Bonjour Marie
Je reviens de Mongolie en octobre. ce fut magnifique mais court à cause de la température d’hiver.
Je voous conseille absolument Darhan temple bouddhique au nord d’Oulan Bator. ci-dessous un etxte que j’ai écrit sur ce passage.
POur les itinéraires tenez compte du fait que 200 KM par jour c’est au moins 4 heures de route. par exemple la route entre Darhan et Oulan 230 KM j’ai mis 7 h en car… route en travaux. “qui trop embrasse mal etreint” je vous conseille des pauses de quelques jours surtout avec une fille de 6 ans. certains paysages résument le toutt, mais nous avons tenddance à tout consommer…
Les prix des Yourtes 15 € les haotels 35 € pour 2.
Le rtansport sur place moins cher que 120 € par jour. J’ai payé 40 € pour une journée Darhan au temple. POur cela réservez sur place. mais il faut négocier dur.
texte : "Passage de la frontière mongole au milieu de la nuit dans le trans mongolien, pas rassuré de voir son passeport partir en bout de wagon… les circonstances font que je suis avec change d’argent pour mon compartiment j’ai de quoi payer le taxi à l’arrivée à deux heures du matin. De Darhan au nord de la Mongolie, je loue un taxi qui doit me conduire à un temple à 130 Km de la ville, il ne parle pas anglais, ce sera la surprise. 50 KM de route de terre où on envisageraient jamais d’engager nos voitures, à chaque détour il choisit son chemin entre les nombreuses traces au milieu du désert que constitue la steppe. Seuls quelques arbres trônent au sommet de ces monts détachant leur courageuse silhouette face au vent. Les fameux aigles cerclent par couple, autour de leurs proies. Il se dégage une impression de beauté rare, difficile à décrire pour mes maigres talents, yourtes blanches serties par les collines douces teintées de roux, silence espace infinis propice aux cavaliers. C’est la beauté d’un autre désert que celui que je connaissais. Nous sommes bloqués par une rivière l’engin est de ville, mais qu’importe après discussion avec un cavalier mongol il passe me rejoindre j’étais passé à gué. Je découvre ce temple au milieu de la steppe, isolé rouge au milieu de nul part. Le spirituel choisit ses lieux. Je m’approche minuscule face à cette immense mandala rouge, ce temple est célèbre en Mongolie mais où le visiter tient de l’exploit. Configuration classique des temples proto chinois, j’essaye de le parcourir dans le bon sens. Les portes sont ouvertes, l’usure du bois sur chaque seuil est magnifique d’histoire ! Des statues maintenant seules devant la nature, le bois retourne à la forêt. Un jeune moine veille sur ces trésors d’un sommeil insouciant. Toujours ces multitudes de figure de boddhistavas autour du Bouddha déifié. Dans cette partie de l’Asie c’est le Bouddhisme tibétain qui prime, des Dalaïs lamas ont été mongols. Je retrouve Angkhor par ce coté temple abandonné qui garde les marques du temps, des branches d’arbres obstruent certains passages, des tuiles en céramiques gisent sur le sol… Un jeune moine au chapeau en paille me croise toujours leur beau sourire. Des statues de boddhistavas moustachus, chacun dans sa spécificité pour sauver les humains. Tout cela très kitch, le Bouddha, les lamas, sont devenus la référence les intercesseurs entre les croyants et la Boddhéité… Le pouvoir quand tu nous tient… Près du temple rencontre avec les habitants des quelques yourtes. Ces gens m’ont impressionnés par leur vigueur, leur bien-être apparent, au milieu des chèvres, des chevaux, la rivière, l’espace à perte de vue… l’homme en perdant son état naturel a aussi perdu beaucoup. Dans la capitale Ulan Bator, on retrouve les mêmes tristes, alcooliques, dans l’obscurité des bancs ou des coins de bâtiments.Dans un autre temple à Ulan Bator, j’observe les attitudes de culte des croyants : moulins à prière qui font prière pour vous, plus cela tourne, plus ça marche. Cela me fait penser au culte shinto au Japon ou un claquement de main peut faire surgir l’illumination, c’est moins cher que le loto… (pardon), baisers sur les poutres, poser sa casquette sur un encensoir pour capter la fumée en espérant que la fumée ranime le cuir chevelu ? Faire passer trois fois autour de soi un encensoir pour se purifier. Pendant une cérémonie pour les défunts, les moines psalmodient des sutras puis on leur sert le thé avec des biscuits devant les croyants qui attendent de pouvoir prier eux-mêmes leurs défunts. Les moines se mettent sous un grand parapluie en tissu jaune et la prière continue. Incroyable inventivité des rituels ! C’est touchant et triste à la fois, le bouddhisme désigne l’illusion comme le plus grand des dangers, pour moi il ne suffit pas d’y croire, il faut comprendre l’esprit du fondateur avant d’en faire autre chose.Quand on voit dans ces pays, la force déployée pour se sortir du Moyen Âge on comprend que les préoccupations écologiques sont bien loin d’être envisagées."a votre dispositioon pour plus de questions.
Philippe