Salut,
j’ai effectuer plusieurs communautés en France, Espagne et Portugal ainsi qu’une en Roumanie, et je peux te garantir que je n’ai jamais vu de gourou, sexualité dépravée et compagnie. Tu confond les squats ou rassemblement de zonard.
Plus jeune j’ai zoner, je connais donc parfaitement le sujet - dans les communautés alternatives, il y à des règles de vie à respecter car il y à des gens de tout âges, donc des enfants. Chacun est utile pour le bien commun de tous. Le seul souci que j’ai rencontrer dans les communautés en général, c’est qu’au bout d’un moment ça part en clash, surtout si la communauté contient plus de 10 personnes. Pourquoi le clash ? exemple, tu trouves des personnes avec qui monter un tel projet, au départ tout va pour le mieux, mais avec les années, chacun évolue à son rythme, ayant des avis complètement à l’opposé de ces compagnons, et la plupart du temps lors des assemblées, ça part en vrille, chacun souhaitant “instaurer” sa façon de voir et de procéder. L’idéal, c’est moins de 10 personnes, 2 ou 3 couples ou binome, voir 4 si le terrain est grand. Chaque couple occupant un coin du terrain avec un lieu aménager au milieu ou sur l’un des cotés pour les rassemblements. En mettant un couple à chaque coin du terrain, chacun pourra avoir une occupation utile pour la communauté, un qui s’occupe des légumes, l’autre des poules et lapins (s’ils décident de consommer de la viande), un autre couple peut s’occuper de travail artistique qu’il pourra vendre dans un village voisin, marché et compgnie, ou pas, il y à tellement à faire, etc… Moins de 10 personnes permet de bien maintenir la communauté avec une très bonne complicité - le fait d’occuper un coin chacun sur un terrain admettons de 10 000 m², permet s’il y a des querelles, de protéger le reste du groupe, le temps que ceux qui sont en dispute travail sur eux-même. Cela dit, ce n’est pas un souci, même au saint d’une couple il y à parfois de petite querelle, donc non méga problème - faut juste apprendre à se connaitre avant de se lancer, bien discutailler, sans voile, en étant le plus sincére et honnête avec soi et autrui et tout coulera de source.
Là ou tu as raison, c’est ce que sont devenus les communautés aujourd’hui. Exemple, j’en connai une ou si le matin lorsque tu venais à la salle de réunion et que tu n’avais pas le sourire, tu étais virer. Une autre vers la Dordogne ou il n’y avait que le fric qui comptait et si tu voulais faire parti de la communauté, fallait que tu donne ton revenu. Toute ces communautés sont à éviter, mise à part pour ceux qui ont besoin d’être assister, bon nombres de communautés Oasis de Pierre Rabhi sont dans ce style, une micro société dans la société, alors que tous au départ voulaient “fuir” ce système merdique, mais au final ont rebâtit le même à petite échelle. D’ailleurs, aujourd’hui, si tu souhaite mettre en place une Oasis, il te faut montrer patte blanche (géomètre, architechte, statut juridique, financement, etc…). Toute les petite communautés que j’ai connu composée de 4 à 10 personnes sont encore debout, alors que bon nombre de 40 personnes au minimum sont partis en vrille et sont complètement sorti du projet qui les avaient réunis.