Tout en bas au ras du sol côtoyant les rigoles et les caniveaux « le peuple », autrement dit les masses laborieuses qui sont « nous » avec leurs lots d’emmerdes quotidiens et qui croient encore à l’illusion de la démocratie et la mascarade de l’élection.
Au-dessus les gouvernements qui possèdent le monopole du pouvoir qui l’utilise pour nous taxer et nous contrôler comme du bétail.
Au niveau supérieur les grandes entreprises les multinationales qui contrôlent les gouvernements et dirigent réellement le monde, financement des campagnes et corruption de la classe dirigeante par le pouvoir de l’argent pour leurs seuls profits.
Sans elles, les politiques et les parties n’existeraient pas.
C’est ce qu’on appelle la «corporatrocratie» pour prendre possession des ressources mondiales et contrôler les marchés.
Ses grandes entreprises se finance auprès des grandes banques, le cartel bancaire, Wall Street, la City leur prête a des taux préférentiels au détriment de l’emploi et des salaires.
Au-dessus, les banques centrales internationales, le BCE la FED détenu par des capitaux privés qui impriment la monnaie papier et dictent leurs lois aux nations.
Ce sont elles qui imposent le taux de réserve fractionnaire aux banques commerciales qui nous font payer des intérêts sur de l’argent crée.
La BCE est totalement indépendante, elle a pour seule mission de réguler l’inflation et l’inflation ce paye en chômage.
Au-dessus encore, à un niveau international, les banques centrales utilisent le FMI, la Banque Mondiale pour crée plus d’argent et exploiter les ressources des pays auxquelles elles prêtent les conduisant à la faillite, à l’anéantissement au nom de l’équilibre monétaire international.
Sous prétexte de les sauver, elles imposent leurs lois, les lois du marché, au profit d’une petite élite sans scrupule au détriment des peuples qu’elle saigne a blanc avec le soutien des politiques et des medias subordonnés.
À l’avant-dernier niveau la banque centrale des banques centrales, la BRI, la banque des règlements internationaux crée par les Rothschild qui contrôles toutes les banques centrales internationales.
Au dernier niveau, tout en haut, sous l’œil qui domine le monde, une petite élite oligarchique réduite à une seule famille, les Rothchilds, le cartel bancaire et Rockefeller, le complexe militaro-industriel assis sur leur bon gros tas d’or et qui regarde sombrer les peuples dans une extrême pauvreté en se tapotant le bas du ventre avec la satisfaction du devoir accompli.
Ils poussent des cris de félicité et de suffisance en tirant sur leurs bretelles.
Pof, pof …
Le bruit de la fumé du cigare au prix incalculable qui s’échappent de la bouche de ces hyènes insatiables des ténèbres.