Eh ben, si je m’attendais à tout ça en envoyant ma réflexion sur le jet-ski !..
À ce sujet, oui, je confirme : bien loin de penser que ladite expérience constitue “un souvenir inoubliable” (comment savoir à l’avance quel souvenir on aura, d’ailleurs ?!), je persiste à penser qu’il s’agit d’une de ces innombrables “occupations” bruyantes, polluantes, voire dangereuses, majoritairement pratiquées par des frimeurs (tiens… très peu de frimeuses, bizarre, non ?), dont il faudrait débarrasser les bords de mer. Et j’avoue avoir été choqué par une question revenant à dire “Où puis-je faire ça pour moins cher que chez moi ?”
Cela dit, si mon enthousiasme pour l’Andalousie (“la plus extraordinaire région d’Europe”) était peut-être un poil excessif (j’adore l’Andalousie… et toute l’Espagne, j’y vais le plus souvent possible et commence à bien connaître), j’ai du mal à admettre qu’on la réduise à Marbella et Torremolinos (réduirait-on la France à La Grande-Motte, à Flaine ou aux sinistres banlieues des années 60 ?), et encore plus à accepter qu’on juge un pays, une région, une ville en fonction du prix qu’on y paie un restau Michelin ou une paire de godasses !
Oui, je suis fan de mosquées, de cathédrales, de cloîtres, de châteaux, etc., etc., mais pas le moins du monde de tauromachie (faudrait éviter de tout mélanger, hein !). Et je n’ai jamais parlé de “paradis”, pas plus en Andalousie qu’ailleurs (ah ! bon, il y aurait un “paradis” en Estonie ?), et encore moins dans un quelconque “ciel”.