Bonjour,
J’ai séjourné au Dominican bay à Boca Chica. Une seule fois m’a suffit !!! Mais il faut bien noter que c’est seulement un 3 étoiles, donc, pas de miracle…
A noter : il faut faire un parcours, au moyen d’un pont métallique, pour atteindre la plage. Cet hôtel “bénéficie” d’un petit bout de plage privée (pas jusqu’à la mer) délimité par un tout petit muret. Elle est située sur la plage publique à l’endroit le plus bruyant de la plage. La vue depuis cette partie de la plage est détestable.
Le Coral Costa Caribe à Juan Dolio : le pire hôtel que je connaisse en République Dominicaine. Voilà mon compte rendu de séjour, tel que je l’avais rédigé à ce moment là :
"Séjour juin 2015 au Coral Costa Caribe
Les clients étrangers achètent leur séjour sur la base d’un descriptif. Mais dans cet hôtel, on ignore complètement la notion même de droit contractuel.
Il est indiqué qu’outre le restaurant principal (buffet) on disposera de 3 restaurants à thème et d’un snack bar.
2 restaurants à thème sont fermés ! Or, bien que ce service ait été payé, il n’est pas fourni. Et il ne sert a rien de dire que l’hôtel adapte son offre en vertu du coefficient d’occupation : l’accès aux restaurants à thème est contractuel puisqu’écrit sur le descriptif.
Le seul restaurant à thème ouvert est un restaurant italien. Mais on ne vient pas forcément en République dominicaine pour manger italien !!!
Le descriptif prévoit aussi une animation diurne et nocturne. Or, l’animation diurne est inexistante ou quasi inexistante. Les jours d’affluence (week end) l’animation diurne se limite , au maximum, à deux fois, 30 minutes à une heure. Et pourtant, le personnel d’animation est là! Et le reste de la semaine, il n’y a pas du tout d’animation diurne.
Là encore, cet hôtel ignore la définition de «droit contractuel», ce qui ne peut que générer l’insatisfaction de la clientèle étrangère qui a acheté un séjour avec animation aussi bien diurne que nocturne…
En gros, la politique, en semaine, est : «il n’y a pas d’animation parce qu’il n’y a pas de client». Mais à l’époque d’Internet, tout se sait très vite, et ça se transforme très vite en «il n’y plus de clients parce qu’il n’y a pas d’animation».
J’ai connu, sur la péninsule de Samaná, un hôtel qui appliquait cette politique : il a finit par fermer…
L’hôtel Coral Costa Caribe est en bonne voie : il a déjà perdu presque toute sa clientèle étrangère. Mais cet hôtel a la chance d’être situé pas trop loin de Saint Domingue, ce qui lui garantit une clientèle locale…
Et qui plus est, les tours opérateurs n’ont pas forcément envie de continuer à proposer des hôtels générant de nombreuses réclamations…
En ce qui concerne la discothèque, il y a encore des problèmes et une politique commerciale inadéquate : Il y a quelques petites tables avec 3 sièges autour (il y aurait la place d’en mettre 4) + quelques banquettes. En se serrant sur les banquettes à un point qui n’est envisageable que pour des gens se connaissant bien, on arrive péniblement à 40 places assises.
Par contre, un espace beaucoup plus large que nécessaire est réservé à 3 banquettes + 4 tables, dont la plupart restent vides puisque ces places sont réservées à la clientèle qui achète des consommations. Il y a de tout petits écriteaux qui le disent, mais uniquement en espagnol, ce qui ne peut que générer incompréhension et mécontentement des clients en «tout inclus» non hispanophones.
En fait, il y aurait moyen de mieux aménager les lieux pour y installer beaucoup plus de places assises. L’organisation actuelle est elle délibérée pour pousser à la consommation ? La question est posée mais la réponse est que cette politique est inefficace alors qu’elle ne peut que générer l’insatisfaction de la clientèle étrangère, ce qui, d’ailleurs apparaît clairement dans d’autres commentaires que les miens.
Et beaucoup plus grave: Le jour de mon arrivée, les toilettes de ma chambre étaient bouchées. Une intervention inefficace avait été faite le lendemain. Et ce n’est que le surlendemain que le problème avait été réglé. D’emblée, il est clair que l’état des chambres n’est pas vérifié avant l’arrivée d’un client.
Mais 8 jours après mon arrivée, le même problème survient de nouveau. La direction de l’hôtel devrait donc sérieusement se poser des questions sur la nécessité d’engager des travaux vu la répétitivité du problème !
Je signale le problème à la réception (plus précisément la linea de servicio). Et, idem que la fois précédente, une première intervention inefficace est faite mais la situation est, désormais, pire après l’intervention qu’avant celle-ci : il y a maintenant une mare d’eau sur le sol de ma salle de bains.
