Je ne raisonne pas tout à fait comme toi, car je donne des choses que j’apporte de France. Donc il faut faire des arbitrages, car on est limité en bagages. J’ai remarqué que les besoins de vêtements ne sont pas prioritaires, parce que les enfants portent des uniformes à l’école, et qu’avec le climat, il n’ont pas besoin de beaucoup de vêtements. Et il y a beaucoup de petites choses vraiment accessibles, même pour les personnes pauvres. A la limite, je préfère acheter des vêtements locaux pour des personnes dans le besoin que de les apporter.
En revanche, pour les livres et les jouets, c’est difficile de trouver de la qualité à Maurice, et c’est vraiment cher. Et comme c’est lourd, ça ne laisse pas de place pour le textile !