Le Gers, 5 raisons d’y aller

Le Gers, 5 raisons d’y aller
Auch © pascal DESTERCKE - Adobe Stock

Bons produits, sites antiques, édifices religieux remarquables, plus beaux villages de France… à 1 h à l’ouest de Toulouse, le Gers promet des escapades authentiques, en pleine nature. Voici 5 bonnes raisons de se rendre dans ce territoire préservé, au caractère gascon bien trempé !

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Visiter Auch, capitale historique de la Gascogne

Visiter Auch, capitale historique de la Gascogne
Cathédrale Sainte-Marie © Aurélie Michel

À Auch, c’est d’abord la cathédrale Sainte-Marie, classée à l’Unesco au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui saute aux yeux. Il faut dire qu’elle en impose ! Construite entre 1489 et 1680 en lieu et place d’une ancienne cathédrale romane, c’est l’une des dernières cathédrales gothiques de France. Si elle est si grande, c’est parce qu’elle était autrefois la cathédrale du puissant archevêché de Gascogne (son autorité allait des Pyrénées aux portes de Bordeaux et des faubourgs de Toulouse à l'océan Atlantique).

Sa façade multiplie les styles : gothique, Renaissance, classique. L’intérieur réserve de belles surprises : les 18 verrières d’Arnaut de Moles (16e), maître-verrier qui maîtrisait l’art de la couleur, les 113 stalles du chœur sculptées dans le chêne (16e), ainsi que le Grand orgue de Jean de Joyeuse (17e).

Juxtaposée à la cathédrale, la Tour d’Armagnac (14e), haute de 40 m, servait autrefois de prison. De mai à septembre, elle ouvre au public son musée du Trésor. Tout près de la cathédrale, on jette également un œil à la plus vieille maison de la ville : la maison Fedel (15e), avec une magnifique architecture en pans de bois. Autre curiosité : la maison Henri IV (22, rue d’Espagne). Derrière la porte (si si, osez l’ouvrir !), on découvre une cour intérieure accueillant un superbe escalier en pierre et en bois. Le futur roi Henri IV y aurait séjourné trois nuits en 1578, d’où le nom !

Maison Fedel © Aurélie Michel

Pour passer de la ville haute à la ville basse, deux options. La première : emprunter l’une des cinq « pousterles ». Ces jolies petites ruelles en escalier, très escarpées, sont vraiment typiques. Elles reliaient les portes fortifiées de la ville à la rivière (le Gers), permettant aux habitants de la ville haute de s’approvisionner en eau. La seconde : emprunter l’Escalier Monumental (1863) de 374 marches, autre emblème d’Auch. En chemin, on croise la statue du plus célèbre des héros gascons… D’Artagnan !

Côté musées, Auch a de quoi nous combler. L’incontournable reste bien sûr le musée des Amériques. Comme son nom l’indique, il renferme une grande collection d'art précolombien. La seconde en France, après celle du musée du Quai Branly ! Parmi les pièces maîtresses, la Messe de saint Grégoire, l’une des plus anciennes œuvres chrétiennes du Nouveau Monde (1539). Il s’agit là d’un tableau de plumes réalisé à Mexico selon une technique aztèque. Au rez-de-chaussée, le musée revient également sur le passé gallo-romain de la cité d’Auch – on admire notamment la statuette en marbre dite du Rhéteur en marbre (probablement 5e siècle).

D’un tout autre genre, le Memento vaut une visite. Installé dans un ancien couvent de sœurs carmélites au cœur de la vieille ville, cet espace d’art contemporain fait chaque année honneur à différents artistes. Leurs œuvres (peintures, photographies, installations…) investissent des lieux dépouillés volontairement restés dans leur jus, mais non sans âme : on devine la présence, autrefois, de ces sœurs qui faisaient vœu de silence. Elles ont quitté les lieux en 1949 ; ils ont un temps accueilli les archives de la ville, puis furent laissés à l’abandon pendant une dizaine d’années, avant de trouver cette vocation artistique. Une bien belle reconversion !