Constatant le problème lorsque je remonte dans ma chambre vers les 17 heures, je me rend d’urgence à la réception (linea de servicio) pour, d’une part signaler que les WC sont toujours bouchés en dépit de l’intervention faite mais que, maintenant, il faut de toute urgence retirer cette mare d’eau qui va provoquer un dégât des eaux à l’étage du dessous si on ne vient pas immédiatement passer un coup de serpillière.
On me demande si je veux bien remonter dans ma chambre pour une intervention immédiate. J’attends, j’attends…
Je vois passer devant ma chambre, une femme de chambre, et je l’interpelle pour lui signaler le problème. Pas de chance, elle n’est pas diplômée «es serpillière» mais juste «es literie» car elle me dit qu’elle alerte le personnel de nettoyage…J’attends, j’attends, puis, lassé, je retourne à mes occupations de touriste.
Lorsque je rentre dans ma chambre pour me coucher, le problème n ‘est toujours pas réglé et le lendemain matin, je patauge toujours dans l’eau dès que je met un pied dans la salle de bains…et, bien sûr, les toilettes sont toujours bouchées…
Je resignale le problème à la réception, mais je n’insiste plus sur l’urgence de prévenir un dégât des eaux à l’étage du dessous car le mal est certainement déjà fait…
Bon, en ce moment même, un ouvrier intervient dans ma salle de bains et le problème sera donc peut être réglé…
Mais cet incident (et les autres problèmes soulevés) démontre un «je m’en foutisme» certain, et donc une absence totale de conscience professionnelle de la part de plusieurs catégories de personnel : l’employé de la «linea de sevicio» qui ne s’assure pas que le nécessaire a été fait, en dépit d’une alerte d’imminence d’un dégât des eaux, l’ouvrier qui intervient, sans faire correctement son travail, et en laissant une grande mare d’eau qui risque de provoquer des dégâts sérieux, la femme de ménage qui n’était pas qualifiée «es serpillière» et ne pouvait donc rien faire pour prévenir l’imminence d’un dégât des eaux, lequel, outre son coût, empêcherait la location de la chambre le temps des travaux…
Finalement, le seul à se préoccuper de prévenir un dégât des eaux, n’est autre que…le client de l’hôtel !!!
Il faut donc constater un je m’en foutisme des employés, même en cas d’urgence signalée, et puisque cette absence de conscience professionnelle concerne plusieurs catégories distinctes de personnel, ce n’est pas l’encadrement qu’il faut mettre en cause mais tout simplement le Directeur de cet hôtel (qui fait partie d’une chaîne) qui fait preuve d’une incapacité managériale flagrante puisqu’incapable d’insuffler à son personnel un esprit d’entreprise, incitant chacun à maintenir en état l’outil de travail, et à faire en sorte que les clients soient satisfaits, meilleur garant du maintien de leur emploi…
Depuis mon arrivée, un problème a été réglé : s’il n’y avait pas de jus d’orange au premier bar extérieur en sortant de la réception, c’était seulement parce que le serveur n’avait pas cru utile (pour le cas où il était à court) d’aller remplir une bonbonne au bar suivant (une centaine de mètres plus loin). Maintenant il y toujours une bonbonne de jus d’orange au frigo. Ca fait court comme amélioration…"
Il convient encore d’ajouter que cet hôtel est à une vingtaine de minutes à pied de Juan Dolio. Les guaguas passent juste devant l’hôtel mais contournent Juan Dolio car la rue principale de Juan Dolio se terrmine en c.u.l de sas.
De toute façon, Juan Dolio est d’un ennui mortel…Bayahibé : J’ai séjourné au Whyndam Viva Dominicus Beach. C’est à dire celui, avec le Viva Whyndam Dominicus palace qui est le moins isolé (une rue piétonnière commerçante pour les portefeuilles sur pattes qui longe le mur des deux hôtels Whyndam)
Pour être plus précis, il n’y a qu’un seul hôtel qui se trouve pas trop loin de Bayahibé : le Dreams La Romana. Tous les autres se trouvent à Dominicus c’est à dire à une distance de 4 à 6 km de Bayahibé.
Bayahibé est un tout petit village qui se traverse en quelques minutes à pied. Dans le passé c’était un village de pêcheurs. Aujourd’hui, c’est un village entièrement tourné vers le tourisme international. Heureusement qu’on a gardé le colmado (bar épicerie) pour garder un peu d’authenticité!!!
Dominicus est une usine à touristes : un petit Punta Cana en 15 fois plus petit.
C’est parfait si on veut juste décompresser en faisant du farniente et en profitant des installations et animations d’un bon hôtel tout inclus.
Bonnes vacances