(Car cette “montagne” en est un, et pas des moindres)
Pour vous rendre du parador à la station du téléphérique vous pouvez faire du stop et vous y êtes en un clin d’oeil, je dirais… 3kms ? Ou couper par le sentier 19, qui part du parador et rejoint la station en évitant de marcher le long de la route. Mais bon, si vous avez ensuite la descente du Teide derrière, autant ne pas traîner.
Je pense que tous ceux qui connaissent Tenerife vous imaginent ramant vaillamment en scooter sur les fortes pentes de l’île , éventuellement traversant la mer de nuages en vous gelant, bref, prenez le bus pour monter dans le parc.
Grimper sur le Teide ne suppose pas un dénivelé de 3.700m puisque le départ du sentier, sur sa base, est à 2.200 environ, il s’agit de donc de 1.500m, de quoi vous surpasser et battre votre propre record actuel :0)
Mais pour vraiment faire 1.500m, celà supposera une autorisation d’accès au sommet, ce qu’on ne peut que vous conseiller de solliciter l’avance via le site du parc national, sinon pas de sommet.
Pourquoi personne ne parle de la descente ? Hypothèse : pour un randonneur, atteindre un sommet dans le sens ascendant reste tout de même un but en soi.
Aprés ça, rien ne vous empêche bien sûr de descendre, cela ne présente pas de difficulté particulière hormis les 1.500m que vous mettez à vos genoux.
Suite à quoi vous ne vous retrouverez pas au pied du teléphérique mais plus loin à Montaña Blanca, et là ce sera en stop et fissa pour attrapper le dernier bus qui quitte le parador à 16h, d’oú le grand intérêt de louer un véhicule pour au moins un ou deux jours lorsqu’on peut le faire, afin de profiter pleinement de son temps parmi les volcans au lieu d’être tributaire des horaires de “la guagua”.
En février comme en janvier ou en décembre, vous pouvez selon la méteo du jour être en Tshirt ou enfoui dans vos polaires et coupe vent. C’est impossible à savoir à l’avance.
Bien cordialement,
France (Tenerife Autrement)