donc je suis partie le 15 juillet
j’ai totalement adoré le daniel casanova et sa cabine pour 4 ( on etait 3 ) excellente nuit sauf que mon mari ronflait mais c’est pas de la faute de la sncm
les cabines sont dignes d’un hotel 2 etoiles , et tout est très bien conçu
mais les sieges et les coins salons ne sont pas en reste non plus , tout est propre et bien entretenu et aucun pb pour etaler son duvet directement par terre
idem pour le pascal paoli même si le bateau est plus petit , et a beaucoup plus bougé dans le roulis
tous aux abris allongés , la navigation decidemment ne sera jamais mon second metier
le premier jour en arrivant à 7heures 30 on gagne tout bonnement une journée en corse
c’est un bon plan
direction sagone les cochons sauvages ,les vaches du bord de route la foret d’aitone et ses paysages somptueux ,en passant par cervione où je devais aller chez quelqu’un ( je sais le detour est bizarre ) , les paysages sont superbes
le camping de sagone merveilleux et d’un calme , la mer est presque chaude , et au bout du compte y a pas foule à sagone ,
sur les hauteurs la route vers arghèse et piana est vraiment inoubliable et mon epoux unique chauffeur bn’a eu de cesse de s’extasier sur la qualité des routes , c’etait pas du tout ce à quoi il s’attendait ( moi euh dans le brouillard en allant à evisa je n’etais pas rassurée ) mais lui en conducteur aguerri a assuré que les routes etaient toutes très bien
les autombilistes tous comprehensifs et très respectueux des continentaux que nous sommes nous remercieront toujours d’un petit signe quand on les laissera passer , en revanche on remarque toujours le touriste d’un age certain ou l’estivant quii revient tous les ans au fait que lui nous fait la tronche !!!
trop marrant
ce seront les mêmes surement qui diront du mal des corses en se plaignant de leur impatience
patients avec la touriste de base que je suis et le pire quie j’ai trouvé ce sont des mémés qui faisaient leur course à 20 heures au supermarché du camping et qui peinait à se freiner un chemin entre la nuée ardente de touristes allemands et français ( dont je faisais partie ) et le rayon de fromage où elles voulaient bravemennt et de maniere très intrepide acceder le 17 juillet à 20 heures