J’ai fait l’ascension fin mars 2018. Il y avait encore de la neige passés 3 000 m d’altitude, et a fortiori du refuge jusqu’à Tizi-n-Tugg-Akal. Du coup, l’ascension était bien moins facile que prévue.
J’avais loué à Imlil des chaussures hautes de randonnée, des crampons, un piolet, un surpantalon, une veste coupe-vent de randonnée avec capuche, des gants épais. Plus ma torche. Tout ça m’a servi lors de la dernière montée matinale : du refuge à 3 200 m ar tizi (au sommet) à 4 167 m.
Il peut faire chaud au départ et très froid sur la fin.