Les vols partent du terminal 3, 1 km au sud de l’international.
Mais c’est tout petit, très tranquille.
En taxi ce n’est pas plus cher que d’aller à la gare, ou à peine.
Il n’y a pas grand chose à l’aéroport, juste un café ; le filtre de sûreté n’ouvre d’ailleurs que 45 minutes avant le décollage.
Humo air est une compagnie nouvelle, si on fait abstraction d’un extraordinaire Antonov-2P qu’elle opérait depuis 2016, anecdotiquement ; en expansion, sous contrôle du gouvernement ; elle a l’ambition d’être à Uzbekistan ce que FlyArystan est à Astana au Kazakhstan.
Pour le moment elle ne dispose que d’un seul A320 LZ-MDI, qui a commencé sa carrière au Salvador.
Je crois avoir lu qu’elle en a commandé 18.
Souvent les compagnies de ce genre sont d’excellentes affaires pour le voyageur.