Découvrir les remarquables villes et villages du Gers

Découvrir les remarquables villes et villages du Gers
Collégiale Saint-Pierre © Aurélie Michel

Le Gers compte six « Plus beaux villages de France ». Parmi eux, La Romieu, étape majeure à la croisée des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle (GR 65 et GR 652). On est d’emblée séduit par le charme gascon de ce village médiéval, qui abrite une adorable place à arcades et des statues de chats, disséminées çà et là. On les doit au sculpteur Maurice Serreau, inspiré par la légende d’une certaine Angéline, orpheline et protectrice de chats…

Mais la star du village reste bien sûr la superbe collégiale Saint-Pierre, édifiée au 14e s. Classée au Patrimoine mondial de l’Unesco, c’est le joyau de La Romieu, et un incontournable du Gers. On y découvre une église à nef unique, un cloître d’une grande beauté et, dans l’une des deux tours, un escalier à double révolution, dans lequel on monte et descend, sans jamais se croiser ! Et que dire du plafond peint de la sacristie… magnifique !

À deux pas, pour une pause bucolique, rendez-vous aux Jardins de Coursiana. Classés Jardin Remarquable, ils rassemblent sur 6 hectares un arboretum (créé en 1974 par Gilbert Cours-Darne, brillant botaniste) aux 700 essences rares d'arbres et arbustes issus des 5 continents, un potager familial et un superbe jardin à l’anglaise. Un vrai paradis, aujourd’hui entretenu avec passion par la famille Delannoy. On y passe volontiers l’après-midi et, avant de partir, on n’hésite pas à passer par la boutique : les confitures maison sont un délice. 

Lectoure © Aurélie Michel

Autre village remarquable en pleine campagne, également classé parmi les plus beaux de France : Larressingle. Il a la particularité d’être l’un des plus petits villages fortifiés de France et on le surnomme d’ailleurs « petite Carcassonne du Gers ». Maisons médiévales adossées aux murailles, église fortifiée du 12e, château du 13e… l’ensemble promet un véritable bon dans le Moyen Âge ! Il appartenait autrefois à l’abbaye de Condom, cité épiscopale à 6 km de là. Elle vaut d’ailleurs le coup d’œil ! Les enfants adoreront poser parmi les quatre mousquetaires en bronze, juste à côté de l’imposante cathédrale Saint-Pierre. C’est la seule à réunir d’Artagnan et ses trois compères. Les personnages d’Alexandre Dumas s’inspirent bel et bien de personnes ayant existé.

Enfin, on tombe également sous le charme de Lectoure. D’autant plus lorsque l’on prend de la hauteur : au sommet du clocher de la cathédrale gothique Saint-Gervais Saint-Protais (12e-13e), la vue sur la ville et la campagne gasconne environnante est époustouflante !

Chineur dans l’âme ? Toujours à Lectoure, ne manquez surtout pas, tout au bout de la rue Nationale, le « village des brocanteurs », dans l’ancien château des Contes d’Armagnac, devenu hôpital en 1759. Aujourd’hui, on vient dénicher toutes sortes de trésors d’un autre temps ! Véritablement unique. Un brocanteur a même investi la chapelle !

S’émerveiller face aux trésors du passé gersois

S’émerveiller face aux trésors du passé gersois
Villa de Séviac © Aurélie Michel

Le Gers abrite un ensemble de trois sites d’exception, rassemblés sous le nom « Elusa Capitale Antique ». Comme son nom l’indique, il nous plonge à l’époque gallo-romaine ! On retrouve le Musée archéologique le Trésor (Eauze), La Domus (Cieutat) et la Villa de Séviac (Montréal-du-Gers).

Cette dernière, au beau milieu des vignes, n’était autre qu’une résidence de campagne, occupée du 1er au 7e siècle. À l’époque, c’était l’une des plus belles demeures aristocratiques du sud-ouest de la Gaule. Et qui dit luxueuse, dit somptueuses mosaïques, la particularité du site : il en rassemble quelque 650 m2, soit le plus grand ensemble de France ! Mosaïques aux arbres, orientales, en perspective… on découvre, non sans émotion, ces merveilles dans un bel état de conservation. La mosaïque au verger reste la plus prestigieuse de toutes : les touches de vert sur les feuilles ont été réalisées avec de l’ophite, une pierre extrêmement chère.

