En réponse à Nath 70 et Fanesk
Novembre sera la saison idéale car le pays sera plus vert; en mars, c’était très aride malgrès un temps pluvieux inhabituel.
Fanesk est rentré le 4 mars. ils ont eu 45 degrés. De notre côté, il a fait frais pour le pays puisque les 2 semaines suivantes, la température est descendue autour des 25 degrés.
Pour l’ascension du Erta Alol, on a même mis les anorak; le ciel était couvert, beaucoup de vent et en général, ca a été pluvieux.
Le guide nous a dit que la météo n’était pas normale pour un mois de mars. La saison des pluies est en juillet aout.
Les brumisateurs sont restés dans les sacs.
Etait-ce parce que nous étions la dernière semaine de la saison ( reprise en septembre chez Allibert) mais nous n’avons pas eu de tentes.
Dormi en plein vent et parfois avec quelques gouttes de pluie ou de la bruime.
Une fois, ils ont monté les tentes en pleine nuit car il pleuvait trop mais il n’y en avait pas pour tout le monde.Les chauffeurs étaient bien à l’abri dans les 4X4
Fanesk parle d’abri dans de petites huttes; était-ce par soucis d’économie, nous n’avons pas eu le droit de dormir à l’intérieur, excépté à L’Erta Ale.
J’ai trouvé débile de devoir dormir à côté d’autant plus que la météo n’était pas favorable.
Le prix varie entre 2395 et 2595 euros
Ce que j’ai aimé avec Allibert
Magique Lalibela
Travailleurs du sel
Dallol et Erta Ale, fantastiques
Sources d’eau chaude, lac salé ( 70 % sel ca flotte ) et salines
Des chauffeurs , un guide et une équipe de cuisine super. Personnes n’a eu de diarrhée et les mets étaient délicieux ,variés et copieux.
Visite du Mercado ( marché de Addis )
La première semaine, hôtels tout confort
Le dernier soir, dîner spectacle avant de se rendre à l’aéroport.
Le moins:
Longs trajets ( 2300 km )
Insalubrité des camps; cabanes à moitié à l’abandon
Pas de cabane WC, juste un trou au vu de tous. Aucune intimité d’autant plus qu’on avait pas de tentes.
Pas de poubelles sur le camps. Déchets et bouteilles plastiques jonchent le sol.
Odeur de pisse partout.
Personne ne nous interdisait de prendre de l’eau pour se laver mais il fallait toujours demander et chercher les bidons. Il n’y avait pas vraiment de bol ou de cuvette prévue pour ca. Au Mali, pays bien plus sec, on avait tous droit à un bidon.
J’envisage de mettre quelques photos en ligne ; je vous donnerai le lien quand ca sera fait.
Patricia