… d’aller y faire un tour et de voir par vous même. C’est par là que généralement nous avons commencé, toutes celles et ceux qui sommes un jour partis vivre ailleurs
Celà dit, disposée à en parler avec vous, en privé : j’y étais encore pas plus tard que ce matin.
Pour le reste, los Herreños ont simplement compris intelligemment que lorsqu’on vit sur un tout petit territoire, repenser la question de l’énergie , des déchets, de l’eau est à terme une question de survie. Et le battage soudain fait autour de leur île que personne ne savait situer sur une carte il y a peu ne les fait pas spécialement bondir : s’il y a une chose que ne veulent ni les instittutions locales ni les habitants , c’est une invasion de touristes telle qu’elle se pratique actuellement sur l’archipel. Mais comme ils le disent eux même , ce n’est pas près d’arriver, car ici il n’y a pas de plages.
Bien cordialement,
France (Tenerife Autrement)