Lors de mon dernier séjour en janvier (principalement dans les Etats du Ceara et de Bahia), je n’ai plus vu de distributeurs HSBC.
J’ai néanmoins vu en passant en voiture à Fortaleza une grande agence HSBC. Je n’ai pas pu vérifier s’il s’agissait d’une agence bancaire ou de bureaux de la banque.
Concernant les retraits, Banco do Brasil (à Fortaleza) les limite à 500 reais. Le maximum que j’ai pu obtenir est 800 reais dans les distributeurs Bradesco (Salvador et Fortaleza).
Les distributeurs 24 horas permettent aussi de retirer 800 reais mais il y a une commission assez importante (il faut que je vérifie combien, car je n’ai fait qu’un retrait). Dans ce distributeur ma carte Visa Premier n’a d’ailleurs pas été acceptée. J’ai pu retirer avec une Mastercard classique.
Concernant Bradesco toutes les cartes sont acceptées.
Avec ces nouvelles restrictions, j’ai un peu changé ma façon de faire. A l’instar des brésiliens, j’ai réglé de nombreuses dépenses avec ma carte de crédit. Ce mode de paiement est de plus en plus généralisé mêmes dans les lanchonetes ou chez les camelots dans la rue. Il faut quand même que la dépense s’élève à un montant minimum, car on a droit à 1 euro au moins de commission à chaque fois, mais en faisant le calcul ce n’est pas si désavantageux (au contraire).
Les brésiliens eux mêmes privilégient désormais les cartes, pour des raisons de sécurité. De ce point de vue Salvador et Fortaleza sont d’ailleurs des villes ou il faut de plus en plus être sur ses gardes. Je n’en ai pas été vicitime heureusement, mais témoin direct à 2 reprises. Par ailleurs, pendant mon séjour des membres de ma famille (tous brésiliens) ont été agressés (attaque d’un bus à un feu, vol de portable avec une arme à feu).
Et je ne suis resté qu’un mois…
Cela dit, en faisant preuve d’un minimum de prudence, la vie continue, comme toujours, au Brésil. Et mon séjour a été agréable.