Bonjour Olivier,
Pas de motifs pour voyager, mais la première chose que la douane te demande, c’est le motif de ton voyage.
Autre chose, on peu voyager, tout en conservant sa zone de confort, ou en avoir une meilleure, en ayant du personnel à sa disposition, ce qui n’est pas le cas chez pour la majeure partie de la population (cuisinier, femmes de ménages, etc.).
Après, tout dépend ce que l’on recherche dans un voyage, il peut ne rien t’apprendre sur toi ou sur les autres, car la phrase ce que le voyage nous appris, n’a pas l’air de venir de toi.
Par ailleurs, pour certains, comme moi qui on fait les scouts, la notion de confort est toute relative, la nature faisant partie de notre quotidien, et ce n’est pas les randonneurs du dimanche, qui vont nous apprendre à marcher, et à s’adapter au lieu ou on est, car nous sommes autonomes.
On y append sur soi, à travers des épreuves, la nature, puisque c’est notre terrain, partager avec les autres, les tâches quotidiennes, et bien sur la vie.
Quant à l’histoire de l’échelle et du précipice, ce sont deux éléments différents, le vertige (peur du vide) viens de l’oreille interne et de la vue, donc deux éléments, alors que monter à une échelle, il y a un troisième facteur celui de l’équilibre, en plus du vertige, car le vertige n’est pas proportionnel à la hauteur.
Heureusement que ce ne sont pas les citations, qui nous apprennent à vivre.
A plus
Richard