’au plateau d’Apremont, passant devant le chêne Sully (alias Astérix !), un vénérable planté à la fin du 16e s, au tronc mesurant 5 m de circonférence. Dès 1861, les peintres de Barbizon (les bizons !), Théodore Rousseau en tête, obtinrent de Napoléon III le classement de plus de 1 000 ha du secteur en « séries artistiques »… l’ancêtre des parcs naturels.

L’itinéraire redescend vers la route de la Gorge aux Néfliers (carrossable) jusqu’à un point de vue dominant le chaos de rochers des gorges d’Apremont, puis file vers Fontainebleau par la route du Château et la route Duplessis Mornay, empierrée.

Grimper et ramper aux gorges d’Apremont

Grimper et ramper aux gorges d’Apremont
Escalade © Philippe - stock.adobe.com

De la buvette, la cavalière des Brigands (balisée en jaune, 1,7 km) grimpe entre le labyrinthe de rochers vers la platière dominant superbement les gorges d’Apremont – sous laquelle se creuse la caverne des Brigands.

Une histoire à frissonner ? Un canular, plutôt, monté en 1845 par Claude-François Denecourt, grand promoteur de la forêt, qui fit creuser cette vaste grotte et inventa une histoire de bandits pour pimenter les sorties des Parisiens ! Torche en main, accroupi, on peut se glisser jusqu’à une « salle » centrale pour tenter de ressortir de l’autre côté par un boyau en rampant dans le sable…

La caverne des Brigands se trouve à la fois sur l’itinéraire bleu Denecourt-Colinet n°6 (7 km, env 2 h-3 h) et sur celui du tour des gorges (11,7 km, env 3 h-4 h), qui découvre aussi la mare aux Biches et le « défilé » des Roches de Rude.

Bleau disent les grimpeurs francophones, Font disent les anglophones… Le secteur, enlevé, est assidument fréquenté en fin de semaine par les bleausards, ces amateurs de varappe (escalade) sur blocs, souvent venus des quatre coins d’Europe. La tradition remonte aux années 1910-1920, quand les membres parisiens du Club Alpin Français commencèrent à venir s’entraîner ici hors saison.

Aujourd’hui plus de 3 000 voies de tous niveaux existent en forêt de Fontainebleau. Certaines sont parfaites pour s’initier avec les enfants (circuits blancs ou jaunes), comme ici l’Apremont Bizons. D’autres n’ont rien à envier à celles des plus grands massifs, avec des cotations qui atteignent 8c/9a (extrêmement difficile) !

Un arbre particulièrement remarquable

Sur la route reliant Fontainebleau à Melun (D142), environ 2 km avant la Table du Roi, une bifurcation discrète (sans panneau, à la hauteur de la borne n°12), conduit rapidement au parking du Rocher Canon. À deux pas, l’étonnant bonzaï du Rocher Canon, un grand chêne pédonculé en panache, pousse directement sur le rocher !

VTT dans le sable du mont Aigu (et ailleurs)

VTT dans le sable du mont Aigu (et ailleurs)
VTT © bensliman hassan - Shutterstock

Les chemins forestiers sont accessibles aux VTTistes à Fontainebleau, à une condition (importante) près : ils doivent faire au minimum 2,5 m de large.

Plusieurs itinéraires spéciaux ont été balisés (en orange).

Les plus entreprenants peuvent s’embarquer pour un grand tour d’horizon par le TMV (Tour du Massif à Vélo), scindé en quatre parcours complémentaires.

Trois sentiers VTT plus locaux s’ajoutent, dont le circuit du Mont Aigu (6 km), qui part des portes mêmes de Fontainebleau (Faisanderie). Peu accidenté, il progresse dans le sable, épais par endroits, conduisant à un mirador d’observation de la faune.

Bords de Seine à Samois © hassan bensliman - stock.adobe.com

Au nord-est, dans une boucle bucolique de la Seine, l’intéressant Circuit du Petit Barbeau (10 km, env 1 h 30) part des abords du camping de Samois, juste en aval de l’île aux Barbiers, des terrasses donnant sur l’eau, des péniches à quai et des Affolantes – ces belles bâtisses bourgeoises du 19e s aux styles éclectiques souvent étonnants.

L’itinéraire longe d’abord le fleuve par le chemin de halage, sous les frondaisons d’arbres remarquables, en compagnie des canards, hérons et cormorans, avant de bifurquer dans les terres en direction de Bois-le-Roi (et sa base de loisirs). Le reste n’est que forêt, avec une alternance de chemins bien dégagés, herbeux et de sentes.

Insolite : une réserve biologique inaccessible

La réserve biologique intégrale du Gros Fouteau et des Hauteurs de la Solle, située juste au nord de Fontainebleau, n’a pas été modifiée par l’homme depuis le milieu du 19e s. Elle renferme l’une des plus belles hêtraies de France et des chênes vieux de 350 à 400 ans ; le plus gros d’entre eux, le Caravaggio, d’une circonférence de 7 m, est tombé en 1945. Seuls les scientifiques étudiant sa riche biodiversité peuvent s’en approcher.

