Bonjour,
En date du 6 mars dernier, j’avais effectué une réservation pour Montréal pour un montant de 438,47 euros somme débitée le jour même sur mon compte. Mon vol ayant été annulé par la compagnie Air France j’ai dû modifier ma réservation. Le coût étant plus élevé de 136,77 euros le complément a été prélevé sur mon compte. Ayant dû changer de compagnie aérienne, les horaires d’arrivées étant différents j’ai été obligé une fois de plus de modifier le contrat. Le montant était identique mais j’ai dû donner une fois de plus mon numéro de CB pour régler une deuxième fois la somme de 575,24 euros alors qu’elle était déjà sur le compte d’Auto Escape. La personne qui était en charge de mon dossier m’a affirmé que le trop-perçu me reviendrait rapidement. Or j’ai bien reçu un virement de 136,77 euros mais ils restent toujours me devoir la somme de 438,47 euros.
Depuis mon retour de Montréal mi-août, j’ai appelé plusieurs fois (appels surtaxés …) et la réponse est toujours la même : « Je vois avec la comptabilité cela va être fait rapidement ». Or, je n’ai toujours rien sur mon compte. J’ai envoyé un courrier à l’adresse mentionnée sur le voucher au Pertuis, et toujours rien. J’ai donc rappelé hier une énième fois et on m’a répondu que mes courriers ne servent à rien car l’adresse est erronée et que tout a été transféré en Allemagne. J’ai donc demandé l’adresse exacte et mon interlocuteur n’a jamais voulu me la donner prétextant que le virement allait être fait. Cela fait 10 jours et toujours rien. Ce n’est pas la première fois que je fais appel à eux, je n’ai jamais eu de problèmes mais là j’en viens à douter de l’honnêteté de ce loueur. Au vu des précédents post sur ce forum j’ai bien l’impression que je ne reverrais jamais mes 438,47 euros. Pour moi il y a un mot qui qualifie ce genre de pratique : C’EST DU VOL ! Je vais faire appel à une association de consommateurs.
D’autre part, au vu des nombreux avis défavorables contre ce loueurs je souhaiterais que Le Routard ne leur fasse plus de publicité car se sont des escrocs.
Véronique