Bonjour,
Le premier jour de mon premier voyage, j’étais dans la même position. Mais après un peu de recherches sur mon guide Lonely planet, j’ai trouvé comment rejoindre le centre de pélerinage peu développé à l’époque que je visais.
Avoir un billet d’avion nécessite seulement d’un peu d’anglais. Pour prendre le bus j’ai débarqué dans la gare routière avec mon guide, une douzaine de chinois se le sont passé et finalement une femme m’a amené au guichet et dix minutes après j’étais dans le bus.
Si vous n’avez pas autant de temps que j’avais qui permettait de voyager en train ou en bus, l’avion sera la solution facile vous trouverez toujours un interlocuteur anglophone.
En train toutes les gares ont leur nom affiché en pinyn.
Si vous n’arrivez pas à descendre tous seuls au bord de la rivière Li à Guilin (prononcer Gouylinn), votre hotel saura toujours vous trouver des billets.
Conclusion : tout finit toujours par s’arranger en Chine. Parfois il faut un peu de patience et surtout pas de brutalité, on peut être ferme, patient, renouveler sa demande si nécessaire et on y arrive.
Le problème des agences, c’est qu’ils ont des tours aseptisés pour n’avoir aucun problème même avec le client le plus emm… difficile. C’est pourtant le charme de ce genre de voyage passer par des endroits peu fréquentés.
Mais pas d’illusion en dix ans le flux des touristes a été multiplié par dix ou cent et ce sont d’abord des touristes chimois. Alors les petits coins perdus comme le Lougo Lake ont perdu tout leur charme. C’est devenu du Disneyland chinois et dans ce cas, un grand bordel à la thaiilandaise…
J’ai refusé de rentrer dans le système au Jyuguaishan où ils ont enfermé toute une vallée dans une muraille avec rangers et boutique souvenir à l’entrée au lieu des village tibétains où on pouvait dornir chez l’habitant.
Votre problème ne sera pas de trouver des excursions mais d’éviter les queues !
Bonne route quand même.
M.