Bonjour,
Dans une nouvelle néo-calédonienne qui se passe aux alentours de Bourail, l’auteure mentionne:
“Et c’est ensemble qu’elles sont allées clouer une plante taboue sur le banian de la cour.” (Claudine Jacques, “Des vies de chemins de croix”, in La chasse et autres nouvelles, 2009)
Quelqu’un saurait-il m’expliquer en quoi consiste cette pratique et quel est son but?
Merci d’avance!