Ceux qui ont de l’argent en surplus peuvent, s’ils le veulent, joindre l’utile à l’agréable en activant, avec créativité, au tourisme solidaire au Sahara algérien.
J’ai vécu au Hoggar et je vais y retourner.
Les Algériens aisés émigrés, connaissant les deux cultures algérienne et d’Européens peuvent créer un tourisme solidaire.
S’ils sont croyants musulmans : le Hadj ce n’est pas seulement à la Mecque.