Abbaye de Flaran © Aurélie Michel

Autre époque, autre site incontournable du Gers : l’abbaye cistercienne de Flaran, fondée en 1151 dans la vallée de la Baïse. C’est l’une des mieux préservées du Sud-Ouest de la France : par chance, elle n’a jamais été en ruines ! Ce grand ensemble cistercien situé dans un immense parc a été remanié jusqu’au 18e siècle et restauré dans les années 80. La salle capitulaire est remarquable.

(Bonne) surprise, l’abbaye abrite depuis 2000 la Conservation départementale du patrimoine et des musées. Tout au long de l’année, le dortoir des moines accueille donc des chefs-d’œuvre de l’art européen du 16e au 20e siècle : Cézanne, Renoir, Matisse, Picasso, Monet, Braque, Courbet, Rodin… Dans l'église abbatiale, on peut voir des expositions temporaires, dédiées à des artistes contemporains de renom. L’église n’a évidemment plus de vocation religieuse, hormis deux messes annuelles, en août et en septembre.

Tout près, il est très agréable de se balader le long de la Baïse. Navigable depuis le Moyen Âge, cette rivière a permis, au 19e siècle, le transport de denrées, et notamment l’export d’Armagnac. Le sentier se situe à quelques centaines de mètres de l’Abbaye de Flaran. On pousse au moins jusqu’à la double-écluse de Graziac (4,4 km, compter une petite heure), pour en admirer l’architecture, remarquable (19e siècle).

Terroir du Gers : se régaler de bons produits

Terroir du Gers : se régaler de bons produits
Table du Domaine de Beaulieu © Aurélie Michel

Bon vivant, le Gers ? Et comment ! Il suffit de passer à table pour s’en rendre compte. Générosité, simplicité, qualité… les assiettes sont au diapason avec l’art de vivre gersois.

Côté viande, le canard est évidemment à l’honneur tout au long de l’année et se décline en magret, confit, sans oublier le foie gras. D’octobre à mars, c’est d’ailleurs la saison des « marchés au gras », ceux de Samatan et de Gimont, entre autres. On se régale aussi avec le porc noir de Bigorre AOC et la poule gasconne. Sur une note plus fraîche, comment ne pas citer la star de l’été, le réputé melon de Lectoure, cultivé depuis 1850 ?

Pour des assiettes du terroir, mais un brin plus coquettes, les tables gastronomiques ne manquent pas. On se régale notamment au restaurant du Domaine de Beaulieu, à 5 km du centre d’Auch, dans un cadre magnifique. D’ailleurs, on y séjourne volontiers (voir adresses).

Armagnac de la Maison Aurian © Aurélie Michel

Et pour trinquer ? L’armagnac est un incontournable. Un repas gersois traditionnel ne saurait se terminer sans un petit verre de cette eau-de-vie de raisin – la plus vieille eau de vie du monde (700 ans !). Pour découvrir les secrets de sa fabrication, on pousse notamment la porte de la Maison Aurian, à Condom.

À l’heure de l’apéritif, une spécialité revient systématiquement au menu : le floc de Gascogne, blanc ou rouge. Elle se compose de deux tiers de jus de raisin frais et d’un tiers de jeune Armagnac. Une recette dont les origines remontent au 16e s, à goûter absolument ! On succombe également au Pousse Rapière, qui allie cette fois-ci armagnac et vin effervescent.

Et si on terminait par une touche sucrée ? On craque pour le pastis gascon, la spécialité pâtissière du Gers. Imaginez plutôt : une pâte feuilletée, garnie de pommes parfumées à l’armagnac…

Découvrir l’unique parcelle de vigne inscrite aux Monuments Historiques

Découvrir l’unique parcelle de vigne inscrite aux Monuments Historiques
Vigne de Sarragachies © Aurélie Michel

À la fin du 19e s, le vignoble français – et plus largement européen – a été décimé par le fameux phylloxera. Pour venir à bout de ce cousin du puceron originaire des États-Unis, qui s’attaque aux racines des vignes, il a par la suite fallu faire appel à des plants américains, naturellement résistants. Désormais, ils sont utilisés comme porte-greffe, la partie enterrée.

