Personnellement, je ne peux pas voyager sans avoir de contact avec les habitants!
Mais une deuxième fois hélas, ayant fait ce circuit en Afrique du Sud avec un un “voyagiste” -je mets entre-guillemets car ils ne méritent vraiment pas ce nom (voir un de mes autres carnets de voyage)- la seule façon de restituer ce que vitven les femmes et les hommes de ce pays est de mettre en ligne des captures de photos prises au fil des circuits.
L’Afrique du sud n’est pas un melting pot mais un patchwork de communautés qui vont de l’extrème pauveté à l’extrème richesse… et celà pourra se voir sur ces carnets “…on the roads!”. J’ai opté pour l’anglais pour une partie de ce titre en hommage à un certain Jean Louis que j’admire.
Ce premier carnets du faux routard que j’étais concerne la région du Cap de Bonne Espérance.
Nous étions dans un hôtel de catégorie moyenne-plus très sympa (il y avait les équipes de judo du tournois inter-africain avec dans l’hôtel, Boulevard Nelson Mandela) dans une banlieue blanche de la classe moyenne Afrikaner (ou Afrikaans ou Boer, les trois mots sont équivalents).
Les explications des photos suivantes sont sous les photos.
Ligne de banlieue conduisant les employés vers le centre ville de Capetown.
Voici un aperçu de la banlieue industrielle (les emprises françaises y sont bien représentées)
Un nouveau district se construit (classe moyenne africaine).
Arbres le long de la route: on peut se croire en climat méditerranéen (on est à la fin d el’automne austral)
Centre ville de Stellenboch… très hupés, c’est une ville blanche Afrikaner.
La mairie de Stellenbosch avec le protrait de Nelson Mandela.
Le marché africain de Stellenbosch.
Le parc de la prestigieuse Université Afrikaans de Stellenbosch (enseignements en Afrikaner et en Anglais: l’Afrikaner est une langue néerlandophone intelligible par les Flamands).
Les propriétés sont sur-protégées, vu le taux élevé de criminalité dans ce pays.
Propriété d’Idas Valley (une cuvée sud africaine).
Nous nous dirigeons vers Franschoeck.
Voie de tram traversant les vignes.
Domaine Allee Bleue de Franschoeck.
Les environs de Franschoeck: vu le vent du Cap, les nuages noirs peuvent être balayés en quelques secondes…
Il faut hélasparler des bidonvilles (township). Ici, une township noir sur la route de retour vers Capetown.
Ici un township métis. Ils sont toujours bien entrenus et peint de couleurs vives et variés. La communauté métis reprends les couleurs qui rappellent le 6ème district de Capetown, un quartier métis du centre ville, qui n’est pas un bidonville.
Ce 6ème District a des petites villas bien entretenues et propose des AirBnB où la sécurité est bien meilleures que dans les autres quartiers du Cap (voir un autre de mes carnets de voyages sur la région du Cap).
Les townships peuvent être des logements sociaux construits par l’état. Il ne faut pas croire que tous les blancs vivent dans des quartiers huppés! L’extrême richesse commence quant à elle à concerner des communautés africaine et l’extrême pauvreté atteint aussi les blancs. Je mets une vidéo Youtube sur ces nouveaux townships blancs.