Écouter la Mare aux Fées

Écouter la Mare aux Fées
Mare aux Fées © hassan bensliman - stock.adobe.com

Autre village attaché aux souvenirs des peintres du 19e s, Bourron-Marlotte se niche entre forêt et vallée du Loing, au sud-ouest de Fontainebleau. De belles villas s’y cachent derrière leurs hauts murs de pierre renfermant de jolis jardins fleuris.

La nature avoisinante invite à de belles balades, notamment vers la Mare aux Fées, à la sortie nord du bourg. Le sentier qui y mène part d’un parking qui abrite l’un des deux seuls bivouacs gratuits de la forêt de Fontainebleau (avec point d’eau) !

Oubliez le large chemin goudronné et laissez-vous avaler par la sente tortueuse s’engouffrant, sur la droite, dans un océan de fougères. Entrecoupée de racines, semée de blocs, elle s’élève vers les crêtes du Rocher des Étroitures – d’où, bientôt, se révèle un vaste panorama vers le nord. Vu d’ici, la civilisation s’efface.

Le sentier rejoint finalement, en 45 min environ, le petit étang coassant de la Mare aux Fées où, en mai-juin, fleurissent les iris jaunes, pieds dans l’eau. Ils ont été plantés par un peintre en 1896 pour rendre ses toiles plus jolies ! Les familles y pique-niquent l’été et reviennent à l’automne pour ramasser champignons et châtaignes.

Une plus large boucle (16,2 km, env 5 h), émaillée de grimpettes et de points de vue, de clairières et de chants d’oiseaux, permet de gagner, vers l’est, la « grotte » Béatrix (plutôt un abri naturel). En prime : le banc planté au point de vue de l’Inspecteur Général, pour une pause agrémentée d’un panorama imprenable sur la forêt.

Collection de panoramas autour de Fontainebleau

Collection de panoramas autour de Fontainebleau
Tour Denecourt © hassan bensliman - stock.adobe.com

De la gare de Fontainebleau-Avon, la Promenade des Points de Vue (12 km, env 4 h), peu exigeante, mène jusqu’à la tour Denecourt, construite en 1853. Son promoteur, ancien grognard et républicain convaincu, invita pourtant Napoléon III à l’inaugurer et la baptisa Fort de l’Empereur en son honneur !

 Dominant la forêt sur 360°, elle comportait jadis quatre longues vues, censées permettre de deviner d’ici les toits de Paris… L’itinéraire passe près du Bouquet de la Reine Amélie, un superbe chêne sessile aux multiples branches moussues s’épanouissant en corolle.

Marcher ou pédaler le long du canal du Loing

Marcher ou pédaler le long du canal du Loing
Canal du Loing © AUFORT Jérome - stock.adobe.com

À 11 km au sud de Fontainebleau et seulement 2,5 km de Marlotte, Montigny s’amarre directement sur le Loing, qui s’y déverse joliment au pied d’un vieux moulin – un joli tableau à découvrir du site de pique-nique de la rive opposée.

À pied ou, mieux encore, à vélo, on rejoint en 1,5 km (par la D58) le canal du Loing, construit au 18e s pour relier la Loire à la Seine.

Le cadre est bucolique à souhait : la voie d’eau, boisée sur cette portion de son parcours, est longée d’un chemin de halage joliment baptisé du nom de Sentier des jardins – ceux des maisons qui courent jusqu’au canal. Une première écluse est vite atteinte, où batifolent souvent des poules d’eau, parfois des oies.

Aire naturelle sensible de la plaine de Sorques © hassan bensliman - stock.adobe.com

Sur les rives prospèrent les ajoncs et, dans l’eau, des amas d’algues et d’herbes aquatiques. Le canal ne voit pas passer beaucoup de bateaux… Un ponton s’avance néanmoins pour offrir une possible escale aux plaisanciers. L’écluse suivante cache, côté nord (à 50 m), un adorable site de pique-nique, niché contre un vieux bief.

D’immenses lacs cachés par la végétation, refuges d’une riche avifaune, se creusent de part et d’autre. Côté nord, les marais de l’aire naturelle sensible de la plaine de Sorques (accessible par la D148 en 1,5 km) sont en saison le refuge de grèbes, de martins-pêcheurs et de divers oiseaux migrateurs (on y trouve un affût).

La balade par le chemin de halage se termine, 6 km plus loin, à Écuelles, d’où l’on rejoint aisément le centre historique de Moret-sur-Loing (voir ci-dessous).

Fontainebleau à l’Unesco

Si le château de Fontainebleau est classé à l’Unesco depuis 1981, ce n’est pas (encore) le cas de la forêt (« seulement » labellisée Forêt d’Exception et Réserve de la Biosphère). Un dossier a toutefois été constitué et approuvé par les autorités françaises en vue de sa soumission à l’organisation internationale. Verdict attendu vers 2024.