Des vignes de l’époque en « franc de pied » – non greffées, donc – il reste quelques survivantes, comme ici, à l’ouest du Gers. Parmi elles, le lopin de Sarragachies, au cœur de l’appellation AOC Saint-Mont (1 200 hectares). Perchée sur la colline de Ninan, il domine la vallée de l’Adour et la chaîne des Pyrénées. C’est la nature de son sol, sablonneux, qui lui a permis de survivre à cette tragédie.

Cette parcelle, dite préphylloxérique, est petite par la taille – 20 ares – mais d’une très grande valeur. Elle témoigne d’une viticulture d’antan (1810) et de la biodiversité du piémont pyrénéen. Elle rassemble en effet 21 cépages différents, dont 7 encore non identifiés. Certaines vignes ont plus de 200 ans ! En 2012, elle a été inscrite au titre des Monuments historiques et c’est la seule et unique en France ! En se baladant entre les rangées, on découvre des techniques anciennes, comme la plantation au carré et d’impressionnants ceps centenaires entortillés.

Cave du Monastère de Saint-Mont © Aurélie Michel

Dans le coin, il existe une autre parcelle de vignes préphylloxériques : la Madeleine de Saint-Mont (½ hectare). Elle a 150 ans et est en 100 % tannat, le cépage local emblématique, obligatoirement présent à 80 % dans l’appellation Saint-Mont. Autre particularité de l’AOC : une récolte à la main, exclusivement !

On profite d’être à Saint-Mont pour aller faire un tour chez Plaimont, une union de coopératives rassemblant 800 vignerons. On retrouve à la boutique les quatre appellations viticoles du Gers : AOC Saint-Mont, AOC Madiran, AOC Pacherenc du Vic-Bilh et l’IGP Côtes de Gascogne. Il est possible de visiter le chai attenant, pour découvrir les secrets de vinification et d’élevage.

Plaimont s’est doté, en 2002, d’un conservatoire ampélographique (étude de la vigne et des cépages), ce qui a permis de faire renaître des cépages oubliés, comme le « manseng noir ». Retrouvé en 2000, il a revu le jour en 2017, après une dizaine d’années d’études. Il a la particularité de murir tardivement, donc de produire moins d’alcool (11,5°), faisant de lui un rouge léger. Il faut bien l’avouer, il est émouvant de déguster des vins issus de vignes préphylloxériques !

Pour les savourer tout en se régalant, on s’attable dans la magnifique cave voûtée du monastère de Saint-Mont (15e). De quoi se rappeler que, sur le chemin de Saint-Jacques, les moines faisaient déjà du vin, à l’époque…

Fiche pratique

Retrouvez toutes les infos pratiques, les bons plans et les adresses dans le Routard Midi toulousain  en librairie. 

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Gers Tourisme

Comment y aller ?

En voiture : Paris – Auch : 713 km ; Toulouse – Auch : 79 km

En train : Paris – Agen : 3 h 11 (direct)

En avion : Compter 1 h 20 de vol depuis Paris jusqu’à Toulouse Blagnac

Location de voiture conseillée sur place.

Adresses

Domaine de Baulieu, : chemin du Barrail, 822 Chemin de Lussan, 32000 Auch. Tél. : +33 (0)5 62 59 97 38. Cette ancienne ferme typiquement gersoise a été restaurée et transformée en un véritable petit paradis, à la fois traditionnel et contemporain. Elle abrite un hôtel 4-étoiles de 29 chambres (dont 10 lodges), tout confort, un parc, une piscine, un spa privé... et une table gastronomique absolument exquise !  Tarifs. Chambre standard : à partir de 95 €/2 personnes (ou 191 € en B&B + dîner) ; lodge : à partir de 140 €/2 personnes (ou 251 € en B&B + dîner).

Hôtel & Spa Collège des Doctrinaires : 148 rue nationale, tél. : 05 62 68 50 00. Cet établissement d'enseignement fondé en 1630, par la suite transformé en annexe de l'hôpital, a été réhabilité en 2018. C’est aujourd’hui un magnifique hôtel plein de charme, avec un passage souterrain qui mène directement aux thermes de Lectoure (hôtel de Goulard). Studio deluxe pour deux : à partir de 109 €.

Où manger ?

Jours de marché à Auch : le jeudi en ville basse et le samedi en ville haute. RDV notamment aux stands de la Ferme du Cousteau, de la Ferme du Serré et chez Bouchait, fromager MOF.

