Nous revenons d’un trek Langtang et lac de Gosaikunda
Nous sommes passés par une agence locale francophone spécialisée dans le Langtang tout était parfaitement bien organisé, nous étions deux avec notre guide et notre porteur nous avons vécu des moments magnifiques
Les lodges ont été reconstruits et les chemins ont été réhabilités, tout a été fait pour que les touristes puissent revenir, en effet les gens de cette région ont besoin que l’on y revienne
Même si les traces du seisme et ses conséquences sont toujours présentes cela n’enlève rien à la beauté des paysages du Langtang et à la gentillesse et à l’accueil des népalais
La seule chose qui m’est attristée c’est de voir qu’il n’y avait pas de Francais alors que nous avons croisé beaucoup d’allemands, d’anglais, d’israeliens, d’asiatiques … on dirait que les Francais boudent cette région, dommage de se priver d’un endroit aussi magnifique!!!
La montée au Kianging Ri fut magique et la vue du sommet sensationnelle, le passage du Langtang à la partie des lacs de Gosaikunda dans les forêts de rhododendrons en fleurs et dans les cultures en étages est magnifique aussi, les moulins à prières, les murs à manis, les chortens … toute cette culture thibétaine … 10 jours de teek + 2 jours de transfère en jeep c’est vraiment à faire !!!
Bonjour Flavie74Nous avons fait ce trek en novembre 2017. Comme vous, nous étions un couple, un guide et un porteur.
Nous avions déjà fait les Annapurnas et le camp de base de l’Everest, et je crois que le Langtang restera certainement notre coup de coeur.
Ayant subi le tremblement de terre en 2015, heureusement sans dommage, nous étions très curieux de voir comment cette région, qui a énormément souffert, se redressait.Effectivement les reconstructions avancent bien et c’est rassurant de voir qu’elles intègrent des normes devant permettre de limiter des dégats dus au tremblement, mais malheureusement pas aux chutes de pierres.Le village de Langtang dont les constructions avancent bien doivent avoir depuis 2 mois l’électricité rétablie. Lors de notre passage les lignes arrivaient au village
En fin novembre nous n’avons pas rencontré beaucoup de monde, mais 5 à 6 français, des jeunes surtout.
C’est pourtant une période remarquable car le ciel bleu fut présent durant les 3 semaines. Nous étions en tee-shirt dans la journée, mais les soirées et les petits matins sont glacials.
Nous avons toujours le même guide pour ces treks; il est népalais et exerce depuis 25 ans.
Ne me demandez pas ses coordonnées, il est complet jusqu’en 2020.
Petite précision, ce n’est pas le parcours le plus facile au Népal; il demande une bonne condition physique.
Quand pars-tu ? En solitaire ? Avec un guide/porteur ?
Quel itinéraire as-tu prévu ?
Le trek n’est pas foncièrement difficile. On peut l’effectuer plus ou moins rapidement selon sa forme et son mode de trek (solo ou avec guide/porteur).
Le Langtang, c’est une longue remontée d’une vallée, la montée en altitude est graduelle et donc plutôt bien pour une acclimatation en douceur.
Pour ceux qui ont une bonne forme, ne pas manquer le Tsergo Ri et/ou Kyanjin Ri une fois arrivé à Kyanjin Gompa.
Ensuite, 2 solutions, soit passer le Ganja La (col difficile, surtout s’il est enneigé), ou revenir sur ses pas pour ensuite passer par Thulo Syabru et rejoindre Gosainkunda.
De Gosainkunda, 2 solutions; soit rebrousser chemin pour retourner à Dhunche ou Syabru Besi, soit continuer vers le sud pour rallier le trek de l’Helambu et finir au plus près de Kathmandu (Sundarijal).
Pour les affaires : du chaud (pour le soir), du léger (pour la journée), du long (pour le froid) et du court (pour le chaud). 