Bonjour à tous,
Je constate une chose dans les différentes réponses, c’est que l’herbe n’est pas plus verte ailleurs, et que ce n’est pas mieux ailleurs.
Alors pourquoi vouloir changer d’endroit si l’on retrouve la même chose, c’est complètement idiot de raisonner comme ça, en effet cela montre l’inexpérience de certain sur le sujet.
Pour exemple je vais prendre un cas concret, c’est-à-dire le mien, et celui d’autres personnes.
N’ayant aucun mal être, mais le désir d’avoir plus d’espace, et moins de gens au m2, qui me pompe mon oxygène, je décide donc à 53 ans d’aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte.
Résultat des courses entre la France, et mon nouveau pays qui est L’Uruguay, de l’espace (200 hectares) de départ, avec une herbe bien verte qui me permet de nourrir mes bêtes, et d’acquérir une certaine autonomie alimentaire, plus de gens pour me prendre mon oxygène, la mer à coté, ce qui donne dans l’ensemble une vie supérieure à la France, et pour tout dire un petit paradis sur terre quand on y regarde bien.
Mon bateau est sur ma propriété ce qui me permet d’en faire et demande une heure pour le mettre à l’eau, contrairement à la France où je devais faire 500 kilomètres aller-retour.
Je pratique le golf, et là aussi l’avantage de l’espace, j’ai donc ce dernier chez moi, ce qui m’évite des déplacements.
Je pratique le tir, et là encore pas besoin d’aller dans un stand de tir, comme en France, j’ai mon propre stand de tir, il me suffit de faire une butte, et de mettre des cibles.
Une piscine pour garder la forme, de monter à cheval tous les jours.
Ceci pour dire qu’il n’y a pas photo entre la France et l’Uruguay, et que n’aurais jamais pu réaliser cela en France.
Et surtout pas besoin d’une colonie de vacance pour avoir fait ces réalisations, et je crèverai tout seul, cela étant une évidence.
Donc souvent ailleurs c’est bien meilleur que chez soi, car son endroit de naissance on ne la pas choisi, et qu’il ne correspond pas spécialement à ses besoins dans le temps.
Si quelqu’un n’est pas d’accord avec moi, qu’il me prouve le contraire.
A vous lire
Richard