Bonjour. La voiture fut le seul tracas. Elle fut louée de France par notre voyagiste, chez Via.Pour faire simple :L’agence se situant au Musée de la Révolution de la Havane ouvre à 8h, mais l’employé n’arriva qu’à 9h30.Il nous présenta trois voitures, que nous avons refusées, à cause de l’état des pneus ; inclu la roue de secours. La quatrième, la dernière disponible, n’était pas vraiment en meilleur état mais le temps passait et nous n’avions plus le choix, nous l’avons donc prise.Et ce qui devait se produire se produisit. Un pneu avant, réchappé, éclata.Sans dommage car en ligne droite et à faible vitesse. L’état des routes ne prédispose pas aux excès.Le retour de la voiture à Santiago fut aussi un peu problématique. Deux bonnes heures d’attente d’ouverture des bureaux. L’employé, charmant s’excusa ; il travaille sur deux agences.L’état de la route entre La Havane et Vinalès est correct. Il faut néanmoins se méfier de quelques nids de poules.Il faut aussi se méfier de personnes se faisant passer pour des policiers, avec sifflet et casquette, n’hésitant pas à se mettre au milieu de la route pour vous barrer le passage. Nous n’en avons pas vu ailleurs que sur cette partie du voyage.Il est facile de faire la différence avec les vrais policiers qui eux ont un véhicule marqué de la police.Par contre, si vous sortez des sentiers battus, il y a des routes où vous ne pourrez avancer qu’au pas.Il n’y a pas de réelles difficultés pour s’orienter sur les autoroutes mais l’application MAPS.ME est d’une efficacité redoutable.Nous avons appris une chose à Cuba, c’est qu’il faut avoir le temps, prévoir large, et tout se passera très bien.Bon voyage.