Restaurant gastronomique du Domaine de Baulieu à Auch. Les deux chefs Maxime Deschamps et Stéphane Mazières subliment les produits du terroir gersois (et notamment le canard), privilégiant les circuits courts et les produits de saison. Un régal, de l’entrée au dessert, le tout dans un cadre sublime, au milieu de la verdure. Menu déjeuner à partir de 24 €. Menu « l’Instantanée » : 39 € (+ 22 € pour un accord mets et vin).

Salon de thé Eric Messerer, 36 rue Dessoles, tél. : 09 74 56 08 57. Un petit creux entre deux visites à Auch ? On pousse la porte de ce salon de thé, situé dans le cœur historique.

Le comptoir de Tistou, place de la cathédrale, à Auch. Tél. : 05 62 64 16 96. Une bonne adresse pour acheter de bons produits à base de canard de la ferme Ramajo : foie gras, confits, garbures... ni additifs, ni conservateurs… rien que du bon ! Possibilité de les déguster sur place sous forme de snack (salade gasconne, sandwich au foie gras…), aux premières loges pour admirer la cathédrale !

Terre Blanche, conserverie artisanale, à Saint-Puy. L’adorable Christine nous accueille en toute convivialité dans une ancienne ferme du 18e siècle, au cœur d’un domaine arboré de l’Armagnac. À la bonne franquette (aux beaux jours, à l’ombre des arbres), on déguste les produits de sa conserverie artisanale, dans la pure tradition gasconne : foie gras, galantine de canard, rillettes et pâté de canard,  confit, cassoulet… Simple, fait maison et délicieux, bref, tout ce qu’on aime.

Restaurant Citrus, 1, rue Buzon, Condom citrus.bistrot.gers@gmail.com. Autrefois chef étoilé Michelin, Éric Sampietro nous régale aujourd’hui au cœur de Condom dans son restaurant bistronomique, où il met à l’honneur les produits du coin : à nous magrets de canard, girolles, fruits pochés, glaces maison... Vraiment, on se régale ! Aux beaux jours, la cour est des plus agréables. Menu unique à partir de 25 €.

Restaurant Le Bastard, rue Lagrange à Lectoure. Tél. : 05 62 68 82 44. Au cœur de la ville, cet élégant hôtel particulier propose une cuisine de saison très raffinée, aux influences de Gascogne et d’ailleurs, dans un cadre sublime.  Tarif : Menu du moment 25 €. Menu du marché : 32 €. Menu de saison : 42 €. Menu « dégustation » : 64 €.

 Activités

Visites guidées du vignoble gersois avec Plaimont. RDV à la boutique de la cave de Saint-Mont. Plusieurs formules pour découvrir les différentes appellations : ateliers/visites avec dégustation (1 h 30 à 2 h), pique-nique, dégustations tapas et vin…

Exemples d’activités guidées :

Visite découverte de Plaimont. On se familiarise ici avec les vins locaux du Gers (AOC Saint-Mont, AOC Madiran, AOC Pacherenc du Vic-Bilh, IGP Côtes de Gascogne), à travers la découverte des cépages locaux et des parcelles, des secrets de vinification et d’élevage (visite du chai). Et pour terminer en beauté, dégustation d’un vin de chaque appellation dans la superbe cave voûtée du monastère de Saint-Mont (15e).  Infos : 2 h, 10 €/personne (2 personnes minimum), toute l’année du lundi au samedi et tous les jours en juillet-août.

« Déjeuner-dégustation Tapas & Vins Cave du Monastère de Saint-Mont ». Après la visite d’une parcelle de vigne d’un grand vin, place à la dégustation commentée de 4 vins et 4 tapas copieuses (et vraiment délicieuses), dans la superbe cave voûtée du Monastère de Saint-Mont. Infos : 2 h 30, 50 €/personne (4 personnes minimum), toute l’année du lundi au samedi et tous les jours en juillet-août.

Découverte de l’armagnac à la Maison Aurian, artisan-liquoriste, 5 avenue de la Gare à Condom. Visite des chais centenaires (on y fabrique de l’armagnac depuis 1880), dégustation, boutique.

Texte : Aurélie Michel

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