Descendre le Loing en canoë-kayak

Descendre le Loing en canoë-kayak
Kayak sur le Loing © AUFORT Jérome - stock.adobe.com

Regarder l’eau, c’est bien. Patauger, c’est mieux, surtout lorsqu’il faut chaud ! Grez-sur-Loing est aussi joliment amarré sur la rivière, en amont, avec ses propres souvenirs de peintres et sa tour médiévale en ruines, vestige d’un donjon royal.

Sur l’autre rive, atteinte par un vieux pont (face au camping), débute une belle descente du Loing en canoë-kayak, au fil du courant. L’essentiel du parcours (15 km) révèle une campagne verdoyante, alternant surtout rives boisées et jardins. L’été, des cailloux affleurent par endroits, obligeant à tracter son embarcation. Des îles se dessinent, des cabanons s’alignent face à l’onde.

Deux déversoirs doivent être franchis, le premier juste après avoir embarqué. D’étroits biefs, en pente, y entraînent les embarcations sans que l’on ait trop le temps de réfléchir ! Attention, au second (en arrivant à Montigny), de bien baisser la tête pour passer sous la passerelle… En face, un vaste terrain herbeux invite à la pause.

Passent de fières demeures. Quelques pâtures à chevaux. Des oies. Des cygnes. Un ragondin parfois (plouf). Certains s’arrêtent déjà à Épisy, terminant là leur demie journée de navigation (9 km). D’autres poursuivent vers Moret-sur-Loing, tandis que la rivière se rapproche du canal du Loing, à peine dissimulé derrière un rideau d’arbres.

La descente s’achève au pied du pont peint maintes fois par Sisley, après le franchissement d’un 3e déversoir. Îlots greffés d’anciens moulins à tan, lavoirs, porte de Bourgogne et Notre-Dame coiffent le tout : un vrai tableau.

Fiche pratique

Retrouvez toutes les infos pratiques, les bons plans et les adresses dans le Routard Week-ends autour de Paris en librairie. 

Consulter notre guide en ligne Île-de-France

Où louer un vélo, un VTT ou un VTC ?

À Fontainebleau, vous pouvez vous adresser à La Petite Reine, 14 rue de la Paroisse ou à We Are Wheelers, au 4 rue Royale (tél. : 09 81 07 47 02 ; ce dernier propose même des fatbikes et peut vous livrer  (avec supplément). À l’entrée de Barbizon, sur la D 607, on trouve les Cycles Lekeuss. Et dans la vallée du Loing, on peut contacter Nature Loisir Évasion ou Top Loisir, qui louent aussi des VTT (voir ci-dessous).

Où louer un canoë-kayak sur le Loing ?

À Grez-sur-Loing, auprès de Nature Loisir Évasion ou de Top Loisirs. Autre option avec Apikopa à Moret. Les locations sont proposées à la belle saison (avril-mai à septembre-octobre), selon météo. Compter 42-62 € le canoë (2 adultes) pour 2 h-6 h de descente libre, 26-41 € le kayak. Un forfait avec navette pour revenir chercher sa voiture est proposé.

S’inscrire pour une balade en forêt

L’office de tourisme de Fontainebleau et plusieurs associations locales organisent des promenades guidées en forêt ou dans les villages voisins. Vous pouvez notamment contacter Les Amis de la Forêt , qui publient d’ailleurs un Guide des sentiers, avec cartes IGN et descriptions détaillées. Pour les balades, on peut aussi d’adresser aux Sylvains Randonneurs (3-4 sorties/semaine ; tél. : 01 60 55 19 38 ou 06 10 22 55 43 ; sylvainsrandonneurs@gmail.com) ou au Groupe Raymond Barthélemy (tél. : 06 02 38 96 60 ; asso.barthelemy@gmail.com), qui propose une sortie chaque mercredi et dimanche à ses adhérents (14 €/an), plus une grande rando à la journée mensuelle.

La nomenclature des sentiers

En petite forme ? En grande forme ? La couleur des sentiers vous aide à repérer le plus adapté.

Les boucles familiales tracées par l’ONF (4-7 km, 1-3 h de marche) sont balisées en jaune. Plus longs, plus exigeants, les 17 itinéraires bleus Denecourt-Colinet, tracés dès le milieu du 19e à l’instigation de Claude-François Denecourt, explorent les zones les plus pittoresques (ils sont interdits aux VTT).

Le TMF (vert-blanc) fait le Tour du Massif de Fontainebleau en 75 km (env 19 h). À cela s’ajoutent encore pas moins de 4 sentiers de Grande Randonnée (GR rouge-blanc) ; le 1 et le 11 font le Tour de l’Île-de-France, le 2 suit la Seine et le 13 quitte Fontainebleau vers le Morvan.

S’orienter

Achetez donc la carte IGN au 1:25 000 série TOP 25 et Série bleue (référence 2417OT) « Forêt de Fontainebleau et des Trois Pignons ». Vous ne le regretterez pas ! Sinon, l’application Visorando permet, sur abonnement (3 mois ou 1 an) de visualiser les cartes IGN et d’y accéder même sans réseau !

Liens utiles

Les horaires des trains pour rejoindre Fontainebleau et les gares voisines

Le site du tourisme de Fontainebleau, avec de nombreuses propositions de balades

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