Bravo Bernard exactement ! té dans l’mil !! Le Vénézuéla c’est grandiiiiioooose !!!Té ma star Bernard !
Kimbata !
Anonyme42
Merci pour ces témoignages, c’est très interessant !
Anonyme43
Bonjour,
J’ai parcouru de nombreux pays et le voyage de 3 semaines que j’ai effectué au Venezuela m’a laissé quelques uns de mes meilleurs souvenirs de voyage. C’est un pays de toute beauté . S’y déplacer en routard oblige à prendre des précautions qu’on n’a pas à prendre dans d’autres pays, d’asie par exemple. C’est la un occasion de devenir un routard expérimenté. C’est le cas bien souvent en Amérique latine. Il faut éviter de s’isoler. Suivre le mouvement des locaux. Éviter de chercher un point de chute trop tardivement. Répartir ses espèces. Sortir intelligemment la nuit, ce qui reste tout à fait possible y compris dans les grandes villes comme Caracas. La meilleure des choses à faire, c’est de se renseigner lorsqu’on a un doute… Il ne m’est rien arrive de terrible au cours de mon périple. J’ai entendu des coups de feu, esquive un vol à Rio caribe, péninsule de paria. Un groupe de jeune dotes de machettes a stoppé notre bus pour que le chauffeur paye le passage sur la routa del cacao .C’est un peu l’aventure. C’est aussi ce qui fait le charme du Venezuela et permet de se retrouver sur des plages vierges ou seules les tortues luth viennent troubler votre méditation face a la mer des caraïbes. Les vénézuéliens sont souvent très sympas et contents qu’on viennent les visiter. Les cordillères et les territoires des indiens sont paisibles. J’ai croise quelques routards à l’occasion de mon voyages. J’ai le souvenir de deux jeunes compatriotes qui s’étaient fait voler passeport et argent. C’est arrive vers 23h à proximité de l’aéroport. ces deux jeunes femmes sont arrivés sur la plage de santa fe à la même heure avec sacs à dos et frontale dans la nuit noire. Elles venaient depuis la route de traverser un barrio réputé pour sa dangerosité…elles n’étaient pas très prudentes. Il ne faut faire n’importe quoi. Ce pays est superbe. Ne pas passer à côté parce qu’il y règne une certaine insécurité. S’y préparer sans sombrer dans la paranoïa…